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Dans la neige noire .


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4 réponses à ce sujet

#1 Jean-Marie Vidal

Jean-Marie Vidal

    Tlpsien ++

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Posté 28 août 2008 - 06:17

...Mais voilà, je suis -l'âme et le coeur transportés par l'ivresse- je suis repris par les choses de l'Amour. Je file, aussi, dans ses bras. Comme le temps du rêve est dans la droite ligne de ceux qui prennent ( ...) de l’encre (sic), comme tous sont de ce Coin de pardon là, que ma femme a disparu, que les robes noires ont disparu, les robes noires ont disparu, dans les rues noires, dans la Nature noire, dans la neige noire, c’était tellement important, je ne pense pas la revoir, et je l’ai vue sous les traits de Maria, d’Isabella, d’Aïcha, d’Arianna, aux sourcils noirs, aux yeux noirs, au chapeau noir, à de ces mécaniques noires qui nous perdent de nouveau pour le Rêve. Même si ce n’est sûrement pas du Rêve qu’il nous faut, mais des Saintes Bien-heureuses, des sites Miséricordieux, il ne m’est pas étonnant de déclarer à RoBien des Bois (qui partit la dernière fois que nous nous étions vus, me lançant : « -Et moi, je n’ai pas de clones !! Dis toi bien que je n'ai pas de clones, moi :: ») Je lui ai donc dit la dernière fois : « - Je possède 160000000 £, j’ai un invetsissement galactique ! J’investis chez les extratrerrestres !!!",, et tout ce que durant quinze ans, j’ai mélangé autour d’une table où tu fus conviée de mettre en concordance l’amour en équation et les photos de Padre Pio, les illustrés interdits, ma myrrhe et la santé mystique optimiste, la santé joyeuse, le tout rangé dans l’histoire de ma rue.



Toi, Tu t’en retournes à ma poësie urbaine, tressant des appels d’air sous lesquel un autre aurait cédé, le dos scié par la Vie retranscrivant point par point le cacatoes de l'écrit ; me rendant, mais moins, malade ; mais là, hélas, Maria et Claudine me disent que la haine est première, alors qu’elle soit, passe encore, au fond de la fatigue, au fond de la pitié, au fond de l’amour, et, la moitié de mon nez dans son décolleté, me font passer en première très doucement. Je cours contre ma solitude, j’ai quitté Maria, j’ai étranglé Beatrice plusieurs fois, je me dis :

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"Tournes, Tournes dans les mots des désirs coupables, tisses les de nobles sentiments, choisis de bon guittariste, cherches et tu trouveras, sois comme un coupable, un bleu, un coup, qui ne s’attend à rien, sois comme un bandit et un saint, qui te pardonne et te menace et te menace et te pardonne, étiologie des pigeons qui, hot, ont tant dansé à faire sur toutes les statues, sois comme ce guérilleros pacifique -Mon Ex, Père, aime, minante- expèrimente ton cœur, -Mes Ex, amante et amants aimant immensement, ProfonD'Amant - je réfléchis - Sois comme le volcan des veines, l’orage des nerfs, la tendre bise du matin de TaMort, et pour d’autres fleurs d’autres astres, d'autres fréquences, moi, ouragan de Chartres, chien de traineau, j’ai refait le Rêve pour deux fées, cadeau dada , cadeau dodo, de quelques succubes dans un Rêve érotique, lances tes "ces sortilèges du grand soleil d’une bouche malade de miel" et ne convie plus la Mort à faire son stabat Mater dolorosa, goûte le manque, la faille, N'oublie pas que (excuses) je ne suis qu'un AnniMâle, c'est chouette, trés chouette http://lanuitcannibale.over-blog.com, et le.silencieux@live.fr, et cet ancien disparu http//:lesflicsmetaphysiques.blogspot.com, (Où es-tu ? Que deviens tu ? que devient "TU" ? sans la flemme des Flancs Beaux, avant de te risquer de nouveau dans la bouteille de telle ou tel, que fais-tu la nuit, que fais-tu de la nuit ?) re-comment c'est, recommençant recommencer, qui ne manquera pas de te FaBriqué, sentant le Fa aprés la douche, de l’espoir d'une Sur-Vie, de la tristesse aussi d'aussi haut Si ( en PiAnniesSiMots) - de si vives, de si fausses Commune Hôtée.



