Il sent
Il sent la chaleur
des heures en mousse
Il sent le secret du feu en pierre
Il sent un petit peu descendre l'eau qui larmoie
Il sent comme l'amour revient sur ces mains gercées
Il sent aussi ce que la poussière lui demande
et que l'argile lui rend toujours un peu partout,
Rien de ce que l'hiver envoie de squelettes,
d'embruns fâchés aux plantes gelées
par la haine...
Il sent le chant
des secret du champagne avec colère
Il sent le trouble qui double et les bulles rouler de par les océans
Il sent les fautes filer ou s'investissaient ses deux poumons atrophiés
Il sent le plastron rond des guerriers Il sent sa peau qui se brise
mais des lambeaux en échappent, l'ombre du lambeau des masques bruns
ou se tache la croix des fantasmagories, dans les allégories songées ,
lamentables octave vibrant dans une cave dentelée
Il sent
sous ses aisselles luisantesle son de madeleine
Il sent sous ses aisselle le marasme de ces élans endeuillées
Il sent ailleurs dans ce champ un faon vivant, la face abimée de l'abyme et l'enfant
Il sent des nom de proies , des destins de musaraigne , partout Il sent
la foi de la sa soif et de l'effroi, les yeux de pierre de Robespierre ,
une robe pavée de guillotine qui fait un coupe gorge gorgé de sang
Je mange mes bras, mes ongles mes bilans, mes papiers ,
mes pieds plat jusqu'aux onguent , des pauvres du Liban,
a ma fange glabre
(…)
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