dans les vagues drapées
je n'ai sommeillé
j'ai pleuré
au creux des illusions
j'ai perdu mes saisons
j'ai pleuré
dire qu'avant cela
je rêvais de toi
O homme
ton nom
en somme
tout con!
dans les vagues drapées
la nuit fut étoilée
mais j'ai pleuré,
perdue, ma virginité.

mais j'ai pleuré
#1
Posté 21 septembre 2008 - 07:07
#2
Posté 21 septembre 2008 - 07:30
#3
Posté 21 septembre 2008 - 07:33
Quelle hypocrisie! Il faut en avoir beaucoup de talent!
pourquoi hypocrisie?
#4
Posté 21 septembre 2008 - 07:35
#5
Posté 21 septembre 2008 - 07:46
parce que tu es hypocrite!
oui ça j'ai compris mais dis moi pourquoi quand on dit quelquechose faut savoir pourquoi on le dit sinon on se tait.
#6
Posté 21 septembre 2008 - 07:49
#7
Posté 21 septembre 2008 - 07:50
Je dis ce que je pense et c'est tout. C'est sincère au moins.
je vois toujours pas en quoi je suis hypocrite.
#8
Posté 21 septembre 2008 - 07:53
#9
Posté 21 septembre 2008 - 07:54
Ah bon? Encore un mensonge! C'est pas par hasard que l'on dit que les mots ne sont que des mots...
tu me dis être hypocrite et au moment de développer tu dis plus rien c'est stupide
#10
Posté 21 septembre 2008 - 08:40
#11
Posté 22 septembre 2008 - 07:11
Pourquoi je dois parler des choses qui sont évidentes?!
ce qui est évident pour toi ne l'est pas forcément dans l'absolu . De plus, qui es tu pour me juger? RIEN. donc ferme ta gueule pauvre conne!
#12
Posté 22 septembre 2008 - 07:28
de me faire taire. Je dis ce que je veux, quand je le veux et où je le veux!
#13
Posté 22 septembre 2008 - 10:42
Je ne t'ai pas jugé au contraire de toi mais j'ai dit ce que je pense tout simplement. Toi, tu n'as aucun droit
de me faire taire. Je dis ce que je veux, quand je le veux et où je le veux!
retourne chez toi épouser un homme riche et écarter les cuisses
#14
Posté 22 septembre 2008 - 11:28
#15
Posté 22 septembre 2008 - 04:22
Mieux vaut mourir que me marier avec un type pareil...En tout cas je préfère rester seule et avoir la liberté!
je te rassure de suite je ne veux en aucun cas de toi
#16
Posté 22 septembre 2008 - 04:27
#17
Posté 22 septembre 2008 - 04:43
j'en suis ravie, sinon il faudrait me suicider lol...En fait merci de ne plus m'envoyer tes mp,ils sont trop stupides pour moi lol
tu es superficielle vide insipide.
#18
Invité_zara_*
Posté 22 septembre 2008 - 04:49
continuer tous les deux les poèmes, c'est la où vous êtes les meilleur.
amicalement. Ã d'autres lectures.
z.
#19
Posté 22 septembre 2008 - 05:02
je trouve ça pas mal. bref, dommage que vous alliez vs prendre la tête. et perso on se connait pas?!
continuer tous les deux les poèmes, c'est la où vous êtes les meilleur.
amicalement. Ã d'autres lectures.
z.
j'aime pas vraiment me prendre la tête mais je vois pas en quoi je suis hypocrite dans ce texte. merci de ton passage.
#20
Posté 22 septembre 2008 - 05:05
Attends, il faut que je cosulte le dictionnaire des antonymes que j'aime tant...Sinon, tu as des qualités morales?tu es superficielle vide insipide.
#21
Posté 22 septembre 2008 - 05:10
Attends, il faut que je cosulte le dictionnaire des antonymes que j'aime tant...Sinon, tu as des qualités morales?
une seule celle de supporter ta connerie.
#22
Posté 22 septembre 2008 - 05:16
Un seul reproche (pas l'hypocrisie, non) : l'emploi du terme CON pour faire rime alors que tout coulait si bien.
Je sais que pubis et con peuvent être associé mais c'est une touche qui ne me plait pas dans ce poème.
Dong ! Reprise du ennième round.
AMITIES margod
#23
Posté 22 septembre 2008 - 05:27
lol c'est pas ma faute que ton éducation laisse à désirer...D'ailleurs j'éprouve la pitié par rapport à toi. Pauvre enfant, il ne sait pas même commentune seule celle de supporter ta connerie.
il faut parler aux gens, surtout aux femmes...