Lacunes ! fusées ! : TROMPETTES !!! Gloire soit au Trés oH du Fisl Amour (T.S. TSSS TSSS TSSS TSSS) ET au Feu (ffffttttt fffffftttt ffffffttttt) du Sain d’Esprit ! Gloire soit aux femmes ! aux Reins gares !Triomphes de mes Ivresses ! Tout est dans cette tristesse que tu chéries plus que la Vie (EN VOUDRAIT-ELLE A MA PEAU (HummmmmmmmmmmmmAnnitée ?) - Faut-il que tu ne demandes pas trop à cette nouvelle poupée, elle te renverserait sur le siège arrière bien mal, de la même manière mais avec un revolver chargé de Cul-Rare. Oui, elle te renverserait tout court, une balle dans la nuque, sans t'allerter, le côté gauche du cerveau paralysé, que le froid soir du Mot Dit Modique, En Porc Tant emporté, emportant avec lui dans la bleuité qui, tout de suite, t’envahit, vers cette tristesse qui me fait jouer du piano sur mon clavier étrange, tu me crois plus capable qu’un autre de terrasser et le poëte et l’amant. En attendant qu’elle me prenne avec douceur, j’écoute un air véritable de vrai piano, comme, en certains, j’ai écrit mes livres, rêvant d’un jeu toujours plus subtil, pour un lecteur encore plus ivre, mais digne de ce nom, triste batard sans fin qui attend la chute, (chut :.................) qu’ils fussent conviés devant un évier sale, ensembles au milieu des rats et des taches de café, dialoguant sur une table, se perdant, se retrouvant, parlant du Désir et de la Soif avec mes larmes qui ne coulent plus depuis que j’ai cru la tenir. Femme du feu que j’étais de la mordre, Monk me le dit assez bien, Faithfull me le disait encore, Maria me le chantait. Il y eût les envahissements silencieux, puis une voix, celle très belle d’Arianna (pour elle, Deux Voeux Nus : devenir fous, et libres) et enfant, moi OS, travaillant, en secret, ( mes clones saignent-ils durant ce temps ?) que, Roi des WOR(l)DS WORD(l)DS WORD(l)S, j’essaie d’éclaircir.



Oh je me dis bien que j’ai toujours aimé la vie, que si je frappais sur ce clavier, en rejoignant l’autre dans quelque chose de mien, me retrouvant en l’autre, dans quelque chose qui fusse tout ce qu’on voudra, encore à l’aventure, (IL NE FAUTE PAS ; TAPE TAPE TAPE ET TAPE TAPE TAPE ), une Rose Rouge me revient, un Chapeau s’envole, le glas sonne, c'est fini, si ce n’était d’ajouter encore une précision qui, malgré ma solitude séminale, cette chute je ne la veux pas, Merde, Je ne veux pas que les choses s’arrêtent - Et surtout pas au mot s’arrêter ! Alors à bord mon roman fou, décapotable folle, comme une burne, avec une franche rigolade et panachés, comme arrivé en vedette sur la Seine, je re-fuse direct entre ses jambes, ce qui chez le poëte est une Metaphore de l’Amour, je déchire ma feuille de papier, sans explication, veux cette veuve et vœux ce 20e euh, je veux que cette musique ("hIt Alien") italienne t’entête, composée d’étranges emotions passagères à sa solde, L’Italie, du XIVe Xve machiavélique, et cet orgue de Barbarie, ceRUT français, moitié mercenaire moitié nationaliste, ce qui redonne le miel des abus, celui des abeilles muettes,et moi mué, meilleur.







J’ai décidé de ma mission : j’esPIonne le Réel. Nous continuons, fût-ce dans ce silence que nous habitons, de tes yeux, tout à coup, tristes, Thérése aux ciels changeant de ce bel hivers, cet automne comme une joyeuse règle, cette courageuse soirée d’été. Qui sera président ?



Après tout une ligne mélodique, un autre dit mélodrame, et c’en ai fait, le Monde produit son Putonimium enrichi, la France une comédie tragique, le paradis ma divine tragédie qui s’étend, s’étirant les larmes sur mon imprimante, couleurs de la colère sur le genou des Dieux, de la race des Seigneurs valant mieux qu’histrion qui vocifère et, Et et, pour ce 2Em Hugo se LentSans dans le ridicule, tandis que, devenu Démon de Merde, puis passant Démon de Sang, d’avoir mal aimé, je pesais et soupesais primitivement tous les opéra de bibiothèques pleins de poussières cosmiques, (1990-9-1998-2000), aujourd’hui homme Méta-angélique, on me demande de rester encore, cosmonaute sanctifié.



