Ode à l'automne
De part et d'autre du vieux chêne
De jeunes pousses accroient lentement
Le vent automnal peu à peu se déchaîne
Les feuilles orangées virevoltent majestueusement.
Du parterre en mosaïque humide émane
L'odeur sacrée de cette nouvelle saison
Une période qui n'a rien de profane
D'exister dans le cycle elle a raison.
Un ciel sanguin se dessine
De doux gilets apparaissent
L'automne : une transition divine
Avant que le frais hiver nous caresse.
SC Sept 2008