Sérios tu déconnes
#1
Posté 18 novembre 2008 - 08:22
#2
Posté 19 novembre 2008 - 05:37
ben il ya des trucs que j'ai mis qui ont disparu sans raison tu sucres trop facile c'est plus de la censure mais du caviardage
Je n'ai pas supprimé de topics de toi, sauf erreur de ma part. Par contre, la propagande fasciste en copier-collé du général hamilton, je la sucre sans état d'âme.
#3
Posté 19 novembre 2008 - 06:19
On aura tout entendu. Sinon, mOI J'y crois pas trop aux facistes en France. Comme jospin; http://www.dailymoti...un-par_politics
(Bouh il a poster une video poster par des facistes -Merde, censurez-le !)
#4
Posté 19 novembre 2008 - 08:31
Quoi, zizek un faciste ?
On aura tout entendu. Sinon, mOI J'y crois pas trop aux facistes en France. Comme jospin; http://www.dailymoti...un-par_politics
(Bouh il a poster une video poster par des facistes -Merde, censurez-le !)
J'efface le proléytisme - surtout le crétin - pas le débat. Je n'ai pas effacé le débat avec Povoite, par exemple, même si l'argumentaire est poussif, de tous les côtés d'ailleurs. C'est un débat. Par contre, l'obsession qui te pousse à ramener sur le tapis des thématiques non seulement nauséabondes mais hors sujet te pousse vers la sortie, c'est clair. TLP n'est pas un lieu de propagande cryptique.
#5
Posté 19 novembre 2008 - 09:33
J'efface le proléytisme - surtout le crétin - pas le débat. Je n'ai pas effacé le débat avec Povoite, par exemple, même si l'argumentaire est poussif, de tous les côtés d'ailleurs.
merci de votre clémence maître.
C'est un débat. Par contre, l'obsession qui te pousse à ramener sur le tapis des thématiques non seulement nauséabondes mais hors sujet te pousse vers la sortie, c'est clair. TLP n'est pas un lieu de propagande cryptique.
Oui maître. J'ai bien compris ce que vous voulez qu'on publie sur votre forum.
#6
Posté 20 novembre 2008 - 01:13
merci de votre clémence maître.
Oui maître. J'ai bien compris ce que vous voulez qu'on publie sur votre forum.
Toi, tu fais des super trucs, sous couvert d'un petit enfant, et toutes les femelles en mal d'enfants sont après toi, pour quoi ?
Des tas de conenries; poes-toi des questions merdre.
Vous êtes ridicules.
C'est toi qui vois.
De plus, les poésies ne sont pas de toi ; quel sacrifice; non de diou.
#7
Posté 20 novembre 2008 - 08:36
#8
Posté 20 novembre 2008 - 08:47
Désolé ces mecs là font de la propagande raciste
Puis je vois pas pourquoi je devrais accepter le FN
et me taire pour toutes les conneries du PS
#9
Posté 20 novembre 2008 - 09:51
#10
Posté 20 novembre 2008 - 10:08
Copier Coller sur le bonhomme
Par Yves Charles Zarka, universitaire, philosophe et directeur de la revue «Cités».
Aujourd'hui, comment réÂinÂventer la Terreur (jaÂcobine) ? Étrange question, n'est-ce pas ? On aurait plutôt attendu la question inverse : comment éviter la Terreur ? C'est pourtant la première qui constitue l'interrogation cenÂtrale de la présentation par Slavoj Zizek des discours de Robespierre. Voilà donc un philosophe qui entend trouver dans la terreur le seul et unique moyen de nous libérer de l'avènement du capitalisme mondial, de rompre avec la (post) politique de la peur qui se généralise dans la société, d'en finir avec l'administration «biopolitique» de la vie qui déÂfinit selon lui la démocratie liÂbéÂrale, et last but not least d'éviter la catastrophe écologique qui plane sur l'humanité. Excusez du peu !