#24
Posté 22 septembre 2008 - 05:31
lol c'est pas ma faute que ton éducation laisse à désirer...D'ailleurs j'éprouve la pitié par rapport à toi. Pauvre enfant, il ne sait pas même comment
il faut parler aux gens, surtout aux femmes...
ben je parle pas à une femme là mais à toi!
#25
Posté 22 septembre 2008 - 07:03
lol oui je suis une hirondelle qui s'envole librement et annonce le printemps mais pas à toi car tu ne le mérites pas...ben je parle pas à une femme là mais à toi!
#26
Posté 22 septembre 2008 - 09:10
lol oui je suis une hirondelle qui s'envole librement et annonce le printemps mais pas à toi car tu ne le mérites pas...
je te trouve bien sévère envers moi
#27
Posté 23 septembre 2008 - 05:33
#28
Posté 23 septembre 2008 - 10:23
Dommage car dans leurs croisements de fer, l'absence de poésie est totale.
L'eussiez-vous dit ainsi, cela aurait été de l'art:
LE VICOMTE
Attendez ! Je vais lui lancer un de ces traits ! Il s’avance vers Cyrano qui l’observe et se campant devant lui d’un air fat. Vous... vous avez un nez... heu... un nez...très grand.
CYRANO gravement :
très
LE VICOMTE, riant :
Ha !
CYRANO, imperturbable :
C'est tout ?...
LE VICOMTE :
Mais...
CYRANO
Ah ! non ! c'est un peu court, jeune homme !
On pouvait dire... Oh! Dieu!... bien des choses en somme.
En variant le ton,-par exemple, tenez:
Agressif: " Moi, Monsieur, si j'avais un tel nez, Il faudrait sur-le-champ que je me l'amputasse ! "
Amical: " Mais il doit tremper dans votre tasse ! Pour boire, faites-vous fabriquer un hanap! "
Descriptif: " C'est un roc ! . .. c'est un pic ! . . . c'est un cap ! Que dis-je, c'est un cap ?. .. C'est une péninsule ! "
Curieux: " De quoi sert cette oblongue capsule ? D'écritoire, Monsieur, ou de boite à ciseaux ? "
Gracieux: " Aimez-vous à ce point les oiseaux Que paternellement vous vous préoccupâtes De tendre ce perchoir à leurs petites pattes ? "
Truculent: " Ça, Monsieur, lorsque vous pétunez, La vapeur du tabac vous sort-elle du nez Sans qu'un voisin ne crie au feu de cheminée ? "
Prévenant: " Gardez-vous, votre tête entrainée Par ce poids, de tomber en avant sur le sol ! "
Tendre: " Faites-lui faire un petit parasol De peur que sa couleur au soleil ne se fane ! "
Pédant: " L'animal seul, Monsieur, qu'Aristophane Appelle Hippocampelephantocamelos Dût avoir sous le front tant de chair sur tant d'os !†Cavalier: " Quoi, I'ami, ce croc est à la mode ? Pour pendre son chapeau, c'est vraiment très commode! " ,
Emphatique: " Aucun vent ne peut, nez magistral, T'enrhumer tout entier, excepté le mistral ! "
Dramatique: " C'est la Mer Rouge quand il saigne ! " Admiratif: " Pour un parfumeur, quelle enseigne ! " Lyrique: " Est-ce une conque, êtes-vous un triton ?"
Naïf: " Ce monument, quand le visite-t-on ? "
Respectueux: " Souffrez, Monsieur, qu'on vous salue, C'est là ce qui s'appelle avoir pignon sur rue! "
Campagnard: " He, arde ! C'est-y un nez ? Nanain ! C'est queuqu'navet géant ou ben queuqu'melon nain ! "
Militaire: " Pointez contre cavalerie ! "
Pratique: " Voulez-vous le mettre en loterie ? Assurément, Monsieur, ce sera le gros lot! "
Enfin, parodiant Pyrame en un sanglot: " Le voilà donc ce nez qui des traits de son maître
A détruit l'harmonie! Il en rougit, le traître! "
- Voilà ce qu'à peu près, mon cher, vous m'auriez dit
Si vous aviez un peu de lettres et d'esprit:
Mais d'esprit, ô le plus lamentable des êtres,
Vous n'en eûtes jamais un atome, et de lettres
Vous n'avez que les trois qui forment le mot: sot!
