
le ciel est bleu la mer est verte laisse la fenetreouverte
#1
Posté 27 aoűt 2008 - 01:15
<H4 style="MARGIN: 0cm 57.6pt 0pt 54pt; TEXT-INDENT: 36pt; tab-stops: 396.0pt">Le ciel est bleu et Marie est bleu</H4>
Il s’agissait de gagner sa Vie comme du pain sur la planche Or que j’en avais mieux dit à donner le mien à tous ces oiseaux j’en vins à Notre Vile la Fausse Commune Moi Roi des Fous je convenais qu’il me fallait aimer encore la parole des ours à qui Christ avait parlé . Eux plus enclin par ces faire à me tirer des larmes d’émotion que la Sainte Croix pouvait encore mieux redistribuer moins que vendre plus encore donner en partage à la multiplication des talents je dis : « 3,1415926…. Je serai Magicien » L’enfant eut un silence et respira . LE BARDE D’EN BAS EGALITé
Le ciel est beau la mer est verte laisse un peu la fen$ĂŞtre ouverte
Magie n’aime pas l’amour de donner la mort . Magie aime l’amour de donner la mort.
Le ciel est beau la mer est verte laisse un peu la fenĂŞtre ouverte
Rosée sur tout Rosée surtout que le soleil se lève sur le pré Rosée osée posée
Sur les fleurs en fleurs le ciel est beau la mer est verte je revenais
Personnage de Légende tendre mes cheveux noués aux marins qui passaient
Sur les fleurs en fleurs le ciel est beau la mer est verte la Rosée osée déposée
N’était plus rien que la mort de Magie N’était plus rien que la vie
Qui passait au bras de Marie José Je reviens revenant revenait
Tu n’as jamais aimĂ© Sais tu Magie RosĂ© que les revenant s’en vont Ă
L’aube au suaire se confesser d’avoir voulu entre tes bras
Aimer celle qui n’avait jamais aimé Le ciel est beau la mer verte
J’ai laissé ma fenêtre ouverte puis l’ai refermé l’ai rouverte
Tu revenais Laisses un peu ta beauté te délaisser Magie Rosée
Osée déposée entre les livres où tu passais tes yeux plissés
Osé ! Non ! La vieille poésie te souhaite le Bon jour !… Bon Dieu
Que ces yeux ont plissés comme un cœur sous les Cieux
Vides d’après Marie José avide d’emplir un soir le vide de Vidal
Tranquille était Marie José vide de n’avoir jamais quedal
Empli d’amour Vidalaï Le ciel est beau la mer est verte j’ai laissé ma fenêtre ouverte
Ou bien fermée Putain de sortilège Magie rosée t’es revenue verte
Bleu coloriée couverte découverte en train d’aimer .
Revenant drapée fantôme poésie amour amitié
Le ciel est beau la mer est verte laisse la fenêtre ouverte ou bien fermée
Je saurai frapper Je saurai frapper ton nom Marie José
Que tu reviennes revenant revenue me hanter plissant tes yeux plissés
Que t’as jamais aimé A moins que par eux tu ne pleures
Encore d’avoir été aimé Magie osée Marie José recule
Vers moins de vie moins d’amitié avance et puis pendule
Magie osée tentée Marie José tu gesticules et quoi tu ris
Audace Audacieuse audacieuse mais quoi tu vis
Que ce n’était pas cela voir se voir dans un miroir
Triste mouroir rire est ce politesse de désespoir
Savoir plaire déplaire savoir savoir et puis savoir surtout tout oublier
A moins que ce ne soit encore soutenu par Marie José oublier
Tous tout le papier le chant la couleur tout lancer
Tout balancer dans l’abîme Tout donner pour ne rien prendre
Qu’apprendre prendre est un joli scaphandre quand on n’a rien donné
A part l’amour et l’amitié de revenir tel le scolopendre
Gesticuler de gauche à droite de droite à gauche vers la mer en allée
L’éternité Quoi Marie José Abandonner la mer en allée
Abandonner le ciel bleu les fleurs minuscules offertes Ă perte
En collier revenir fallait oser jusqu’au bout abandonner
Tout tous à qui qui qui à ceux qui t’ont donné
Qui n’ont donc rien appris qu’on ne prenait jamais que la mer revenue
Le ciel bleu et l’éternité pour obtenir ce sourire ce rire ce mourir ce vivre
Dieu que la mer semble démontée allons marine audace encore livre
Reviens oser le ciel est beau€ la mer est verte la fenêtre ouverte vivre
Suivre dépasser revenir revenue le revenant s’amuse O Muses
Que vous m’avez fait pleurer rire et puis la ruse m’use
Aimer n’est pas suffisant pour aimer il faut savoir s’abandonner fuses
O Magie Rosée s’il suffisait de rimer Charmante buse
Tu n’as jamais su ce qu’était aimer Moi pauvre de moi
Je n’ai jamais su que l’amitié ne cause pas d’émoi crois moi
Aimer un ami un coéquipier c’est mieux qu’un Roi
On n’en rit pas on n’en pleure pas on n’en joue pas
On ne discute pas allez pas Ă pas laisse toi ami dans le miroir
Allez pas Ă pas laisse toi aller Ă jouer avec qui mais Ă papa
Une maman un enfant qui dans le pré vert le ciel orange
La fen$être ouverte ou bien fermée laisse aller se dire
VoilĂ donc qui je suis et en sourit ! et en sourit ! et en sourit !
