
Je ne veux plus rien dire
#1
Posté 27 avril 2007 - 09:12
Facéties et figures s’écrivent à peu près
Sous de l’apathie la dictée
Et puis si nous ne sommes que ce qu’on paraît
Si rien n’existe et tout est oublié
Inaccessible en vérité.
...
Oh qu’on me laisse lassée écrire
sans me juger.
...
Que je hais le bonheur stérile et enivrant
Bah, j’apprendrai bien à être seule aussi.
Que je sois qu’une fois ce que je voudrais être
Et j’en mourrai sûrement
#2
Posté 27 avril 2007 - 09:49
Je ne veux plus rien dire qui ne soit insensé
Facéties et figures s’écrivent à peu près
Sous de l’apathie la dictée
Et puis si nous ne sommes que ce qu’on paraît
Si rien n’existe et tout est oublié
Inaccessible en vérité.
...
Oh qu’on me laisse lassée écrire
sans me juger.
...
Que je hais le bonheur stérile et enivrant
Bah, j’apprendrai bien à être seule aussi.
Que je sois qu’une fois ce que je voudrais être
Et j’en mourrai sûrement
C'est très, très intriguant, ce que je ressens à lire ce texte. Je suis extrêmement gênée par des tournures de phrases et par la façon d'appréhender la pensée vagabonde.
En même temps, je trouve uen énergie énorme, une attente de quelque chose. Pas du tout sur le fond ou le sens des mots, hein... mais enfin, c'est l'impression qui surgit à te lire, là .
Félice.
#3
Posté 27 avril 2007 - 09:56
Je ne veux plus rien dire qui ne soit insensé
Facéties et figures s’écrivent à peu près
Sous de l’apathie la dictée
Et puis si nous ne sommes que ce qu’on paraît
Si rien n’existe et tout est oublié
Inaccessible en vérité.
...
Oh qu’on me laisse lassée écrire
sans me juger.
...
Que je hais le bonheur stérile et enivrant
Bah, j’apprendrai bien à être seule aussi.
Que je sois qu’une fois ce que je voudrais être
Et j’en mourrai sûrement
C'est le ton supremement interieur qui me retient ici, Laure. Cette atmosphere intime, confortable malgre la pierrette qui chatouille la piece!
Orni
#4
Invité_Tyi_*
Posté 28 avril 2007 - 01:03
#5
Posté 28 avril 2007 - 05:50
Je trouve cela mauvais
C'est exprès