Eussiez-vous eu, d'ailleurs, I'invention qu'il faut
Pour pouvoir là , devant ces nobles galeries,
Me servir toutes ces folles plaisanteries,
Que vous n'en eussiez pas articulé le quart
De la moitié du commencement d'une, car
Je me les sers moi-même, avec assez de verve
Mais je ne permets pas qu'un autre me les serve.
Que cela refroidisse un peu vos fers........................relisez-vous et voyez, ô combien vous êtes ridicules.
De la décence voyons....ou alors ne vous targuez plus jamais du titre de poète.
#29
Posté 23 septembre 2008 - 08:08
Bientôt sonnera le glas des vers pour un duel d'enfants.
Dommage car dans leurs croisements de fer, l'absence de poésie est totale.
L'eussiez-vous dit ainsi, cela aurait été de l'art:LE VICOMTE
Attendez ! Je vais lui lancer un de ces traits ! Il s’avance vers Cyrano qui l’observe et se campant devant lui d’un air fat. Vous... vous avez un nez... heu... un nez...très grand.CYRANO gravement :
trèsLE VICOMTE, riant :
Ha !CYRANO, imperturbable :
C'est tout ?...LE VICOMTE :
Mais...CYRANO
Ah ! non ! c'est un peu court, jeune homme !
On pouvait dire... Oh! Dieu!... bien des choses en somme.
En variant le ton,-par exemple, tenez:
Agressif: " Moi, Monsieur, si j'avais un tel nez, Il faudrait sur-le-champ que je me l'amputasse ! "
Amical: " Mais il doit tremper dans votre tasse ! Pour boire, faites-vous fabriquer un hanap! "
Descriptif: " C'est un roc ! . .. c'est un pic ! . . . c'est un cap ! Que dis-je, c'est un cap ?. .. C'est une péninsule ! "
Curieux: " De quoi sert cette oblongue capsule ? D'écritoire, Monsieur, ou de boite à ciseaux ? "
Gracieux: " Aimez-vous à ce point les oiseaux Que paternellement vous vous préoccupâtes De tendre ce perchoir à leurs petites pattes ? "
Truculent: " Ça, Monsieur, lorsque vous pétunez, La vapeur du tabac vous sort-elle du nez Sans qu'un voisin ne crie au feu de cheminée ? "
Prévenant: " Gardez-vous, votre tête entrainée Par ce poids, de tomber en avant sur le sol ! "
Tendre: " Faites-lui faire un petit parasol De peur que sa couleur au soleil ne se fane ! "
Pédant: " L'animal seul, Monsieur, qu'Aristophane Appelle Hippocampelephantocamelos Dût avoir sous le front tant de chair sur tant d'os !†Cavalier: " Quoi, I'ami, ce croc est à la mode ? Pour pendre son chapeau, c'est vraiment très commode! " ,
Emphatique: " Aucun vent ne peut, nez magistral, T'enrhumer tout entier, excepté le mistral ! "
Dramatique: " C'est la Mer Rouge quand il saigne ! " Admiratif: " Pour un parfumeur, quelle enseigne ! " Lyrique: " Est-ce une conque, êtes-vous un triton ?"
Naïf: " Ce monument, quand le visite-t-on ? "
Respectueux: " Souffrez, Monsieur, qu'on vous salue, C'est là ce qui s'appelle avoir pignon sur rue! "
Campagnard: " He, arde ! C'est-y un nez ? Nanain ! C'est queuqu'navet géant ou ben queuqu'melon nain ! "
Militaire: " Pointez contre cavalerie ! "
Pratique: " Voulez-vous le mettre en loterie ? Assurément, Monsieur, ce sera le gros lot! "
Enfin, parodiant Pyrame en un sanglot: " Le voilà donc ce nez qui des traits de son maître
A détruit l'harmonie! Il en rougit, le traître! "
- Voilà ce qu'à peu près, mon cher, vous m'auriez dit
Si vous aviez un peu de lettres et d'esprit:
Mais d'esprit, ô le plus lamentable des êtres,
Vous n'en eûtes jamais un atome, et de lettres
Vous n'avez que les trois qui forment le mot: sot!
Eussiez-vous eu, d'ailleurs, I'invention qu'il faut
Pour pouvoir là , devant ces nobles galeries,
Me servir toutes ces folles plaisanteries,
Que vous n'en eussiez pas articulé le quart
De la moitié du commencement d'une, car
Je me les sers moi-même, avec assez de verve
Mais je ne permets pas qu'un autre me les serve.
