Souviens-toi l’ami, constamment lorsque tu marches
Que d'autres, désespérés, dans un lit crèvent de peur
Car pour eux la vie est devenue soudain noirceur,
Après l'accident qui à l'immobilité les attachent
Si tu penses qu'en ton cœur blessé tout est morne
Et qu'en Dieu tu n'accordes plus de croyance
Efforce-toi quand même d’être amour et tolérance
Et veille à ce qu'en toi l'humanité ne s’endorme
Le regard accordé à cet autre confine à l'infini
Il te livre des trésors ignorés loin de l'étroitesse
Des vues égoïstes et étroites et n'aie de cesse
De donner, donner encore et tu seras béni
Les cartes qui furent distribuées à la naissance
Ne sont pas toutes retournées en ce jour
De l’avenir on ne connaît pas tous les contours
Ni nos périodes de chance ou de malchance
Selon ton rang ou ton aspect tu connaîtras le mépris
Car les gens vivent encore dans l’ignorance
De ce que recèle un cœur qui n’a eu à la naissance
Que la couleur et la terre dont il est proscrit

souviens-toi l'ami lorsque tu marches...
Débuté par ELYSE, sept. 27 2008 03:57
1 réponse à ce sujet
#1
Posté 27 septembre 2008 - 03:57
#2
Posté 27 septembre 2008 - 06:50
La marche du temps, la marche à gravir, deux défis parmi d'autres pour l'être qui a des jambes et un cerveau intacts.
Aller de l'avant parmi les soucis et ne pas tomber dans les Si... les SI... j'étais plus ceci, j'avais plus cela...
Aller vers l'autre en force douce, riche de vie même abîmée, mais y aller.
Bravo Elyse, tu nous montres le chemin. Y.V
Aller de l'avant parmi les soucis et ne pas tomber dans les Si... les SI... j'étais plus ceci, j'avais plus cela...
Aller vers l'autre en force douce, riche de vie même abîmée, mais y aller.
Bravo Elyse, tu nous montres le chemin. Y.V