3 réponses à ce sujet

[Aoto]

John à la terre entière.



« Tu as trop d’importance pour moi, toi même le sais, et la brindille ou l’impossible possibilité que j’ai, chaque jour, de me choisir à ton image envenime la terre de ce chemin merdique sur lequel je n’aurai jamais du déposer le moindre orteils. En d’autres termes et c‘est direct, tu me baises, et cela comme un roi, ce qui d’ailleurs confère chez moi le superbe rôle de l’esclave chétif, et mon humilité, trompée comme toujours, questionne sans cesse, niaisement, des montagnes aux plaines en passant par les bars, dans l‘espoir d‘un refus, d‘un putain de recommencement. Crevant tout ton artifice de bâtard. »







John à son disciple Mohamed.



« Je te le dis maintenant, alors ouvre grand tes oreilles parce que c’est didactique; mon humilité se trompe puisque l‘importance de ta présence est tout aussi contingente que la mienne à ton égard, mais je te dis aussi, alors écoutes Mohamed, que maintenant tu iras te faire foutre car je n‘ai plus rien à faire avec toi: car d’une part il fallait alors que tu pensasses ceci de moi, car d’autre part, je faisais, afin que tu puisses le penser: car d’une troisième part tel était ce que voulait ma naïve modestie: car d’une quatrième part il fallait que je te sois quelqu’un de façon à être apprécier par ton regard dominant: car d’une dernière part de gâteau il fallait que je te suce et que je te mastique et que je te ressuce jusqu‘à ce que je me cambre afin que tu puisses violemment me soumettre à ta queue d‘enculé. Seulement depuis, mon gars, j’ai aperçus, et j’ai même vu, du rouge de tes yeux à ces contraintes qui en émanaient, une grande guerre, et un chemin où seul la bêtise régnait. Mais ce chemin mourra, et jte tordrai la queue, profiteur misérable, hypocrite semblable. »

(…)

« Sur quoi aurai-je dû fondre mes pas? Je ne sais, et ta présence surestimée suscitent bien trop ma liberté à se dissoudre. Serait-ce faire l’aveu de tant d’amour propre, ou bien au contraire, sommes-nous voués à être hors de nous mêmes de façon à être pour les autres, et seulement pour les autres? Trop de soucis alors, et beaucoup trop de tristesse.

Finalement, la dimension que je te confère n’est limitée que par mon sentiment de supériorité et sans ce sentiment, je meurs, entre tes mains, piqué du venin de cette terre infâme qui, sous la toiture de ton importance, m’a leurré tant de fois, jusqu’à en crever des soirs aux matins. Ce sentiment est devenu ce qu’il fallait qu’il devienne, une condition, en dépit de ces règles de modestie et de politesse qui contraignent plus qu’elles ne font avancer et cela par le fait même qu‘elles te pensent de façon inférieure.

Je n’ai que faire de ton chemin mielleux et de ces chaînes dont tu m’accables, dissolvant ainsi le narcissisme qu’il me semblait de nature posséder via ton unique présence. Je me sens supérieur, première condition de la liberté dans sa réalisation. Je te suis supérieur, ainsi je n’ai donc plus à porter ces strings qui auparavant ébranler ton enthousiasme. »

[Aoto]

bon j'avoue, c vraiment un texte de merde. MAIs allez vous faire foutre.

[lio...]

Ce qui te fais chier ( pardonne l'expression !! )

serait de ne pas être commenté ?...

Sois déjà lu.

C'est un veritable luxe...

[Aoto]

Ce qui te fais chier ( pardonne l'expression !! )

serait de ne pas être commenté ?...

Sois déjà lu.

C'est un veritable luxe...

lol, si, c ça. MON GARS. jtaime bien en fait. sérieux. LOL.