4 réponses à ce sujet

[Voyageur]

(à 5 minutes de la "Fin")


Un moment de silence ...
Et puis ... l' heure va sonner
Et ta vie de souffrance
Tu vas l'abandonner
Doucement ... doucement ...
Et ... tes rêves se vident ...
Dans tes terres arrides
Au crépuscule ...
Où ton âge récule
Loin de toi, loin de tout
Tu r'deviens une cellule ...


(quatre minutes)


DANS CET ESPACE IMMENSE
QU'AVAIS-TU RESSENTI
QUAND SOUDAIN COMME UNE LANCE
TE TRAVERSAIT LA VIE ?
.... IRREMEDIABLEMENT ...

ETAIT- CE UN FRISSON ?
OU UNE LARME SANS NOM ??
OU UN CHANT LOINTAIN ???
VENAIT-IL DE SI LOIN ?
LOIN DE TOI ? LOIN DE TOUT ?
CONNAIS-TU SON REFRAIN ? ...


(trois minutes)


SOUVENIRS ... ENFOUIS ...
A L'OMBRE DES GRENADIERS
Où UN RUISSEAU TE SUIT ...
QUAND TU COURS -IRRADIé-
VERS LES BRAS DE "MAMAN" ...

ET LOIN ... DANS L'AZUR ...
SE DESSINE TON FUTUR
SUR LE FLOT DES NUAGES
QU'AURAS -TU COMME BAGAGE? ...
LOIN DE Là, LOIN DE TOUT?
QUE DISAIENT ... LES PRéSAGES?


(deux minutes)

...



Voyageur

[Artemisia]

est ce une fin ?
Ou le début d'autre chose...

Oui, que disaient-ils, les présages ?

Que la plus grande richesse n'est pas ce qu'on a, mais ce qu'on est , c'est la seule chose qu'on puisse emmener dans certains voyages...?

Amitié,
Artemisia

[Voyageur]

est ce une fin ?
Ou le début d'autre chose...

Oui, que disaient-ils, les présages ?

Que la plus grande richesse n'est pas ce qu'on a, mais ce qu'on est , c'est la seule chose qu'on puisse emmener dans certains voyages...?

Amitié,
Artemisia

Des paroles de sagesse Artemisia ... une vision lucide, c'est à dire tout pour consoler ces blessures qui nous viennent de l'incompréhension ...
Et pourtant ne pas comprendre le pourquoi des choses reste une douleur vive à chaque minute qui nous rapproche de la grande Fin.


Merci Artemisia d'avoir renoué le contact!

Amitiés

Voyageur

[hurlantenova]

Oh !

[hurlantenova]

Trois pas Et, tous, nous avons mis ta Bastille en poussière Cette bête suait du sang à chaque pierre Et c'était dégoûtant, la Bastille debout Avec ses murs lépreux qui nous racontaient tout Et, toujours, nous tenaient enfermés dans leur ombre !