2 réponses à ce sujet

[LeGénéralHamilton]

" Un homme avait des hôtes. Lorsqu'il eut préparé le festin, ilenvoya son serviteur pour appeler ces hôtes. Celui-ci alla chez le premier et
lui dit : " Mon maître t'invite ! " Il répondit : " J'ai de l'argent à recevoir de
marchands, ils viennent vers moi ce soir et j'irai pour leur donner des
ordres. Je m'excuse pour le festin. " Il alla chez un autre et lui dit : " Mon
maître t'a invité. " Il lui dit : " J'ai acheté une maison et l'on me demande
une journée : je ne suis pas libre. " Il alla vers un autre et lui dit : " Mon
maître t'invite ! " Il lui répondit : " Mon ami va se marier, et c est moi qui
ferai le festin. Je n'irai pas ; je m'excuse pour le festin ! " Il alla vers un
autre et il lui dit : " Mon maître t'invite ! " Il lui dit : " J'ai acheté un champ,
et je ne suis pas encore allé percevoir le fermage. Je ne viendrai pas ; je
m'excuse pour le festin ! " Le serviteur revint et dit à son maître : " Ceux
que tu as invités au festin se sont excusés. " Le maître dit à son serviteur : "
Va dehors, dans les rues, et ceux que tu trouveras, amène-les pour qu'ils
dînent. " Les acheteurs et les marchands n'entreront pas dans les lieux de
mon Père "

[Lé Clone]

Ils s’étaient à peu près tous dispersés.
Vendeurs et félons.
On joue la collaboration.
Dans l’écrasement des ombres,
la condamnation. L’accolade. —
J’hésite sur le mot comme une écharde plantée dans la main.
J’ai gardé pour cette fois-ci le sang du coq.
L’écorchement des lèvres.
Tout y apparaît dans tout ce bruit.
Autour de lui.
A croire dans les gloussements
une part de confidences.


...

[.ds.]

J'ignore pourquoi ?