Il devait etre minuit l air etait glacé et d une pureté rare.
Pas un soufle de vent.Il respira un grand coup et leva les yeux au ciel.
LÃ ...son regard tout dabord,
Puis ses pensées,son coeur et son corp
S abandonèrent dans l'immensité infini déssiné par les etoiles.
Il resta immibile,là ...
Transandé par les soleils de la nuit et les lumiéres d autres mondes.
Une minute? Cinq minutes? Peut etre beaucoup plus...Je ne pourai le dire.
Puis il reprit ses esprits et pensa:
C est beau comme le reflet des lumieres de la ville.
Mais non ,c est de l autre coté,
C est bien au delà ,
C est la bas dans les etoiles.
kim
janvier 2008

Entre deux mondes
Débuté par kim, sept. 29 2008 11:09
4 réponses à ce sujet
#1
Posté 29 septembre 2008 - 11:09
#2
Posté 29 septembre 2008 - 03:41
Un poème qui hésite entre de la quasi prose et des vers. Onirique
#3
Posté 29 septembre 2008 - 06:12
rêve kim !
rêve !
le poète adore
quand rêvent les mots...
bibi 2008
rêve !
le poète adore
quand rêvent les mots...
bibi 2008
#4
Posté 30 septembre 2008 - 05:33
Un poème qui hésite entre de la quasi prose et des vers. Onirique
Merci pour ta lecture attentive!sincerement
#5
Posté 30 septembre 2008 - 05:45
rêve kim !
rêve !
le poète adore
quand rêvent les mots...
bibi 2008
j ai telement revé durant ces 4 dernieres années d ecriture Bibi que j en ai perdu le sens de la "realité".Depuis que j ai arreté je remonte petit a petit a la surface.Tout ce qui me parait maintenant "onirique" faisait partit de ma réalité.Mais ce mot restera encore lontemps pour moi le plus plus "onirique" de tous.