A l'embouchure de l’éclat, de mortifères volatiles de l'esprit scandent les pas d’une Salsa sombre. La femme fière ne procède plus que fin squelette au centre de l’arène. Au lendemain d’Alamar, auprès des échoppes, en une altière rengaine des aurores, « Son de la Loma » de LOS KOYAS vous cramponne. Esperluette d’alcool glacé, le rictus éteint du clown en souffrance, regarde le poisseux de l’atonie des tempêtes tropicales. Minuit soleil, la Mariposa blanche embrase la nuit, j’effleure les initiales de l’envie sur le plancher à solives. Demeures de pénombre, le soir affûte les rebords de l’ultime sommeil, désordre de quiétude retourné, un gamba différent au cerveau, le déséquilibre détale excitant. A l’heure des ablutions, en canevas de faste, les anciens découvrent inlassablement une logique pour reconduire leur respiration

Salsa sombre
Débuté par Aphil, oct. 06 2008 08:03
Aucune réponse à ce sujet