
Vol.
#1
Posté 02 décembre 2008 - 01:12
Celui qui passe est toi, porteur d'un papillon dans le refuge du possible. Rien n'est perdu, ramasse les dangers pour existence.
J'aimerais me rencontrer.
Je passerai et repasserais encore ; je n'ai jamais su passer, la terre est vide.
Vos doigts en extase sont une sacré saloperie d'illusions.
Rien n'a aucune raison d'exister.
Être & Néant.
#2
Posté 02 décembre 2008 - 01:54
mais est ce que l'on se reconnaitrait.. je me demande

salutations néantesque..
#3
Posté 02 décembre 2008 - 01:57
On aimerai tous se rencontrer un jour je crois,
mais est ce que l'on se reconnaitrait.. je me demande
salutations néantesque..
Je crois que l'on s'est déjà tous rencontrés.
Et que l'on se reconnait.
Salutations pourtouriesques.
#4
Posté 02 décembre 2008 - 02:56
L'oubli fait partie de moi, ainsi, j'ose regarder, à peine, si peu, et le rire m'emporte, car vois-tu, je suis si désespérée, que mon moi, même si parfois il est froid, chaud aussi, n'a que ce regard tourné vers mon autre, et c'est là que je meurs.
Celui qui passe est toi, porteur d'un papillon dans le refuge du possible. Rien n'est perdu, ramasse les dangers pour existence.
J'aimerais me rencontrer.
Je passerai et repasserais encore ; je n'ai jamais su passer, la terre est vide.
Vos doigts en extase sont une sacré saloperie d'illusions.
Rien n'a aucune raison d'exister.
Être & Néant.
pour te rassurer, rien existe !!! on vient y'a peu de glacifier le néant
maintenant nous devons être et très vite
bois un verre
musique gaie
Et n'aies plus peur
ton ami
#5
Posté 02 décembre 2008 - 02:57
pour te rassurer, rien existe !!! on vient y'a peu de glacifier le néant
maintenant nous devons être et très vite
bois un verre
musique gaie
Et n'aies plus peur
ton ami
J'ai fait tout comme tu m'as dit mon Ami.
C'est pareil.
#6
Posté 02 décembre 2008 - 03:02
alors je trinques avec vous ce soir..
salud..
#7
Posté 02 décembre 2008 - 03:04
merci
Bonne nuit.
#8
Posté 02 décembre 2008 - 12:09
#9
Posté 02 décembre 2008 - 02:44
#10
Invité_Oghamm_*
Posté 02 décembre 2008 - 08:36
L'oubli fait partie de moi, ainsi, j'ose regarder, à peine, si peu, et le rire m'emporte, car vois-tu, je suis si désespérée, que mon moi, même si parfois il est froid, chaud aussi, n'a que ce regard tourné vers mon autre, et c'est là que je meurs.
Celui qui passe est toi, porteur d'un papillon dans le refuge du possible. Rien n'est perdu, ramasse les dangers pour existence.
J'aimerais me rencontrer.
Je passerai et repasserais encore ; je n'ai jamais su passer, la terre est vide.
Vos doigts en extase sont une sacré saloperie d'illusions.
Rien n'a aucune raison d'exister.
Être & Néant.
Cela me fait penser à une poésie "je me suis rencontrée".
A s'oublier soi même l'on meurt...sans doute.
Mais rien n'est facile lorsque l'on tente de regarder,
Aussi ne faut-il se juger trop durement, notre jugement sur nous même est le plus terrible qui soit.
On se noie, l'on navigue, puis la raison en perdition, on secoue les branches pour recevoir encore un peu de vie.
Parfois, comme un miracle, on touche de l'âme, l'inconnu, notre double...pourtant une autre personnalité. Mais l'on sait.
Alors on accepte de se laisser aimer par son autre...comme si toujours nous avions connu cette plénitude, d'être aimé pour ce que l'on est.
Même si le chemin semble court, la terre ne se vide jamais, et l'Etre ne peut qu'Exister.
Près de toi, je serai mon Amie.
#11
Invité_Oghamm_*
Posté 03 décembre 2008 - 09:09
j'écrivais :
"j'ai aperçu ma terre
lÃ
aux creux de tes mains
si fragiles
J'y ai construit
mon front
qui se mire
dans tes horizons
Je me sens un peu seule
depuis ton retour
Je sais
Ce n'est pas le vide
un trop plein
Les mésanges m'ont raconté
aux promenades
l'histoire de nos pincements
Je rejoins cette faiblesse d'oiseaux
qui crèvent le ciel
sur feuilles d'arbrisseaux
Oui,
J'aime les jours et les nuits
et
ma peur s'en est allée
solitaire
Une abeille m'a dit
que le miel se goûtait
aux étincelles de l'aurore
Je le crois
La poésie en refuge
Tes feuilles de laurier sont posées
lÃ
à sécher
Dans l'attente".
Bisous ma belle Amie
#12
Posté 03 décembre 2008 - 10:38
Voilà cette poésie- mai 2008
j'écrivais :
"j'ai aperçu ma terre
lÃ
aux creux de tes mains
si fragiles
J'y ai construit
mon front
qui se mire
dans tes horizons
Je me sens un peu seule
depuis ton retour
Je sais
Ce n'est pas le vide
un trop plein
Les mésanges m'ont raconté
aux promenades
l'histoire de nos pincements
Je rejoins cette faiblesse d'oiseaux
qui crèvent le ciel
sur feuilles d'arbrisseaux
Oui,
J'aime les jours et les nuits
et
ma peur s'en est allée
solitaire
Une abeille m'a dit
que le miel se goûtait
aux étincelles de l'aurore
Je le crois
La poésie en refuge
Tes feuilles de laurier sont posées
lÃ
à sécher
Dans l'attente".
Bisous ma belle Amie
Tu n'as donc pas cuisiner avec mes lauriers ?
Je me sens seule, sans toi aussi.
Vivement bientôt.
T'embrasse tendrement.
Seb, et les amis, désolée si je ne répond pas ; pas l'envie ce soir, mais j'ai le coeur avec vous. Vous embrasse.
#13
Posté 03 décembre 2008 - 10:41
Merci pour cette image Oghamm.
#14
Invité_Oghamm_*
Posté 03 décembre 2008 - 10:49
"Je rejoins cette faiblesse d'oiseaux..."
Merci pour cette image Oghamm.
Bonsoir Clari
merci aussi pour ce que tu es.
bisous