salut tlp.

yo
Débuté par zqfd, mai 28 2007 05:10
4 réponses à ce sujet
#1
Posté 28 mai 2007 - 05:10
#2
Posté 28 mai 2007 - 05:12
g peur et j vois la mer.
°°°
Nous sommes passés de l'autre côté des collines.
°°°
J'ai mis une ceinture à la terre avec mes intestins.
°°°
Comprendre, ne pas comprendre, un lever de soleil.
°°°
Des jetées ni vraiment cruelles ni vraiment douces du cerveau; mes mots.
°°°
Je compose une musique plus belle et venue de plus loin que ce que la parole autorise.
°°°
Pendant ce temps, les derniers enfants mangent des briques. Tournent en cage. Oisifs oiseaux.
°°°
Ramassé comme un coquelicot.
°°°
Nous sommes passés de l'autre côté des collines.
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J'ai mis une ceinture à la terre avec mes intestins.
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Comprendre, ne pas comprendre, un lever de soleil.
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Des jetées ni vraiment cruelles ni vraiment douces du cerveau; mes mots.
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Je compose une musique plus belle et venue de plus loin que ce que la parole autorise.
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Pendant ce temps, les derniers enfants mangent des briques. Tournent en cage. Oisifs oiseaux.
°°°
Ramassé comme un coquelicot.
#3
Posté 28 mai 2007 - 05:25
J'adore les formes courtes comme celle lÃ
ça demande de la justesse dans le choix des mots,
j'aime assez
ça demande de la justesse dans le choix des mots,
j'aime assez
#4
Posté 28 mai 2007 - 07:34
ca le fait
#5
Posté 11 juin 2007 - 04:15
Quand je saurai vous parler, je serai mort pour de bon.
La solitude amène à sucer le vît de la mort; la mort se dévide dans nos bouches; alors nous cotoyons maussades et désespérés, malades, faibles, maigres, une mort vide.
C'est insuportable l'absence de sens à supporter sans secours. Pompier pompier absurde.
LÃ ! Fils de pute de route.
Je suis un bûcheron des mots, et j'abat ma hache impitoyablement. J'habite une fôret magique où les arbres repoussent et la nuit s'empare de tout avec une formule magique récitée fatigué.
Bon je retourne lire dostoievski.
La solitude amène à sucer le vît de la mort; la mort se dévide dans nos bouches; alors nous cotoyons maussades et désespérés, malades, faibles, maigres, une mort vide.
C'est insuportable l'absence de sens à supporter sans secours. Pompier pompier absurde.
LÃ ! Fils de pute de route.
Je suis un bûcheron des mots, et j'abat ma hache impitoyablement. J'habite une fôret magique où les arbres repoussent et la nuit s'empare de tout avec une formule magique récitée fatigué.
Bon je retourne lire dostoievski.