
Ce jour
#1
Posté 26 avril 2007 - 07:49
#2
Posté 26 avril 2007 - 08:15
Il y a aussi une douceur éffilée á double tranchante
de votre part.
Au moins, pourriez vous me dire la préoccupation
au moment ou vous écriviez ce poeme?
Quels sont vos modèles, en terme de gout?
Simplement par vous meme, comment concevez vous la poesie?
Poetiquement Schleiden.
L'indicible beauté de cet amour
Brillera à tout jamais
comme cette étoile-velours
au firmament de l'éternité,
Et je remonterai mes doutes
jusqu'à la source sacrée
où tu naquis ce jour
ma belle âme incarnée.
Car il n'y a nulle part où aller
Si ce n'est ce royaume intérieur
Où s'écoulent nos larmes de jais
Pour fleurir nos désirs de bonheur...
#3
Posté 27 avril 2007 - 06:57
avec lesquelles il tente de façonner une image" (K.GIBRAN)
J'écris simplement pour donner forme à ce palais intérieur
et nourrir mon âme insatiable...convaincue de l'éternité des mots prononcés.
J'aime découvrir et lire toutes formes de poèsie mais j'ai, jusqu'à ce jour, une tendre préférence
pour les textes de Rainer Maria RILKE :
"Vois, notre amour n'est pas comme est celui des fleurs, histoire d'une seule saison :
dans nos bras monte, lorsque nous aimons,
voilà , jeune fille : ce que nous aimions au coeur de nous,
ce n'était pas un être unique, attendu,
c'était cette houleuse éternité"
Amitiés poétiques,
La passagère.
#4
Posté 27 avril 2007 - 07:48
et j'aime aussi la citation de Rilke.
cette conception de l'amour,
comme quelque chose qui nous dépasse vraiment...
Bien à vous,
Artemisia
#5
Posté 27 avril 2007 - 08:44
vers cet inconnu qui nous dépasse, et
vos textes en sont nimbés souvent...
Merci à vous Artémisia,
Amitiés.
#6
Posté 28 avril 2007 - 12:01
L'indicible beauté de cet amour
Brillera à tout jamais
comme cette étoile-velours
au firmament de l'éternité,
Et je remonterai mes doutes
jusqu'à la source sacrée
où tu naquis ce jour
ma belle âme incarnée.
Car il n'y a nulle part où aller
Si ce n'est ce royaume intérieur
Où s'écoulent nos larmes de jais
Pour fleurir nos désirs de bonheur...
Franchement, je n'accroche pas du tout parce que je trouve que ça manque de piquant. Il y a pourtant du piquant, dans les fleurs et le bonheur, mais il y a je ne sais quoi qui manque d'énergie.
Mais ce "royaume intérieur" m'intrigue.
Jaguar.
#7
Posté 28 avril 2007 - 04:37
Jusqu'à la source sacrée"
Vous ne sauriez si bien l'écrire.
Je vois là des peurs
En profondeur.
Que votre conscience
A pris conscience.
Et rassurez-vous........je vous assure
Vous êtes en devenir........
Allez à cette source
Vous en reviendrai...transformée
#8
Posté 28 avril 2007 - 08:34
"Et je remonterai mes doutes
Jusqu'à la source sacrée"
Vous ne sauriez si bien l'écrire.
Je vois là des peurs
En profondeur.
Que votre conscience
A pris conscience.
Et rassurez-vous........je vous assure
Vous êtes en devenir........
Allez à cette source
Vous en reviendrai...transformée
Merci Lisange,
La traversée est effectivement parsemée d'embûches
et de pièges qui nous font peur.
Mais je vois que vous avez compris mon monde intérieur,
je vous remercie de votre visite.
Amicalement,
#9
Posté 28 avril 2007 - 08:41
Franchement, je n'accroche pas du tout parce que je trouve que ça manque de piquant. Il y a pourtant du piquant, dans les fleurs et le bonheur, mais il y a je ne sais quoi qui manque d'énergie.
Mais ce "royaume intérieur" m'intrigue.
Jaguar.
Nos mondes ne se ressemblent peut-être pas
et les fleurs qui peuplent le vôtre n'ont pas la même saveur... mais
"La voix de la vie en moi ne peut atteindre l'oreille de la vie en toi ;
mais parlons afin de ne pas nous sentir seuls."
Bien à vous Jaguar,