Ce Putonium, LaMort , s’éloignant à ces mots, one’some waves, sons some ones’s been Nonne’s b(ees)’is be bis it’s (SONNE HIT: "ELISA Bête) It’s not my ProBlème, Elles cassées, IT'S NOT MY PROBLEM THERE'S NO TROUBLE THERE'S NO TROUBLE (CHIEN DE BERGER, BEAU CE ROND BEAUCERON) bête : best beast on the beat eeeeeeeeeeeeeeeeeyyyyyyyyyyyyyyy okey gay ooooooooooooohhhhhhhhhhh je coudrai tant que tu t’en souviennes comme ce que le Réel Résonne, pense, et puis, encore, encore tonné : Qu’on ait pu m’aimer !!...Pour séduire, Essayer : Dit :Fer Amant, Assez YYYYYYEEEEEEEHHH wwwwwwwwwwwwwwwwwwwwwoooooooooooouuuuuuuuuuuuuuuuuH!!!)



Un autre, plus semblable s’il avait voulu se maintenir dans ses sentiments, alcoolique artificiel, ne veut plus se répéter, il lui faut avaler la fumée de blonde, montée, du coup un briquet tourne dans la basgnole tourne tourne petit furet, tourne, monté, me piquer la péronnelle, tout à coup éprise, se tord vers lui, se penche pour s’épancher, me quitte et me tue, me siffle un air coquin, le "Any EnTonne Ni AntiNo Ni Antitilles !! NO NO NO NO : PEAUX !!! BuShe qui la prend, triomphante, petite frog roide, froide, serrée, c’est un ré, c'est un mi, c'est un si, do ré, MIDI, si ces raies de lumières rances, mais, elle, marrante, genre qu’on y fait pas gaffe, qui s’éparpille pas qui balance, qui balance pas son son, qui balance son son, comme un vieux jazz, son jeu de Je-Vas-Au-vase 20em, qui, blanc faux, vaut le son d'un long ruban de DIE-NA-Mythe(s)littéraire(s) vivant(e(s)), de vieux Dieu(x), apocalyptique(s) (1993-1992-2002-1999-98-2004-1987) ( FA : mines ), découvrant la mêche sans la mettre à feu, oh ! Rages, Joutes : Ai-je ?) tandis qu’une bouffée glaciale de jalousie m’explique : - Il aurait mieux fallu que je me soucie de la Vérité, il n’y avait qu’à regarder sans son corsage dégraphé. Dieu sait le nombre de cheveux que j’ai sur la tête.

Y a-t-il une manière de faire dans ce réseau de télépathes, les amours éternelles, il faut faire plusieurs fois la route de la terre à la lune, plusieurs fois, concourir aux rapprochements des Mondes. J’ai passé ma vie à resserrer les coïncidences dans l’étranglement de mon entonnoir que d’autres voudraient vissé sur ma tête. Etre fou m’a bien servi. Mais cessons cette mythographie pour des formes plus réelles - Ici, les spectres de certains, les Cames-A-Rades prisonnières, bien intentionnés au moins, mes contemporains, (les Morts ? Pour vous les Morts entreront dans leurs Enfers, je me Tiens ainsi qu’un insoumis au seuil de la Mort, bousculant cent mille milliard d'étoiles - me glissent (Encore ????) un discours de l’Esprit.à) Reste ce vain 20e – et ces cris ainsi qu’un CHIFFRE- et voilà tous ensembles danses dans un miroir, Mâle-HAAAAA-Biles, SI IN -NOOOOOOOOOHHH-DIT-BLEU, si inaudibles, tant, ah ah ahan han han hahahan, inaudibles, par-dessus le Chœur ainsi si pauvre, remarquez, j’ai les moyens, je ne sais si ce qui m’échappe, tel gaz stimulé par des possibilités que j’ai voulues, moi, immam caché, Messie d’Operette, Vidalaï LAMA, anticipé, comandité, par des cerveaux géants, se fourre des BLANK BLANK BLACK AND BANCK BANK BANK BAND ............. Aux Prothèses ! Tatouages surprise sur lequel on peut lire Maria. Desquels j’articulais mes images, je ne sais si « Réel » est pour toi une abstraction, en tout cas, j’ai toujours, parcourant les immenses distances, dont certains rient, voulu me les rapprocher, et tant, j’ai du affabuler,,, en tout cas, j’ai voulu dire que cheval, cendrier, calendrier, opposés en cela aux idées des lieds selon lesquels on prouve que les effets sont tirés des causes qui les produisent, opposés au Monde de l’abstraction donc, mais de chair Par-Rôle drôle comme la croûte d’un bateau peint en vert, mauve, et rouge, d’un dément de mes connaissances, un Dit-Allo-GUEUX, ce dialogue droit dans la tourmente, la douleur de mon estomac contractant une inquiétude, (Et tous mes romans sont psychologiques).



