12 réponses à ce sujet

[Therendel]

Question de foi

Pour langue de bois

Je suis à quia



Loué soit l'Homme

Plutôt que tout autre Dieu

Conte, Fable et Fiction

Oh oui moi je me moque

Du qu'en-dira-t-on,

Et j'aime mieux ma voie

Que celle qui vous échoit



Car il est trop facile de se cacher

Derrière des chimères voilées

Où chaque acte peut-être pardonné.



Allez mets moi donc à l'écart

Accorde-moi ton mépris

Interdis-moi ton paradis

A moi l'athée, l'immoraliste

Aux idéaux poreux.



Fais-moi dont rire encore un peu

Parle-leur du damné

Du pervers, du débauché

Que je suis



Jamais dans la Lumière

Ou du moins pas dans la sienne

Ce dieu qui n'existe

Que dans vos pensées.



Miracles que tout le monde guette

Mais qui jamais n'ont pris place

En revanche, on a perçu l'Amour divin

Immensité clémente sans fin

Lors de la mise à mort

De ceux qui ne croyaient pas:

Protection de la secte.



Je suis libre comme l'air

Je ne m'interdis rien

Sans renier ce principe:

Nul ne sera jamais mon "Seigneur"

Car je ne suis le serf de personne.



Du sang dans vos calices

Et pas seulement celui de votre Messie



Viens donc prendre le mien

Inquisiteur

Extrémiste du Bien

Viens donc m'imposer ta moralité

Ne serait-ce qu'une seconde

Et je souillerai tes eaux lustrales

J'irai cracher dans les bénitiers

Mais aussi à la gueule de tes patriarches.

Je mettrai fin à ta croisade.

...

Et jamais tu ne t'en remettras.

[Eelam]

Ta foi qui est d'un commun sans norme, est ainsi faite qu'elle s'est propagé sans difficulté et fait du monde ce qu'il est aujourd'hui... l'originalité de ta foi est telle qu'elle est admise et appliqué par tous, néanmoins tu sembles la découvrir et nous en offrir la primeur... merci à toi..

Une grande décharge publique d'individualisme forçonné que cette foi du chacun

[zapiski]

Hum, je trouve ce poème bien moraliste, voire sectaire. Et il s'adresse plus ou moins à un fantasme.

[Barthélemy]

trop à revoir

[Therendel]

Ta foi qui est d'un commun sans norme, est ainsi faite qu'elle s'est propagé sans difficulté et fait du monde ce qu'il est aujourd'hui... l'originalité de ta foi est telle qu'elle est admise et appliqué par tous, néanmoins tu sembles la découvrir et nous en offrir la primeur... merci à toi..

Une grande décharge publique d'individualisme forçonné que cette foi du chacun

Qu'est donc le monde aujourd'hui selon toi ?
Je ne vois en ce texte aucune trace d'individualisme masi peut-être que c'est parce que j'en suis l'auteur, ou alors c'est ce qu'il s'en dégage qui te fait penser celà.

En tous les cas, ce n'est aucunement un texte dirigé contre la religion mais contre le cléricalisme et l'extrêmisme religieux.
Enfin c'est du moins la seule chose que je voulais exprimer...

Amicalement Florian

(C'est aussi une réponse à ton commentaire zapiski... Chacun vit dans le fantasme, tu le sais bien...)

[Therendel]

trop à revoir

J'aime quand on critique mes textes, c'est bénéfique et ça m'aide à percevoir ce que les autres pensent de mon texte.
Alors vas-y je t'en prie, exprime toi.
Mais de grâce ne te contente pas d'un simple "Trop à revoir"

Amicalement
Florian

[Barthélemy]

attaquer la censure pour mieux assoir la sienne.
fuir ces pièges à règne.

le comte est la pire des putes incapables. qui met ses banières de pub turques censées intimider.
qu'en dis-tu ?

[Therendel]

attaquer la censure pour mieux assoir la sienne.
fuir ces pièges à règne.

le comte est la pire des putes incapables. qui met ses banières de pub turques censées intimider.
qu'en dis-tu ?

Je dis que la critique acerbe est aisée d'autant plus que tu la pratiques sur chaque texte que tu lis.
Je dis qu'une bonne remise en question serait peut-être à envisager pour tout le monde.
Je ne crois pas assir de censure nulle part.
Je crois même que tes propos sur les putes ou autres bannières turques sont hors-contexte ou sont des métaphores trés maladroites.
Mais je ne dis rien de plus, après tout je peux me tromper.
Et toi aussi, tu ne crois pas ?

[Eelam]

Je suis libre comme l'air
Je ne m'interdis rien
Sans renier ce principe:
Nul ne sera jamais mon "Seigneur"
Car je ne suis le serf de personne.

C'est ce passage qui m'a dire que... suffirait juste de rester l'esclave des libertés.

[Therendel]

C'est ce passage qui m'a dire que... suffirait juste de rester l'esclave des libertés.

Soit mais tu sais aucun écrit et aucune pensée n'est parfaite.
A travers ces vers, je revendique un peu de droit à un égoïsme certain.
Même si cette pseudo-liberté n'est qu'une illusion...

[hurlantenova]

fit le fonctionnaire, levant les bras au ciel.

[hurlantenova]

- Puis, tu peux y compter, tu te feras des frais Avec tes hommes noirs, qui prennent nos requêtes Pour se les renvoyer comme sur des raquettes Et, tout bas, les malins !

[hurlantenova]

Les femmes soignent ces féroces infirmes retour des pays chauds.