Pour s'arracher à ces périls, il faut revenir à Robespierre, à la vraie Terreur, c'est-à -dire à « l'idée éternelle de la politique de la justice révolutionnaire, qui fut en vigueur depuis les anciens légistes chinois, jusqu'à Lénine et à Mao, en passant par les Jacobins» telle qu'elle se trouve Âdéfinie, selon Zizek, par Alain Badiou dans son ouvrage Logiques des mondes. Il y aurait donc une vérité éternelle de la justice révolutionnaire qui traverserait l'histoire pour en marquer les moments forts, les moments universels. Elle serait constituée de quatre traits décisifs : la jusÂtice radicalement égalitaire, la terreur à travers «un châtiment impitoyable pour tous ceux qui violent les mesures protectrices imposées» et le volontarisme qui peut seul «stopper le train de l'histoire qui roule vers le précipice de la catastrophe monÂdiale» , enfin, la confiance dans le peuple qui ne peut pas ne pas soutenir ces mesures sévères. Le peuple, le vrai, ne peut pas ne pas aimer la terreur.
Est-ce là de la philosophie ou de l'aveuglement ? Une chose est sûre, les philosophes de la terreur connaissent un succès grandissant et, par certains côtés, inÂquiétant auprès de la jeunesse. Leur caractéristique principale est une haine farouche de la déÂmocratie libérale, dont, soit dit en passant, ils n'ont jamais déÂdaigné les avantages de toute sorte. Il y a en effet pour eux deux sortes de démocraties : la fausse et la vraie.
La fausse est évidemment la démocratie libérale où règnent l'inégalité, la corruption et l'exÂclusion des sans-droits et des sans-parts. La vraie est celle où règnent la vertu et la terreur, comme si la vertu peut tempérer la terreur, comme si la plus terrible des terreurs n'est pas celle qui est exercée au nom de la Âvertu et d'une vérité absolutisée. La vraie démocratie est ainsi la prise du pouvoir par les sans-droits et les sans-parts.
Les philosophes de la terreur haïssent la démocratie libérale, mais ils haïssent au moins autant l'huÂmanisme qui lui est lié : «réÂpéter l'événement désigné par le nom “Robespierre†c'est passer de la terÂreur humaniste (de RobesÂpierre) à la terreur antihumaÂniste (ou plutôt antihumaine)». Il faut donc aller au-delà de Robespierre, qui a eu la main trop courte, aller jusqu'à l'affirmation d'une terreur antihumaine.
Derrière l'homme, il y a en effet, pour ces philosophes, l'inhumain, comme derrière le prochain, qui permettait à Levinas de penser la responsabilité éthique, il y a la monstruosité.
Cette apologie de la terreur et de l'antihumanisme radical réactive les vieilles lunes marxistes-léninistes du siècle passé que l'on croyait définitivement oubliées : la figure du traître à la révolution, l'idée que la révoÂlution n'a pas besoin de justiÂfication, elle ne s'autorise que d'elle-même, sans oublier l'inénarrable dictature du prolétariat.
La vraie démocratie ne peut s'imposer que par la dictature, parce qu'elle est le moment où la partie s'impose au tout de la société : «La dictature du prolétariat est un autre nom pour la violence de l'explosion démocratique elle-même» (Zizek). C'est précisément en ce point que l'extrême gauche rejoint l'extrême conservatisme de la droite radicale, car Zizek n'est pas très loin, sur ce point précis, de Carl Schmitt, le fameux juriste du IIIe Reich, qui haïssait également la démocratie libérale et pour lequel la véritable démocratie, celle où le prolétariat est intégré à l'unité politique, est dictatoriale.
On comprend ainsi la fortune de Carl Schmitt aujourd'hui, explicitement ou implicitement, à l'extrême gauche. Faut-il en pleurer ? Faut-il en rire ? Les deux à la fois sans doute. Mais surtout en rire cependant, car ces philosophes de la terreur ne sont finalement que des terroristes de salon.
Merde! Merde! Merde! messieurs les fachos
#11
Posté 20 novembre 2008 - 10:35