RECUL
#1
Posté 10 juin 2007 - 06:27
C'est en vain que de l'Amour j'avais cru gagner,
Ses sentiments que tout être,un jour,ressent,
Lui faisant oublier tous ses malheurs présents.
Ainsi donc,la joie que tu m'avais apportée,
S'est réfugiée,désormais,loin de ma portée,
Me revoici,seul,face au cruel destin,
En m'imaginant l'existence des lutins,
Qui m'enfermeront dans leur vie utopique,
M'offrant leur merveilleux pays érotique,
Que reste-t-il à espérer de l'avenir?
Même plus le bonheur de voir s'épanouir,
L'Amour que je voulais plus fort que la raison,
Sans penser que ce n'est pas encore la saison,
De voir pousser sur notre arbre stérile,
Des fruits sortis droit de notre évangile.
#2
Posté 10 juin 2007 - 06:36
Joli poème...Merci...Je sens à nouveau ton image s'éloigner,
C'est en vain que de l'Amour j'avais cru gagner,
Ses sentiments que tout être,un jour,ressent,
Lui faisant oublier tous ses malheurs présents.
Ainsi donc,la joie que tu m'avais apportée,
S'est réfugiée,désormais,loin de ma portée,
Me revoici,seul,face au cruel destin,
En m'imaginant l'existence des lutins,
Qui m'enfermeront dans leur vie utopique,
M'offrant leur merveilleux pays érotique,
Que reste-t-il à espérer de l'avenir?
Même plus le bonheur de voir s'épanouir,
L'Amour que je voulais plus fort que la raison,
Sans penser que ce n'est pas encore la saison,
De voir pousser sur notre arbre stérile,
Des fruits sortis droit de notre évangile.
Amitiés,H.
#3
Posté 10 juin 2007 - 06:42
toujours présente et je t'en remercie . Amitiés.Joli poème...Merci...
Amitiés,H.