POeme galant à titre d'essai
#1
Posté 18 novembre 2008 - 04:39
Pour éclairer, quoi ?
Deux corps, l'aiguille va pointer 30
Et il est temps de s'en aller
Encore.
Je ne suis plus seul ? Dans ce rêve,
Dans ce rêve, enfin, je ne suis plus seul !
Regarde
Ils longent la Seine main dans la main
En oubliant les épiciers
Les boutiquiers tous les banquiers tous les bourgeois le lendemain
Descendent les marches vont sur les quais
Moins dégoûtants qu'une façade publicitaire;
Regarde les
Qui errent;
Deux corps de feu
Pour éclairer, quoi ?
Un ciel d'ampoules, main dans la main.
#2
Posté 18 novembre 2008 - 04:53
ah oui c'est douloureux (mais moins qu'au pied quand même)Un ciel d'ampoules, main dans la main.
C'est une gêne de toute façon.
tiens d'ailleurs ce n'est pas nouveau : Henri IV, il faisait lui tant de cheval dans la semaine que le dimanche il avait peine à s'asseoir
D'ailleurs il se plaignait :
"L'ampoule au pot tous les dimanches"
#3
Posté 18 novembre 2008 - 05:02
bon je dois y aller aurevoir.
#4
Posté 18 novembre 2008 - 06:46
Un ciel d'ampoules
Pour éclairer, quoi ?
Deux corps, l'aiguille va pointer 30
Et il est temps de s'en aller
Encore.
Je ne suis plus seul ? Dans ce rêve,
Dans ce rêve, enfin, je ne suis plus seul !
Regarde
Ils longent la Seine main dans la main
En oubliant un peu les épiciers
Les boutiquiers tous les banquiers tous les bourgeois le lendemain
Descendent les marches vont sur les quais
Moins dégoûtants qu'une façade publicitaire
Regarde les
Un peu
Qui errent
Deux corps de feu
Pour éclairer, quoi ?
Un ciel d'ampoules, main dans la main.
C'est très galant,
elle devrait aimer...
#5
Posté 18 novembre 2008 - 11:18
#6
Posté 18 novembre 2008 - 11:26