Surprise divine du vent, ton charme
Qui souffle sur mon élan, et l’art
Inspire mes instincts haineux, et l’arme
Fatale à mes yeux du trouble barbare.
Mauvais présage pour les sentiments de paix
Et glorifie la guerre des états ennemis
Amis étions-nous du temps de nos étés
C’est l’hiver si tendre qui artifice l’esprit.
Lorsque mes doigts cisaillent ton doux reflet
Qui arbore ton miroir sur la rivière délicate
Eloigne toi vite – Supplice du cœur arraché
Et mes mains dessine des soupirs qui éclatent.
Surprise divine du vent, ton charme
Qui diabolise mes instants, et l’heure
Inspire mes instincts haineux, et l’arme
Ennuie de destruction mes songes créateurs.