Si j’ai besoin de revenir à l’entrecuisse ténébreuse de ma poupée dans la voiture, silhouette frémissant vivante, surtout que ce ne se voit pas. Sauf que RoBien des Bois, sauvé, mort de rire, têtant de la transaction, m’a dit juste « NON !_», métonymie de mes espoirs, que mes moteurs reviennent. J’ai surtout renversé la vapeur.J'ai dit "OUI ! .".



Je m’explique plus ou moins bien ce mouvement qui me fait concevoir aux choses inanimés un mouvement vers MaRia radiée radieuse ; je ne veux pas monter encore plus haut, baissant même le volume à cause de ma voisine, avec une témérité qui aurait du me convaincre de ne plus écrire, Jean Kribler tremble, tandis que des rats d’opéra sont transformés en robots à l’aide de petites décharges électriques explosives, d’un petit sac à dos bourré d’explosifs, la tortue ne va pas bien haut avec le lion, je le faisais exprés au contraire avec de l’EauD’AS, encore de l’OhD’Ass, toujours de l’EauD’Ace ; je n’ai que le ciel bleu avec soleil et lune, ciel d’un hivers magnifique, pourvu que Jean le Pou arrivât pour me convaincre, qu’il arrivât à me Con-Vain-Creux, me convaincre, moi, l'âné splendide, que la menace passe comme passent soleils et lunes qui passent comme passent les saisons depuis les Siècles des Siècles dans l’Univers SSSSSSSSSSIIIIIIIIIIII UUUUUH-Nie-Forme - poupée verte de réseau VER, Alors OOOHHHHHOOOOkey,ouvre, chez moi, le grand cahier des Etres vivants.





Aujourd’hui le Monde des barbares, pareil à celui d’hier, tout aussi fou, où je n’ai pensé que le hasard, et l’immense bordel que j’allais foutre dans la compagnie des Bises/ARTS. Les intempéries se concentrent, se désignent plus que se définissent, Sœurs de l’Avare.



Je file aussi vers elle dans le sourire que me tend ma Sainte douloureuse, enfant vive, menaçante, méchante, qui peut, petit bolide, un petit peu, aller très, très, vite, enfant insouciante aussi, sans le sou et s’en foutant, et prédestinée par le Destin, que je pose, là, parallèle à ma copain. Elle se glisse comme glisse ma voiture nuitée dans le col de mon poteau électrique, elle ne m’a jamais repproché mon manque d’imagination, mais mes mémé silencieuse, mes si lents cieux, car j’étais déficient mentale, handicapé déjà, de là, pelle-mèle, le rock à l’opéra si triste de n’avoir pas d’autres réponses que celle de mon MUZIK-HALL, et alors de penser (mon cœur me recogne, ce doit être du au trépidement de pieds). J’ai hérédité puis inversé l’ordre des choses, je n’ai pas inversé l’ordre de la pensée chez moi est une chose terrrrrrible, (Rit, Gide !), de ces choses que vous vous devez toutes de PrA(ss)Tiquer, et ces choses me pensent, cadeaux, auge de froments et de potages, et franchises de mots francs dans l’ensemble de mon Oeuvre,,, tandis que la vie qu’on balayaaaaaa d’un seul coup d’œil !.... Je n’en aperçois le nœud, la concrétion qu’à la poësie intermédiaire que je ronronne dans ton oreille à l’écoute d’ombres passagères, de murmures des sphères, mais pour quoi faire ?) et c’est ainsi cette sorte de ruée chantée : « Mon rognon, que la vie est belle ! Que la vie est belle, mon tendre petit rognon !...».



