Vivez d’un petit rien
¤
Un groupe de gentils martinets
Se donnait regroupé la volée
Pour une petite miette de pain
Tombée d’une cupide petite main
☼
Leurs piailleuses disputes gâchèrent
Le silence ouaté partout d’ici de lÃ
Le ruisseau au manège fredonna
Pour de sa tranquillité empêcher le cela
☼
Ils dessinaient agiles sur le vent
Des arabesques au ton émouvant
Traçant sur le bel infini l’incertain
D’une petite miette pour un festin
☼
Dans une superbe dernière voltige
Ils cassèrent inconscients la belle tige
Droiture de la charmante petite fleur
Qui s’épousseta incrédule de sa torpeur
☼
Puis leste ils s’éloignèrent au mieux
Vers des riches terrains somptueux
Pour endiguer sages leur vive famine
S’empêchant las de vivre de vermine
☼
Ce qu’ils croyaient pour sur être fortune
Ne fut qu’illusions qu’ils eurent à maudire
Ils sillonnèrent le beau champ sans dire
Le désespoir ne n’avoir festoyé d’aucune…
☼
Là où le rien n’était plus que le rien
Ils revinrent pour la miette rechercher
Mais fatigué de n’avoir pu à l’heure profiter
Beaucoup périrent d’avoir voulu grand bien
☼
Pourquoi vivre appauvri dans la lie
Quand on peut vivre sain d’un petit rien
Eloigné des envies du faste des vauriens
Vivez aisé de ce moindre avec parcimonie
☼
Aussi, Si de votre vie vous voulez vivre bien
La vermine ne devra avoir

Vivre d'un petit rien
Débuté par macha, oct. 19 2008 03:41
2 réponses à ce sujet
#1
Posté 19 octobre 2008 - 03:41
#2
Posté 19 octobre 2008 - 04:30
Merci macha...
Un groupe de gentils martinets
Se donnait regroupé la volée
Pour une petite miette de pain
Tombée d’une cupide petite main
----------------------------------------------------
D’une petite miette pour un festin
---------------------------------------------------------------
Puis leste ils s’éloignèrent au mieux
------------------------------------------------------------
Pour endiguer sages leur vive famine
S’empêchant las de vivre de vermine
------------------------------------------------------------
Beaucoup périrent d’avoir voulu grand bien
Quand on peut vivre sain d’un petit rien
Eloigné des envies du faste des vauriens
Vivez aisé de ce moindre avec parcimonie
---------------------------------------------
Par ton beau poème , tu nous introduis dans le monde des méditations philosophiques..
Merci ..
Et moi aussi, je n'ai qu'à me plier à ces principes évoqués pour défendre la dignité de l'Humain. Et pour confirmer cela, voici qques une de mes poèmes sur des humains qui vivent encore dans des situations similaires...
La poésie, c'est aussi inciter à retourner aux grandes valeurs telles que la dignté, l'amour, l'altruisme, la générosité,le confiance en soi ...
Merci pour ton poème surtout dans ces conjonctures où les humains s'entretuent pour un rien...
---------------------------------------------------------------------
" Compatriote exilé !
----------------
Pauvre « blédard » toujours courbatu !
Dans son fief éternellement perdu
A la merci d’une généreuse pluie,
A la merci d’une clémence d’autrui.
Ou attendant une autre issue
Emanant d’un mécène féru.
Espoir farfelu, bravoure inédite!
Défi surhumain, foi insolite!
Combattant une cruelle misère
Que la patience encore tolère.
Quel monde ! Quelle atmosphère !
Quelle vie ! Quel miracle! Quelle ère !
Le pain est un luxe pour lui
L’eau demeure source de vie
Le dur labeur, confort et envie!
Innocemment d’un flou induit !
Sans remords, conscience paisible,
Serein, pensée infaillible ! "
---------------------------------------
Et pour conclure, un passage d'un autre poème
Signé RIFKI.
Tout notre souci dans la vie
Est un désir inassouvi
Usant de toutes les voies
Pour satisfaire notre moi,
Le sort de l’homme est ainsi fait :
Caprices et vœux illimités,
Au dépens de tant de valeurs
Omises par gré ou erreur.