Que cela refroidisse un peu vos fers........................relisez-vous et voyez, ô combien vous êtes ridicules.
De la décence voyons....ou alors ne vous targuez plus jamais du titre de poète.
on t'emmerde

#30
Posté 24 septembre 2008 - 07:04
lol Ecrire le poème à ce type? lol non C'est un cadeau trop généreux pour lui, même si leur qualitié laisse à désirer.Bientôt sonnera le glas des vers pour un duel d'enfants.
Dommage car dans leurs croisements de fer, l'absence de poésie est totale.
L'eussiez-vous dit ainsi, cela aurait été de l'art:LE VICOMTE
Attendez ! Je vais lui lancer un de ces traits ! Il s’avance vers Cyrano qui l’observe et se campant devant lui d’un air fat. Vous... vous avez un nez... heu... un nez...très grand.CYRANO gravement :
trèsLE VICOMTE, riant :
Ha !CYRANO, imperturbable :
C'est tout ?...LE VICOMTE :
Mais...CYRANO
Ah ! non ! c'est un peu court, jeune homme !
On pouvait dire... Oh! Dieu!... bien des choses en somme.
En variant le ton,-par exemple, tenez:
Agressif: " Moi, Monsieur, si j'avais un tel nez, Il faudrait sur-le-champ que je me l'amputasse ! "
Amical: " Mais il doit tremper dans votre tasse ! Pour boire, faites-vous fabriquer un hanap! "
Descriptif: " C'est un roc ! . .. c'est un pic ! . . . c'est un cap ! Que dis-je, c'est un cap ?. .. C'est une péninsule ! "
Curieux: " De quoi sert cette oblongue capsule ? D'écritoire, Monsieur, ou de boite à ciseaux ? "
Gracieux: " Aimez-vous à ce point les oiseaux Que paternellement vous vous préoccupâtes De tendre ce perchoir à leurs petites pattes ? "
Truculent: " Ça, Monsieur, lorsque vous pétunez, La vapeur du tabac vous sort-elle du nez Sans qu'un voisin ne crie au feu de cheminée ? "
Prévenant: " Gardez-vous, votre tête entrainée Par ce poids, de tomber en avant sur le sol ! "
Tendre: " Faites-lui faire un petit parasol De peur que sa couleur au soleil ne se fane ! "
Pédant: " L'animal seul, Monsieur, qu'Aristophane Appelle Hippocampelephantocamelos Dût avoir sous le front tant de chair sur tant d'os !†Cavalier: " Quoi, I'ami, ce croc est à la mode ? Pour pendre son chapeau, c'est vraiment très commode! " ,
Emphatique: " Aucun vent ne peut, nez magistral, T'enrhumer tout entier, excepté le mistral ! "
Dramatique: " C'est la Mer Rouge quand il saigne ! " Admiratif: " Pour un parfumeur, quelle enseigne ! " Lyrique: " Est-ce une conque, êtes-vous un triton ?"
Naïf: " Ce monument, quand le visite-t-on ? "
Respectueux: " Souffrez, Monsieur, qu'on vous salue, C'est là ce qui s'appelle avoir pignon sur rue! "
Campagnard: " He, arde ! C'est-y un nez ? Nanain ! C'est queuqu'navet géant ou ben queuqu'melon nain ! "
Militaire: " Pointez contre cavalerie ! "
Pratique: " Voulez-vous le mettre en loterie ? Assurément, Monsieur, ce sera le gros lot! "
Enfin, parodiant Pyrame en un sanglot: " Le voilà donc ce nez qui des traits de son maître
A détruit l'harmonie! Il en rougit, le traître! "
- Voilà ce qu'à peu près, mon cher, vous m'auriez dit
Si vous aviez un peu de lettres et d'esprit:
Mais d'esprit, ô le plus lamentable des êtres,
Vous n'en eûtes jamais un atome, et de lettres
Vous n'avez que les trois qui forment le mot: sot!
Eussiez-vous eu, d'ailleurs, I'invention qu'il faut
Pour pouvoir là , devant ces nobles galeries,
Me servir toutes ces folles plaisanteries,
Que vous n'en eussiez pas articulé le quart
De la moitié du commencement d'une, car
Je me les sers moi-même, avec assez de verve
Mais je ne permets pas qu'un autre me les serve.
Que cela refroidisse un peu vos fers........................relisez-vous et voyez, ô combien vous êtes ridicules.
De la décence voyons....ou alors ne vous targuez plus jamais du titre de poète.