Le vol du foulard
laissant à nu ; se refroidir un joli cou gracieux.
Le foulard sourit, de voir ce monde si différent.
Il se déploya, s'offrit au vent tourbillonnent.
Chatouillé par les flocons de neige,et les feuilles mortes,
ivre de bonheur; à sa vie, de foulard il décida de fermer la porte.
Un incendie rougeoyant au loin, se propageait.
Le foulard se dirigé droit dessus : impuissant naufragé
le feu le pris , et l'ensevelit dans son effroyable magma.
Quand au cou gracile, léger comme un cil ; il s'enrhuma.
Charlitoune