La vie est belle. Je travail en aléatoire sur l’aléatoire. J’en suis à ne me satisfaire que d’elle, telle qu’elle est,,, Amis, "K’Est-Ce à dire quand affirme la Nez-Cessité...etc", en tout cas à partir de maintenant chez moi, d’une écriture psychologique, astronomique à la Richard Lenoir. Ils interprètent les signes, c’est leur erreur, et j’ai surtout peur qu’ils ne deviennent aussi fous qu’une pythie aux scrofules sulfurées.

Ce que je trouve agréable, moi, c’est de sentir ce cendrier, ma Tête, ce Miroir s’emplir des mégots de ma pensée, le temps qui passe, un peu morbide. J’(2002-2004)ai entendu les calendriers de ta mémoire, les Cratères noirs des catholiques évacués, s’opposer à la guerre avec de grands larmoiements miséricordieux, que l’homme a voulu faire, Combien sont-ils ? Moi, de la force trop grande d’une Pensée magique, français, croyant en la Liberté, la Justice, l’Amour, je veux par ta pureté, ce petit cadeau ériger, tant qu’elle peut ton énergie évacuée face aux fracas des armes,,, j’oppose encore à ce théâtre de bruits et de fureurs, une cheville nue dans un des corps de théâtre calé dans les pages d’un livre. Cela me prend aujourd’hui du réseau VER, enfin trouvé, mais avec beaucoup de professionnalisme ; être pris de peur comme ma pomme fiancé à la vie jusqu’à ce que mort s’en suive. Chacun sa merde. Cette cheville, prend tout l’aspect d’un morceau de viande. Un exemple que j’aime citer, c’est un Ordinateur du Roi traduisant « le verbe s’est fait chair » par « la parole s’est faite viande » TZEU ZE TZUN TSE TSE MERCI

MERCI MERCI



MERCI .. J’apprends encore, ,,, ,,, ,,, tout est si nouveau .. Et d’épuiser, cerné car sage, car nous disons la même choses depuis des siècles, car de multiples Signes, car les soupirs, les notes, les possibilités, il me semble, je fatigue de trouver un jour à ces corps quelque chose vivant comme deux vivants, tel l’ordinateur, elle aurait du mal, tournant en rond ses algorythmes, à atteindre le sens du vivant, la Revolution se fait à deux, mais baiser est un tract, et me collant à ton tabernacle, frisant le scandale, les amours sont plus grandes que les galaxies.



Las de ces prétéritions. Mon carnaval te poste à une fatigue et à une santé. Que faut-il que je fasse, que j’y aille comme je suis programmé ? Je décroche mon téléphone. Elle aussi décroche tout de suite :

« - J’ai... J’ai peur de la Mort .... (elle glousse)

- T’en fait pas... L’Eglise... L’alcool...(dubitatif) Il trouvera ,,,,

-Ces mots nus mentent étranges (elle glousse)... prends du repos... Bouffe... (colérique) Je sais pas...

- la Morale, c’est un problème en ce moment...(sentencieux) J’ai pondu ma Mort, ma vie, la SousFrance et l’EfFleurs. (tout à coup badin) Je crois en Dieu le Père Tout-Puissant...etc.

-(nerveuse sans raison) C’est une obsession

-maintenant une peur a laquelle je pense, la vie qui m’échappe.

- Je dois prendre des risques toujours frais.... ou il prend la porte. C’est plus fort que moi. Arriver à ne plus pouvoir . A la fin... Â force de libertés… Ne plus en avoir...de Liberté

-(triomphant) Deux libertés !

-Avoir posé tant de verrous et que tu ne sois que serrurier.

-Eloigne de moi la coupe de la souffrance....

-Repose-toi. C’est ça, repose toi. »



LentNuits, l’ennui c’est ce qu’il y a de pire. Loin d’être un luxe, il y faut un glaive (980000000000000) repoussoir de fainéantise ; Pourquoi faut-il que je m’expose à tant d’excès... Saoulée de chimie, s’ecriant sous neuroleptiques, s’écrivant telle une esclave nue, « veut-on que je m’englue de résines handicapantes ». C’est que c’est toute la vie le pari de Pascal, les Nerfs. Alors je fonce à deux cents à l’heure, et je me réfugie en Dieu, le vieux Pas-Rat/Tonne : AIR ! mon paratonNerfs, qu’il me comprenne et dise : « Tu as le droit, le droit de penser, de t’exprimer, je t’aime, n’aie pour devoir qu’amour espèrance et foi, la Puissance 4em eeeeeeeeeeeeeeyyyyyyyyyyyyyyyEy du Sexe, Ivresse, et Douleurs ». Ils m’ont quand même pro- vie - danses-si-elle-MENT : renvoyé .