Que les amis soit aimés ou bien chanté ou bien rit
On ne peut désormais plus en douter Marie
Qu’ils n’aient rien à donner aussi
Qu’ils fasse mal la poésie aussi
Qu’ils repassent le drap du lit qu’ils défassent mal les plis qu’ils
Passent et repassent par dessus les pissenlits pis qu’ils
Se passent du ricil sur les sourcils qu’ils
S’égarent au loin se garent prés vers la fenêtre ouverte ils
N’en sont pas moins revenus nus ou couverts ces presqu’îles subtils
Mon vœux cher anamitié si je n’ai su moi aussi bien donner
C’est d’avoir pris qu’il ne fasse pas le moindre plis que je suis
Ton ami Ah rit rit donc j’ai eu tout ce que je voulais
Tu as pris ce que tu voulus jeté ton dévolu par la fen$etre ouverte
Le ciel bleu la mer verte et retrouvé devant tes yeux cernés certes
Ma blague en Miroir oblique te faire de nouveau rire
A moins que ce ne soit mourir de vivre vivre vivre faut bien vivre de mourir
Ce bon père Démocrite n’était pas hypocrite n’était-ce pas Héraclite
N’était ce pas Démosthène cet amas hétéroclite est il encore hiératique
Ah si seulement tu étais là Magie Rosée osant me posséder
Me désosser je retournerai et retournerai poëter chere Marie José
Me construire le murmure mûr et très certainement chuchoté
Lequel tu préféras écoutes bien aimer et moins aimer aimer
Très chère anamitié mon amour ma beauté tourne la page
Et lit vas te faire fouailler va te faire mouiller sous l’orage
Qu’une rage raz la page te prenne car je suis le fou le plus sage
Celui que je sais avoir hanté marge à droite à gauche marge
Et plus rien plus rien ne me fait douter je suis un écrit vain
Un bout de pain un verre de vin je suis du café au lait
Olé Maria José il faut savoir oser et oser jusqu’au bout en avant
La route est dure mais elle est Belle est la mer est verte est le pré est bleu est le soleil savant
Le cresson violet les roses roses et les belles en allée me font moi aussi revenant
Vous déclamer foutre Dieu qu’on ne joue pas à l’amitié
Aimez aimez j’aime bien chanter si vous avez joué allez Café
Trempez croissant de lune au reflet la mer ondulée
Le cresson bleu la fenêtre ouverte ou bien fermée
Deux trous de c$ôté zou repassez mariée Marie Maria José
Me dire Je vous souhaite le bon jour de Magie Rosée
Je suis une vieille légende un amour du passé une amie
Un rire un ordre un jeu un lacet un pleur un demi
L’ennemie de vos cœur l’amie de votre vie l’amour qui n’a jamais
Su autrement aimer aimer et puis quoi c’est déjà assez
J’en veux un dernier vous passez j’en suis aise
Je ne veux qu’une belle ne doive qu’à son aise
Ce qu’elle doit de prendre et surtout qu’à l’aise
Elle puisse toujours au bord des falaises
Tout abandonner Tout Tous fadaises
Qu’on lui donne à son tour prothèse sur mortaises
Le baiser osé posé rosé d’aimer l’amitié bébé
Aimant toujours aimer ami ami à moitié
Disons revenue posséder un corps encore
Moins désossé qu’à moitié dévoré de ses sorts
Puis que la mort lasse elle fît ce que font les délaissés
Le mort pour mieux expliquer – c’est du papier - que la paix c’est
De vivre en riant en souriant de vivre de mourir
Et de mourir d’aimer même à moitié pardonnée
D’avoir vécue de vivre et crue un jour devoir un jour
Abandonner Magie rosée ! le ciel est bleu la mer verte ma fenêtre
Est ouverte comme un tombeau aimant filer Ă deux cent vingt au compteur
PrĂŞte pour toi Ă me damner ? ah pardon pardon pardon
Je ne voudrais moi pas exagérer moite moite moitié retournée
Ma main s’en est en allée allez allez alléluia Maria
