Le saule pleureur,
Au bout du jardin de mon enfance,
Dans cette époque ou j’étais dans l’innocence,
Une jolie rivière d’eau pure et claire,
Ecoulait ses eaux sous un ciel de lumière,
Y donnant de jolis reflets d’un vieux saule pleureur,
Qui me donnait joie d’amusement,
M’amusant des ses jolies branches,
Pour m’y balancer allégrement.
Ses racines entremêlées dans une berge protectrice,
D’une faune aquatique ou se mélangeait,
Têtards, grenouilles, et écrevisses,
Dont j’y prenais plaisir d’essayer de les attrapés,
M’en faire un jeu des heures durant,
Qui me rendait heureux et content.
Les branches semblaient attirées vers le courant,
Pour s’y rassasier d’un breuvage pour elles importants,
Je les attrapais pour m’y balancer, joyeusement,
Dans des cris imitant tarzan….
Malheureusement, ce saule à disparu,
Vaincu par la pollution et berges de béton,
J’en suis triste que mes petits enfants n’aient connus,
Ce vieil arbre,que j’aimais avec passion,
Fait maintenant partie d’une époque révolue,
Dont la main de l’homme y tue,
Cette jolie nature,
Le saule pleureur,
Au bout du jardin de mon enfance,
Dans cette époque ou j’étais dans l’innocence,
Une jolie rivière d’eau pure et claire,
Ecoulait ses eaux sous un ciel de lumière,
Y donnant de jolis reflets d’un vieux saule pleureur,
Qui me donnait joie d’amusement,
M’amusant des ses jolies branches,
Pour m’y balancer allégrement.
Ses racines entremêlées dans une berge protectrice,
D’une faune aquatique ou se mélangeait,
Têtards, grenouilles, et écrevisses,
Dont j’y prenais plaisir d’essayer de les attrapés,
M’en faire un jeu des heures durant,
Qui me rendait heureux et content.
Les branches semblaient attirées vers le courant,
Pour s’y rassasier d’un breuvage pour elles importants,
Je les attrapais pour m’y balancer, joyeusement,
Dans des cris imitant tarzan….
Malheureusement, ce saule à disparu,
Vaincu par la pollution et berges de béton,
J’en suis triste que mes petits enfants n’aient connus,
Ce vieil arbre,que j’aimais avec passion,
Fait maintenant partie d’une époque révolue,
Dont la main de l’homme y tue,
Cette jolie nature,
Sans penser au futur,
Oubliant leur propre passé,
Oubliant que eux aussi avec celle-ci, ils s’en sont amusés……….. ;;;
Sans penser au futur,
Oubliant leur propre passé,
Oubliant que eux aussi avec celle-ci, ils s’en sont amusés……….. ;;;