Attendant, ma ballerine a des lumières à elle. ON l’a fait, ON l’a refait, ON accomplissement du spectacle, ON ON ON HON HON, évitant jusqu’au bout la rambarde, qui rime avec vieux barde, vieil Bi-Hardeux, vivant enfin...



Oui, et j’ai le shoot exemplaire ! De ranimé toutes ces colombes, la vie c’est Tu. Hier, réceptive à l’amour, Eve, demain, lèvres réceptacles d’Anamour - De Souffrance aussi c'est-à-dire de ces combles d’Ennui et de Misère, les yeux sans les étoiles, quand les fleuves à sec sont durs et tranchant comme des cailloux..



Je me présente : Institut de recherche DuRéElles. Communiqué : ce qui tombe d’obscur c’est qu’elles sont si difficiles ces lumières sur deux histoires écrites en arc en ciel, un oubli possible, j’arrête ce Rédyyyyyyyyyyyyyyy-Ma((i)d(e)n), au bord de la route, pour pisser et reprendre des forces. La tête, la terre, MariAnna, BoudhAmour que j’ai quittée au Ciel, que Sa Volonté soit Fête Du Temps du verbe, Fête de MARIANNA, Fête du Verbe, du FILS et du Sain d’Esprit, Fête de la Vie... Ita pissa est . ; ………….. .



J’aurai dans ces paroles que je n’écoute pas, où je m’arrête pour penser, trouvé ma part érotique. La peur de couper avant la terreur d’aller au trou, se puît-il qu’il en soit autrement, qu’ayant tout refusé de la peur rien n’arrive de la terreur, j’ai eu ma part de gâteau. Ainsi, par exemple, qu’il me soit laissé un ArtBre paradisiaque détaché de tout que je ne puisse renier, sans Ton Mou, matonné, comme il fût pour Henri Michaux arrivé au seuil de sa vie – Une fois. Je déraille.







Or donc, ces cents des croisades pour lesquels Emmanuel m’a dit que certains risquent leur peau, je voudrai une fille dans l’air, pour, ensuite, que s’arrête avec moi le jugement d’autrui, les commérages sur les Putains bien-aimées, l’Ignorance et la perte de Conscience morale, la part de Ces 1996 1994 19992 1987, cauchemar. Misère, aussi, donc. Je m’arrête au bord du fossé, attendant la Mort sous l’orage, l’Esprit tant décrié si on m’a mal lu. Je sais. Il Manque une étincelle. KsingKsinKsing Ksing Ksing Ksing entre les orages . Laisse. Sans L. Les Rires s’échappent, depuis cinq mois, tous, ils rient. Moi au bord de ma bagnole, j’attends la Mort, répétant mes magies auxquels je ne crois plus. Je suis Le même, mon semblable, la réplique, creusée jusqu'à l’OS.



N’Essayez de le faire, N’essayez pas si vous n’avez pas l’amour. Faites-le ! Mon Dieu, encore Toi ????????,,, Nous, nus.



RE : « GARE ! DEUX RONDS se regarderont ! ».





Main, sire, sur ma pine de lapin, la mainsur mon pain, ma main dans ta main : nos coeurs sont des voleurs…. AU VOLEUR AU VOLEUR, ON A VOLé MON CŒUR !!!!!!!!!! Nous sommes les Messie de Ces Ames Sœurs tapant, tapant, tapant (16000000000000000 $) à la porte de ton meurtre des Saigeurs de GUERRES,

Dieu, si tu



n’es pas plus

fort, que ne









m’as-tu

donné tant de



Science et si peu de

SAGESSE.







Moi, si pauvre aux sets si banaux, aveugle, mon cœur roule pour toi comme un naviguateur, roule comme un tambour - Tu peux prendre une roulée .. Je remonte dans la bagnole. Elle est toujours penché sur mon poteau, aux derniers outrages, « Tu me saccages ! Tu me saccages !!! ». Nous comme dans les bandes.







Et, ce matin, le Monde nous ira ; Il ne







tenait que par la prière se fondre en



l’Un... Tandis que je n’ai, peut-être, cherché qu’une chose : la multitude. Sex DruG & rock’n roll, vivre vite, et mais, si possible, mourir vieux. Pourriez-vous simplement faire des cris encore plus fort, des cris encore plus fort, chantent à l’avant les tuners défoncées d’une voiture devenue kitch à force d’être refilée, tout cabossée… (pardon ???) Mais recréée..



