Un cheveu sur la lande
Et cent sons qui me chuintent
Quelque geste de toi.
C'est le vent qui zézaye...

Quelque geste de toi...
#1
Posté 07 mars 2007 - 09:46
#2
Posté 08 mars 2007 - 02:21
comme c'est creux.
par l'armée jeter la confusion.
#3
Posté 08 mars 2007 - 08:20
Qui s'embrasserait de nous!!!
Merci...
#4
Posté 08 mars 2007 - 10:04
#5
Posté 08 mars 2007 - 12:50
Amicalement.
Lisa.
#6
Posté 09 mars 2007 - 12:25
et parfois - souvent- , un plaisir.
J'avoue humblement, tant ça parait construit,
souvent m'échiner à feuilleter l'album de la comtesse.
Sans jamais le moindre résultat.
Cette fin de matinée, après avoir englouti quelques vers au kilo comme on s'empiffrerait de cacahuètes,
m'être contorsionné sur quelques poèmes
- pas toujours simple de lire ces auteurs qu'on ne connait pas,
des nouveaux noms où on cherche la trouvaille du texte qu'on viendra relire,
ou qu'on emportera sur soi-,
ces quatre lignes.
Ouf ...
Et dans la gymnastique de l'écriture
la souplesse d'un ruban de Moebius.
très ....
#7
Posté 16 mars 2007 - 06:50
#8
Posté 17 mars 2007 - 03:35
#9
Invité_juliet._*
Posté 21 juin 2007 - 10:49
Un cheveu sur la lande
Et cent sons qui me chuintent
Quelque geste de toi.
C'est le vent qui zézaye...
L'Etre défait
La faim des plaisirs
Balafre une gourde
A la taille fine
Le temps tient
En murmure
L’Etre défait
Cet inventaire
De mauvais choix
A l’odeur
Des cercueils en dérive
Pas de baume
Chuchote la gourde
Au double igné.
#10
Posté 22 juin 2007 - 02:19
L'Etre défait
La faim des plaisirs
Balafre une gourde
A la taille fine
Le temps tient
En murmure
L’Etre défait
Cet inventaire
De mauvais choix
A l’odeur
Des cercueils en dérive
Pas de baume
Chuchote la gourde
Au double igné.
Que la mort est petite
Quand les feux sont éteints...