Gloria in excessis deo revient moi Bella osée
Ma main s’en est allée t’ai je rescussitée ? le ciel bleu la mer verte
Ma fenêtre ouverte ou bien fermée je n’ouis de toi rien que couverte
Que le beau titre de découverte et le sol se dérobe
Et je chancelle et je balance c’est extraordinaire le papier job
Me manque de quoi une dernière clope clopin clopant
Qui brille un peu ah dernier jeu au fond de tes deux yeux
Mouillés d’étoiles la mer $$$bleu le ciel beau que n’ai-je
De quoi parfumer un peu
tes doux cheveux …
A cette géométrie mon compère la bête aux longues dents et grandes oreilles vendait ses femmes fontaines piégée de larmes d’Eros et de sueurs délicieuses le sang de ces pucelles désirant TOUT que je leurs fisse plaisir se vendait entre deux Rois Mages le Prix de la paix et le magicien dit encore : « Je VIS ! Tu VIS ! NOUS VIVONS ! VOIS »
Mais le petit poucet riait en paix
Alors je pris un de ses cailloux le soulevant un ver orange circula lentement d’en dessous et le Magicien redis « Manges le ver et comprends que rien n’explique le ver ici et maintenant » le marchand aux longues oreilles s’approcha et goûta la bête. Son goût fade et sucré le fit sourire puis songer . « peux tu m’apprendre O magicien ? » Le magicien dit « soulève le cailloux et le voleur ne vit rien le Magicien dit « Vois et Entends . Tu voudras jeter cette pierre car elle ne couve pas c’est pourquoi la bête ne te nourrit pas et que tu vends des cailloux Or il arrive qu’on achète tes cailloux lorsque tu ne les jettes pas Et que l’on trouve à fabriquer des maison avec Pourtant rien n’explique au fond les maisons Ainsi du ver » L’homme partit en pleurant le premier.
#2
Posté 27 aoűt 2008 - 03:09
fut d'endurer cette sat-
anée fenêtre ouverte
et les cris qui Ă perte
d'oreille s'ébattent
dans l'air qui sature
zébrures !!! JMV
#3
Posté 27 aoűt 2008 - 04:47
aussi insupportable pour le lecteur
qu'intarissable pour l'auteur
et "le vide de Vidal" est toujours vide...
#4
Posté 27 aoűt 2008 - 05:07
logorrhée
aussi insupportable pour le lecteur
qu'intarissable pour l'auteur
et "le vide de Vidal" est toujours vide...
paname laches moi ! retourne à tes petits vers planplans ! laissent se déraciner ceux qui ont en le ventre ! laissent les nuits blanches aux adeptes de l'aube ! et retourne jalousement louchant sur les notations de tes professeurs qui te faisaient blèmir ! aujourd'hui toujours pas poète tu donnes dans le censeur ce qui n'est pas loin de censure ! et la censure est ennemie de la liberté ! couchez la bête !....
ah oui inutile d'ajouter que les noms de soupault tzara artaud dali de qincey poe gala duchamps appolinaire vitrac te sont inconnus ou te donnent des boutons ! encore une fois va faire pion sur les bancs de l'école et laisses cet espace d'expression poetique dans lequel tu l'as trouvé en entrant !
#5
Posté 27 aoűt 2008 - 05:14
#6
Posté 27 aoűt 2008 - 05:22
où peut-on te lire lé clone ?? JMV (calmé)
#7
Posté 27 aoűt 2008 - 05:39
paname laches moi ! retourne à tes petits vers planplans ! laissent se déraciner ceux qui ont en le ventre ! (...) couchez la bête !....
ce n'est pas parce qu'on a du ventre qu'on peut s'autoriser à le lâcher partout comme avec les pruneaux de Molière !
tu le dis toi-même, bien qu'en français approximatif : "laisses cet espace d'expression poetique (dans l'état) dans lequel tu l'as trouvé en entrant !"
les noms de soupault tzara artaud dali de qincey poe gala duchamps appolinaire vitrac te sont inconnus
que nenni ! mais tu as grossièrement oublié JM Vidal...