C’est une loi humaine innée
Prédominant tout un chacun.
Que dire quant à notre destin
Pour approcher la vérité ?!
Tous les hommes, ainsi concernés,
Doivent se faire par eux leur bonheur,
Par le savoir, sans vanité,
Loin de nuire aux grandes valeurs.
Un groupe de gentils martinets
Se donnait regroupé la volée
Pour une petite miette de pain
Tombée d’une cupide petite main
----------------------------------------------------
D’une petite miette pour un festin
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Puis leste ils s’éloignèrent au mieux
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Pour endiguer sages leur vive famine
S’empêchant las de vivre de vermine
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Beaucoup périrent d’avoir voulu grand bien
Quand on peut vivre sain d’un petit rien
Eloigné des envies du faste des vauriens
Vivez aisé de ce moindre avec parcimonie
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Par ton beau poème , tu nous introduis dans le monde des méditations philosophiques..
Merci ..
Et moi aussi, je n'ai qu'à me plier à ces principes évoqués pour défendre la dignité de l'Humain. Et pour confirmer cela, voici qques une de mes poèmes sur des humains qui vivent encore dans des situations similaires...
La poésie, c'est aussi inciter à retourner aux grandes valeurs telles que la dignté, l'amour, l'altruisme, la générosité,le confiance en soi ...
Merci pour ton poème surtout dans ces conjonctures où les humains s'entretuent pour un rien...
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" Compatriote exilé !
----------------
Pauvre « blédard » toujours courbatu !
Dans son fief éternellement perdu
A la merci d’une généreuse pluie,
A la merci d’une clémence d’autrui.
Ou attendant une autre issue
Emanant d’un mécène féru.
Espoir farfelu, bravoure inédite!
Défi surhumain, foi insolite!
Combattant une cruelle misère
Que la patience encore tolère.
Quel monde ! Quelle atmosphère !
Quelle vie ! Quel miracle! Quelle ère !
Le pain est un luxe pour lui
L’eau demeure source de vie
Le dur labeur, confort et envie!
Innocemment d’un flou induit !
Sans remords, conscience paisible,
Serein, pensée infaillible ! "
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Et pour conclure, un passage d'un autre poème
Signé RIFKI.
Tout notre souci dans la vie
Est un désir inassouvi
Usant de toutes les voies
Pour satisfaire notre moi,
Le sort de l’homme est ainsi fait :
Caprices et vœux illimités,
Au dépens de tant de valeurs
Omises par gré ou erreur.
C’est une loi humaine innée
Prédominant tout un chacun.
Que dire quant à notre destin
Pour approcher la vérité ?!
Tous les hommes, ainsi concernés,
Doivent se faire par eux leur bonheur,
Par le savoir, sans vanité,
Loin de nuire aux grandes valeurs.
Fichier(s) joint(s)
#3
Posté 19 octobre 2008 - 08:39
cher rIFKI
Nous ne sommes que de pauvres atomes
dilueé dans la masse de l'univers
atomes d'humanité, tous fait d'un même endroit, même envers
aussi comment se faire cher confrére
pour que la puissance de nos mots susse faire
que notre terre ne soit un pénible enfer
il nous faudrait une, deux trois, mille légions
de ces atommes qui cultivent l'émotion
ces mots qui voudraient rendre à notre terre
a notre humanité les couleur du paradis
ne plus vivre dans la famine, le désiordre de ce taudis
que nos voix se fusionnent aux aromes
du bonheur de nos mots pour qu'ils ne soient atones
amitié poétique
macha
Nous ne sommes que de pauvres atomes
dilueé dans la masse de l'univers
atomes d'humanité, tous fait d'un même endroit, même envers
aussi comment se faire cher confrére
pour que la puissance de nos mots susse faire
que notre terre ne soit un pénible enfer
il nous faudrait une, deux trois, mille légions
de ces atommes qui cultivent l'émotion
ces mots qui voudraient rendre à notre terre
a notre humanité les couleur du paradis
ne plus vivre dans la famine, le désiordre de ce taudis
que nos voix se fusionnent aux aromes
du bonheur de nos mots pour qu'ils ne soient atones
amitié poétique
macha