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Supermarche MAVIE


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1 réponse à ce sujet

#1 macha

macha

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Posté 01 octobre 2008 - 09:49

ermarché MAVIE





Sur ma pensée je m’en suis allé

Chercher au grand supermarché

A l’enseigne populaire : Mavie

Là un caddie pour y mettre ainsi

Le quand, le que, le quoi, le qui

Qui fut valise de mes malaises

Quand mon voyage n’eut son aise



Quand nous fumes arrivé tout brillait

On fêtait la naissance d’un jour né

Ton caddie reçu son premier bienfait

Un corps qui se senti l’us malvenu

Pas assez riche pour être bienvenu

N’est ce pas là une somme de bévue

Le surveillant te regarda d’un étrange

Ton cabas de vie à l’odeur qui dérange



Oh corps as-tu volé de venir nous dissimuler

Tu n’as pas les ors qui ne le laissent aisé aller

Tes pas tu ne les auras pas facile pour circuler

Quel argent as-tu, comment sans or tu te peux

Cette vie tu ne l’as demandé, tu ne la veux

Car tu sais que se dérober n’est pas jeux

Tu as ouvert les yeux sur tes insuffisances

Qui empêcheront toutes les bienséances



Tourne à gauche, rayon de l’éducation

Là un livre nouveau, image de la soumission

Pour toi le pauvre ce n’est qu’obligée solution

Pas de question qui ne fâche demain le maitre

L’oubli tu le verras sans magie apparaître

On t’apprendra à compter tes petits sous

Toi de ta table tu ne verras que les dessous



Rentrée des classes, lourd le cartable

Apprendre des leçons de choses inimaginables

Les requins, leur valeur ne t est pas adaptable

Tu triches ta place n’est pas parmi les majors

Ne dérange leur peau d’insolence sinon dehors

Pourront-ils faire un jour de toi un être idéal

Seules tes mains pourront guider ton destin infernal



Les rayons sont trop riches quel travail

De ton labeur, de ta douleur ils l’avitaillent

Ils te prennent, pour un con, toi tu semailles

Ils s’engraissent de tes petit sous sans pitié

Trop fort, ils te lèsent d’illusions, leur Amitiés,

Des promotions trois en un, deux prix d’un

Ils te prennent pour un idiot, reste malin



Tu continues tes courses, n’es-tu malade

Bien garni ce rayon, toutes les pommades

Pour te faire digérer toutes leurs salades

Tu viens là car les médecins préfèrent l’autre

Vous savez celui dont la place n’est pas votre

Vous ne pouvez souffrir vous n’avez à penser

Au fric que leur psychiatre cynique allonge intéressés



Les livres oh oui les livres, c’est génial

Ces auteurs du pouvoir, vous promettent l’idéal

Leurs mains sont tendues, vers le sentimental

De votre bulletin politique, projet de libéralisme

Qui vous retirent le droit du romantisme

Partager le fric, pour un meilleur vivre

Un peu plus dans ta bourse tu n’en serais ivre



Oh celui-ci, celui-ci, il parle de la bourse

Ah non, pas possible il faut que tu débourse

Tu n’as pas joué, tu ne comprends leur course

Des millions qu’ils ont spoliés aux petits

Ils nous volent et tu dois payer leur faillite

Un instant, Mon pays troque t’il l’illicite



Tu te retrouve devant les boissons

Devrais-tu boire la pilule sans raison

Tu es bête, imbécile, mais sans façon

Tu ne veux croire que cela soit ta vie

Que pourrais-tu dire, faire sans dépit

L’alcool de ta pensée est trop fort

Pour eux une douche froide ne fais tord



Quoi ! C’est déjà la sortie, ah tu oublies

Le prospectus de la banque, plus de crédit

Mais comment feras-tu, ils ont failli

Chez eux tu as épargné depuis des années

Tu voulais te construire un chalet

Ton caddie est vide, traine leur faillite

Elle t’a tout pris, l’autre est en fuite



A la sortie le gros ventru, carte dorée

Paie comme si de rien n’était, un rire fait

Bonne soirée Monsieur, un sac pour vous aider

Tu passes, un qu’avez vous voler te surprend

Tu n’as de carte, tu as des billets, on vous prend

Vous venez de les voler, vilain pickpocket

Suivez-nous i que l’on fouille le fond de votre pauvreté



Tu es reparti libre pour aller porter plainte

La police t’a dit il n’y’a de malhonnêteté feinte

La justice ne pourra croire à la toux de ta quinte

Toi malade, notre sincère confrérie des riches

Te croire, Ne se peut qu’elle pleurniche

C’est non lieu pour nos bons amis bafoués

Par l’incrédule qui se croit être raisonné



Rentré dans ta demeure tu as compté

Dur seront les demain, tu n’as assez

De vie pour payer toutes les inégalités

Du à ton rang : la caste des mal nés

On nait esclave des millionnaires sans espoir

On nait esclave du pouvoir dont ils ont pouvoir

☼₣€

#2 toncartkt

toncartkt

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  • PipPip
  • 15 messages

Posté 02 octobre 2008 - 04:14

http://www.lespoemes...oeme-55231.html

meme personne?