Veux tu, pour cette nuit ma douce, entendre le conte de ce roi si vieux, qu'il ne mourrait pas,
Las qu'il était de ses piètres conquêtes dans de lointains pays pluvieux,
Il ne connu nul amour, hormis celui de son être,
Pourrai tu finir comme lui, et laissé se flaitrir mon coeur envieux?
Je ne serai pas brusque, s'il le faut, je me ferai tendre,
Tes formes ont tant de choses à me donner,
Tes yeux tant de vices à m'apprendre,
Mais parle moi encore de cet endroit d'où l'on ne reviens pas,
Que j'y embarque ce soir, en m'allongeant pret de toi.
Mes caresses se feront audacieuses, si tu en viens à me froler,
Car l'odeur de ta peau m'enivre de saveurs exotiques,
De ma bouche, je gouterai les sucs de ton intimité,
Que nous brisions l'obscurité de soupirs humides et orgasmiques.
Serrés l'un sur l'autre, prisoniers d'une étreinte éternelle,
Nous parageront enfin cette friandise si erspérée,
Caresses,murmure, ô ma muse éternelle,
Si tu te refuses à moi, au moins, donne moi un de tes baisers.

La Prière
Débuté par magaubei, juin 06 2007 09:31
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