Dixit JM Vidal :
"Paname la prochaine fois : dit il y a un je ne sais quoi plutĂ´t que quelque chose t'aura l'air de savoir de quoi tu parles mĂŞme si tout comme lĂ tu ne sais pas le dire !!!"
donc même quand on te fait un début de compliment, tu n'en veux pas !
il te faut tout de suite la grande louange !
dsl, mais ici, tu n'auras rien de tout cela.
car ici je sais de quoi je parle, et je sais le dire, et même le répéter : logorrhée stérile !
Quand tu vois de la censure dans une critique, c'est bien toi qui ne sais pas de quoi tu parles.
Te lâcher ?
encore faudrait-il d'abord avoir trouvé un bout quelconque par lequel pouvoir te prendre !
je te laisse avec ta schizophrénique logohrrée
même Lé Clone dit friser la surdité avec toi !
vu sa capacité d'écoute, et je ne parle même pas de musique sérielle, mais de la tienne, c'est un signe, hein !
qui devrait t'alerter et en tout cas te pousser à l'humilité et au respect
plan plan Paname, la bĂŞte qui ne se couche
et qui te salue bien...bas
PS
jamais de "s" à l'impératif des verbes du 1er groupe, monsieur Soupault !
#8
Posté 27 aoűt 2008 - 05:48
Dixit JM Vidal :
"Paname la prochaine fois : dit il y a un je ne sais quoi plutĂ´t que quelque chose t'aura l'air de savoir de quoi tu parles mĂŞme si tout comme lĂ tu ne sais pas le dire !!!"
donc même quand on te fait un début de compliment, tu n'en veux pas !
il te faut tout de suite la grande louange !
dsl, mais ici, tu n'auras rien de tout cela.
car ici je sais de quoi je parle, et je sais le dire, et même le répéter : logorrhée stérile !
Quand tu vois de la censure dans une critique, c'est bien toi qui ne sais pas de quoi tu parles.
Te lâcher ?
encore faudrait-il d'abord avoir trouvé un bout quelconque par lequel pouvoir te prendre !
je te laisse avec ta schizophrénique logohrrée
même Lé Clone dit friser la surdité avec toi !
vu sa capacité d'écoute, et je ne parle même pas de musique sérielle, mais de la tienne, c'est un signe, hein !
qui devrait t'alerter et en tout cas te pousser à l'humilité et au respect
plan plan Paname, la bĂŞte qui ne se couche
et qui te salue bien...bas
PS
jamais de "s" à l'impératif des verbes du 1er groupe, monsieur Soupault !
toujours ton côté professeur à deux sous ! juste une mise au point ! quand je disais dis je ne sais quoi à la place de quelquechose ct une tentative d'humour ! comme quoi la communication ... bref au moins je ne laisse pas indifférent ! bref _
#9
Posté 27 aoűt 2008 - 05:55
mais j'avais bien compris
j'arrĂŞte, car la communication et moi, tu sais bien...
#10
Posté 27 aoűt 2008 - 05:59
et quand tu dis censure, c'est de l'humour aussi naturellement
mais j'avais bien compris
j'arrĂŞte, car la communication et moi, tu sais bien...
non quand je dis censure je dis censure monsieur le censeur sensé savoir où le sens est . ce n'est pas que je n'apprécie pas la critique quand elle est constructive mais il y a un parti pris dans mes textes que tu ne veux pas admettre . Ca bloque . Ca te gène . T'as besoin des "nuits de chine/nuits câline" pour chanter pardessus les charniers et là je ne plaisante pas . C'est dommage . C'est grave . c'est con .
#11
Posté 27 aoűt 2008 - 06:19
Dixit JM Vidal :
même Lé Clone dit friser la surdité avec toi !
vu sa capacité d'écoute, et je ne parle même pas de musique sérielle, mais de la tienne, c'est un signe, hein !
qui devrait t'alerter et en tout cas te pousser à l'humilité et au respect
Non, Paname, sers-toi de TES arguments, stp, et ne déforme pas mes propos. Ne les sors pas de leur contexte particulier, précis, n'en fais pas des généralités ou des alertes. Rien de ce que j’ai écrit ne doit alerter Jean-Marie ni quiconque. Ma parole ne vaut pas plus que celle d’un autre. Et, surtout, j’ai parlé de médicament " on " à ce propos, ON voulant bien dire " en fonctionnement, marche " et non pas arrêt, off. Personnellement, je ne trouve pas que Jean-Marie ait manqué un quelconque moment de respect. Même si je ne suis ni capable ni désireuse d'entrer dans une spirale d'écriture aussi débridée, cela ne vaut pas dire que c'est vide. C'est au contraire très PLEIN, riche, à en donner des larmes.
