Adossé au visible, je fuis les certitudes, l’être humain aime se frotter. A droite le rocher, à gauche la main. La vie la nuit fait du bruit, mais je m'y accommode, parfois j’ouvre mes mains pour dire comment ça va, et je recommence la séquence. En terme de rythme c’est différent, le désordre s’avère intelligent et contradictoire je tente d'être au plus près. Un plus joli mot que le cul, ça n'existe pas, ou alors les doigts. Le voyage, assurément une aliénation. J’ai retiré le voilage de l’illusion, laissé transmettre en exil dans ma propre vie des haillons saltimbanques. Je me penche au-dessus.

L’intime apparent
Débuté par Aphil, oct. 06 2008 07:00
1 réponse à ce sujet
#1
Posté 06 octobre 2008 - 07:00
#2
Posté 06 octobre 2008 - 10:27
Drôle d'assertion...le voyage ouvre au monde, aux autres et à soi !
Il permet également d'apprécier ses racines, de les penser, de les dépasser.
Est-ce cela l'aliénation ?
"Le voyage, une aliénation", une fuite, une continuelle fuite pas toujours en avant, une aliénation dans l'évasion.