
le vide et la tranche
#1
Posté 16 juin 2007 - 10:14
Aux agonies de vos tours aphteuses
Faiblit le charnier indolent.
Rien que le vide et la tranche,
De vinaigre circonspect !
Tous ces trottoirs mal-aimés
Ont vu geindre dans un été
Leur saumure pessimiste.
Ah! la charrue est ineffable !
Qui aime qu'on mente à ses orteils,
Qui veut que l'on sue agacé
Quand on est repu dans les sables.
#2
Posté 16 juin 2007 - 10:20
#3
Posté 16 juin 2007 - 11:55
J'en tremble (pas l'autre main)
(rires)

#4
Posté 17 juin 2007 - 03:03
Amicalement The Child

#5
Posté 17 juin 2007 - 07:22
#6
Posté 17 juin 2007 - 08:18
Tiens! Le loto des mots.Je ne savais pas que cela existait.Rien au grattage et encore moins au tirage.Montagne des hargnes raillées,
Aux agonies de vos tours aphteuses
Faiblit le charnier indolent.
Rien que le vide et la tranche,
De vinaigre circonspect !
Tous ces trottoirs mal-aimés
Ont vu geindre dans un été
Leur saumure pessimiste.
Ah! la charrue est ineffable !
Qui aime qu'on mente à ses orteils,
Qui veut que l'on sue agacé
Quand on est repu dans les sables.
#7
Posté 17 juin 2007 - 08:42
Allez! Fais pas l'con, reste avec nous, t'auras l'air d'un toi-même
Entends le battement
De ses veilles horloges
Un son mat résonne
Et couvre une fissure
L’ardent feu sans brûlure
Illumine des nimbes
Porte à nos devenirs
Son halo de raisons
Laissons là nos bagages
L’aumône du partir
Offrons des paysages
Au-delà les saisons
Reviens nous sous ton châle
Étoffer nos retraites
Fais chanter les cigales
Absentes dans ta tête
#8
Posté 17 juin 2007 - 02:53
#9
Posté 17 juin 2007 - 03:41
#10
Posté 17 juin 2007 - 04:37
Chienne, je veux bien, mais steup arrête les poèmes.
C'est trop.
Pitié.
Steup.