Jean-Marie, je t’ai envoyé un MP pour répondre à tes questions, je ne sais si tu l’as vu.
#12
Posté 27 aoűt 2008 - 06:39
Non, Paname, sers-toi de TES arguments, stp, et ne déforme pas mes propos. Ne les sors pas de leur contexte particulier, précis, n'en fais pas des généralités ou des alertes. Rien de ce que j'ai écrit ne doit alerter Jean-Marie ni quiconque. Ma parole ne vaut pas plus que celle d'un autre. Et, surtout, j'ai parlé de médicament " on " à ce propos, ON voulant bien dire " en fonctionnement, marche " et non pas arrêt, off. Personnellement, je ne trouve pas que Jean-Marie ait manqué un quelconque moment de respect. Même si je ne suis ni capable ni désireuse d'entrer dans une spirale d'écriture aussi débridée, cela ne vaut pas dire que c'est vide. C'est au contraire très PLEIN, riche, à en donner des larmes.
Jean-Marie, je t'ai envoyé un MP pour répondre à tes questions, je ne sais si tu l'as vu.
qu'est ce c lé clone un MP (un message personnel ?? mais comment on fait !!!!! aidez moi je l'ai bien vu mais je ne sais pas comment moi le déclancler tu trouveras à ton adresse yahoo un email que je me suis permis de t'envoyer) Merci lé clone pour ce que tu dis . donner des larmes donner des fleurs . je peux dire la meme chose de ton blog . pour que foetus ? jeunesse ! le texte de laura c vrai que je suis allé (trop) loin dans l'expèrience de l'intime et que je regrette de l'avoir avec impudeur confié à ce site . Pour le reste je ne regrette rien . Il y a dans tes textes quelque chose de Durassien . J'espère ne pas te choquer . et ce sans flagornerie . je dis ce que je pense je pense ce que je dis et quand je ne pense pas quelque chose je ne le dis pas (ct à peu de chose prés le mot d'ordre du PS en 2004 comme quoi...) . Lé Clone sort moi de ce site !!!!
#13
Posté 27 aoűt 2008 - 07:08
T'as besoin des "nuits de chine/nuits câline" pour chanter pardessus les charniers et là je ne plaisante pas . C'est dommage . C'est grave . c'est con .
ce qui est grave et surtout con, c'est de ne pas savoir /vouloir lire d'autres écritures que la sienne
je revendique hautement mon traitement de la Chine câline
qu'il te fasse gerber, ça m'en touche une sans bouger l'autre
si tu ne t'y plais pas, oui, sors-toi de ce site
tout seul comme un grand
mais moi je t'aime bien, tu sais, comme tout le monde ici
salut Ă toi, sous-Soupault

#14
Posté 27 aoűt 2008 - 07:30
Quel souffle!
Ce texte a poussé (pour moi) une lecture à voix haute, il y a de l'incantatoire.
J'entends une volonté et une énergie qui communique avec le lecteur - bien malgré lui (?) - transportée un temps hors de moi.
merci
merci agathe et quel oeil ou quel oreille Mes textes sont en effet plus à déclamer à lire d'une voix rapide et faits d'halètements plus que de respiration , d'halètements criés , strides , j'y veux cet énergie qui imprime au lecteur un tournis et emporte son monde en l'enserrant dans le sens de mes mots lui faisant alors écho . Je suis allé sur le lien mais point d'agathe mais un gaston qui remportait la palme des critiques les plus basses . Le texte etait pourtant fort, noir, etouffant, il avait bcp de qualité . Mais la vue basse loin de l'incatatoire les pathétiques faisaient le siège . dommage . http://Kribler1.spaces.live.com
http://lanuitcannibale.over-blog.com (passez les trois ou quatre premiere page je te recommande les 4 comme un lavabo)
Merci encore . JM chartres
#15
Posté 27 aoűt 2008 - 08:36
Je suis allé sur le lien mais point d'agathe mais un gaston qui remportait la palme des critiques les plus basses .
il n'y a aucun gaston sur mon site, tu dois avoir des hallucinations.