Pendant le temps que la vie dure, Emmanuel et Maria se sont appropriés toute la place, ils ont mis le feu, BANG BANG BANG GARANDANBANK, ils ont vidés la bouteille de whisky, toujours à la recherche de ce que pouvait bien être la Liberté de Vies. aaHHHHHHHHHHHHHHHHHHAHHHAAAAAA(à)LLLLLLLLLLLLLLLLEEEEEELLLLLLOOOUUUUIIIIIIIIIIII
IIIIAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAIIIIIIIIIIIIAAAAAAAAAAAAAAIIIIIIIIIIIIAAAAAAAAAAAA
A
AAIIIIIIIIIIIIIIIAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAIµAAAAAAAAAAAAIIIIIIIIIIIIIIIAIIIIIIIIIII
I
IIIIAAAAAAAAAAAAAAIIIIIIIIIIIIIAIIIIIIIIIIIIIIIIIAAAAAIIIIIIIIIIIIIIIAAAAAAAAIII
I
IIIIIIIIIIIIIIAIIIIIIIIIIIIIIIIIIIAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA

ALLLEELUUUOOOOOOOOOOOOOOOOOOUOOOIIIIIIAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA



Alors passant du côté d’un bar où brûler quelques économies, j’ai pu constater qu’il s’y passait de nombreuses magies dans la forêt des signes dont parle André Breton. Il suffit que l’on ne soit pas sujet à la peur, mal préparé, dit-il. Or , j’ai déjà parlé de ce que la peur en s’enfonçant en moi avait été en de-ça de la terreur et que celle-ci, Dieu me préserve, fût-ce en de-ça de quelque supplice encore plus atroce et TTTTSINTTTTSIIIING TTTTTTSSSSSSING TSETSE je ne me lassais pas de demeurer avec mon livre, tandis que mon pote roucoulait des fadaises à sa belle, qui était, deux heures avant, la Mi-Haine. J’y trouvais comme le Manuel de mes Vies Magiques dont j’avais pensé quelques jours auparavant qu’elle m’avait fait dément aux yeux des clients de ce jour buvant leur bière et lançant à la cantonade les interjections qui répondaient à mes question avec l’impossible ironie de la Providence, je me demandai « Comment est-ce disposé, ces explosifs, EVE VIE D’AMANT -les flashs des appareils photo disSiMûlé. Aussi tendu, et quelque peu abattu, je m’accrochai à mon livre, l’Amour fou, AAAAAAAAAAALMELLLLOOOOOOOOOOOUUUUUIAAAAAAAAAAAAAAAA au titre tellement batailleur, sous mes cheveux crépus, mais rasé.Je ne me résolvais pas à faire du feu sous mon cigare, VRAIE bénédiction de mon cœur sec Dans le PUTONIUM : IL Y A UNE PIèCE7 D’AMOUR QUI A DISPARU ET HEUREUSEMENTcar ils s’y accumulent sans fin dans une poche qui est L’Etre.

Ainsi J’aurai aimé aimer aimer tandis que

l’Univers étrangement se rétrécissait à

seulement deux

points, et moi et ma perception mienne.

J’aurai ainsi aimé quoiqu’il en fût de cette lutine au minois qui saupoudrait maintenant de bécots le cou de mon acolyte énamouré. J’aurai aimé et avant que de disparaître tout à fait, au pire, dans un naufrage qui ne me laisse plus le Souffle de poursuivre, je me bats pour la planète, en prenant un stylo pour sécurité, de l’enCreux pour épée. Enfin, ce bar me rendait phosphorescent !! S’y enflammaient les derviches tourneurs de mon enfance dans les éclats magnétiques de sous mon crâne, crépitaient plus rapides que ce que je n’aurai pu décider ce qui eut pu faire preuve.



[color="#00b050"]J’ai sans doute été téméraire dans mon entreprise de résumer pour moi seul les longues minutes du merveilleux de la Vie. Et la musique tout à coup s’interrompt. Les nouvelles sont mauvaises. Pour moi du moins qui n’aime pas ce qu’on nomme du doux euphémisme de conflit. 150 000 hommes se massent au frontière de ma frontière pacifique dans le golf. Putain, que l’on vous fasse un silence de toute ma folie, hommes, militaires,,, Car j’ai pensé jusque dans la souffrance, à mettre le feu à mes draps, ce Monde incompréhensible et que ma réponse est la même qu’hier. Notre pauvre Christ a donné tout son sang pour que vous arrêtiez, il vous faut des missiles pour l’avènement d’un jour de Paix sur le globe. J’écrivais : je suis mort trop tôt, c’est aujourd’hui le quatrième jour d’une paix généralisée... Ah si l’on avait pu rendre fou ces grands délirants. Si l’on avait pu entamer le siècle par des chants de poëtes... Et je suis bien placé de vous le redire maintenant que j’ai revu, si peu de temps, le Roi des Rois,,, Il s’en est fallu d’une fraction de secondes que j’aie choisi pire que le pire des dictateurs et je me suis rendu coupable comme vous, militaires, en pensée, de la souffrance d’un cœur sec, mais que revenant à mes hurlements, brisant l’angoisse, je me souvienne de ces années où, dans la douleur, j’ai voulu, Vidalaïlama, d’une volontaire pensée vous crier aux oreilles, murs de Jérico, qu’en toute conscience, il fallait la Paix... Oui, je vous l’ai chanté, je vous l’ai écrit, je vous en ai parlé, j’ai sondé, interrogé, interpellé, nous voulons, serviteurs d’une engeance maligne, la vie est bien trop courte pour pleurer,,, Mon silence sur vous, militaires, dans mes atroces douleurs et ces lignes que le sang n’effacera pas. La lurette a entamé une fellation à quatre pattes sous la table. Le margoulin lui boit sa bière avec des yeux ronds. Plus de cynisme, j’en ai trop vu, fixé des vertiges, que durant tout ce temps les moindres pensées arc-boutées pour qu’il vous soit donné une harmonie entre ma cafetière, l’amour, et vous, et qu’ayant chaque jour été détrompé de mon espérance par vos dits conflits, vos cynismes, vos haines, vos mépris, votre petitesse, vos hypocrisies, je vous le dit ce soir, j’irai en enfer en vous maudissant, faisant des moulinets avec mon épée, Cyrano de divine foire, après avoir été ce Quichotte qui vous a fait, ne mentez pas, tellement rire. Oui s’il le faut, avec plus de gueule que de ventre, j’irai aux derniers supplices vous botter le train, m’étant rendu moi-même solidaire, un jour funeste, du sort qui nous échoit dans le pire des cas, mais ayant refusé jusqu’au bout de juger, mais ayant jusqu’au bout résisté, et la musique des sphères m’entraîne et mon clavier tempère.

#2 Paname

Paname

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Posté 28 août 2008 - 06:53

j'avoue, pour cette même raison
n'avoir pas fait partie des plus courageux
sans doute dommage

#3 Jean-Marie Vidal

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Posté 28 août 2008 - 07:11

j'avoue, pour cette même raison
n'avoir pas fait partie des plus courageux
sans doute dommage



je vais tenter de réparer ça . Merci d'avoir essayé mais c'est vrai que c'est illisible de cette manière .

#4 Jean-Marie Vidal

Jean-Marie Vidal

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Posté 28 août 2008 - 04:16

je vais tenter de réparer ça . Merci d'avoir essayé mais c'est vrai que c'est illisible de cette manière .




grâce aux efforts conjoints de l'administrateur et de votre serviteur le texte est dans un format "lisible" Bien à vous tous .

#5 Paname

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Posté 29 août 2008 - 10:28

le texte est dans un format "lisible"


le format, lui, est effectivement lisible.
le texte...

si on a le temps, beaucoup de temps
la patience, énormément de patience
le mérite de la ténacité
la curiosité à l'affût, l'espoir en bandoulière
et surtout le souci de ne pas être injuste...

dans ces conditions, tu risques d'avoir un lectorat vite réduit aux papis-mamies à la retraite qui n'ont que ça à foutre

et c'est peut-être dommage
car à part les jeux de mots lassant à force d'être TIRS-EPARS-LECHE-FEUX
et à condition d'accepter honnêtement de rentrer dans ta profusion de longueur
on finit par entrevoir ici qqchose qui pourrait tenir de l'oeuvre foisonnante du déjanté ébouriffant et parfois bien décapant
au total, je n'ai finalement pas perdu mon temps !
paname