
Les journées où il pleut
#1
Invité_Le Prince de Dité_*
Posté 17 juin 2007 - 10:08
Sur nos amours fanées
Les années sur nos corps
Ont laissées des saignées
Je n'peut plus te surprendre
Peut plus t'émerveiller
Il n'ya plus rien à prendre
Tout est déjà gâché
Alors on fait comme si
On venait d'se rencontrer
Alors on fait comme si
C'était le premier baiser
Les journées où il pleut
On comble les silences
Faire semblant d'être heureux
Même dans nos absences
Et l'on s'écoute à peine
Crier, gémir, pleurer
On a bien trop de peine
Et, pour mieux se consoler
On se dit qu'Ã descendre
Aux enfers comme Orphée
A ramener des cendres
On peut bien remonter
Se pardonnant nos fautes
C'qu'on peut se reprocher
Tout ce pourquoi l'on saute
A la moindre larme versée
Les journées où il pleut
On comble les silences
Faire semblant d'être heureux
Même dans nos absences
Et l'on sait bien qu'un jour
Dans un mois, une année
Il n'y aura plus d'amour
Pour pouvoir continuer
On se dira "au r'voir"
Et "on s'est bien marrés"
Ce sera rideau, noir,
Sur notre idylle manquée
On se dit qu'Ã descendre
Aux Enfers comme Orphée
Et ramener des cendres
On ne peut que compter
Les journées où il pleut...
#2
Posté 17 juin 2007 - 10:12
Et je striiike !!!!
#3
Invité_Le Prince de Dité_*
Posté 18 juin 2007 - 12:50
Alors j'aimerai que tu fasse montre d'un peu de maturité au lieu de poster une réponse de gamin attardé!
Sache que ce poème en vaut bien un autre, et que si tu trouve que c'est une "merde", et bien torche toia vec mais ne me casses pas!
Enfin, je voudrais finir en disant que si tu ne comprends rien à la poésie, tu n'as rien à faire içi, retournes donc dans tes gogues, tu t'y sentiras plus à l'aise que dans ce salon de poésie, entre gens courtois et honnêtes!
Ciao, et si nous sommes de la même planète, nous ne sommes décidément pas du même monde...
#4
Posté 18 juin 2007 - 01:09
La pluie lave de nos coeurs les souffrances,Le soleil se lève encore
Sur nos amours fanées
Les années sur nos corps
Ont laissées des saignées
Je n'peut plus te surprendre
Peut plus t'émerveiller
Il n'ya plus rien à prendre
Tout est déjà gâché
Alors on fait comme si
On venait d'se rencontrer
Alors on fait comme si
C'était le premier baiser
Les journées où il pleut
On comble les silences
Faire semblant d'être heureux
Même dans nos absences
Et l'on s'écoute à peine
Crier, gémir, pleurer
On a bien trop de peine
Et, pour mieux se consoler
On se dit qu'Ã descendre
Aux enfers comme Orphée
A ramener des cendres
On peut bien remonter
Se pardonnant nos fautes
C'qu'on peut se reprocher
Tout ce pourquoi l'on saute
A la moindre larme versée
Les journées où il pleut
On comble les silences
Faire semblant d'être heureux
Même dans nos absences
Et l'on sait bien qu'un jour
Dans un mois, une année
Il n'y aura plus d'amour
Pour pouvoir continuer
On se dira "au r'voir"
Et "on s'est bien marrés"
Ce sera rideau, noir,
Sur notre idylle manquée
On se dit qu'Ã descendre
Aux Enfers comme Orphée
Et ramener des cendres
On ne peut que compter
Les journées où il pleut...
Et améne de nouvelles espérances.J'ai apprécié.Bien à toi.
#5
Posté 18 juin 2007 - 01:18
Comme une triste
Ritournelle
D'un constat
Sans espoir
Sans espoir ?
allez, dites moi que non...
Artemisia
#6
Invité_Le Prince de Dité_*
Posté 18 juin 2007 - 01:32

Non ce n'est pas sans espoir, le phénix renaît de ses cendres, mais en quel état?
#7
Posté 18 juin 2007 - 04:22
Un peu roussi.Mais comme on dit chez moi trop cuit ne sent pas le brulé.Courage,le temps efface tout.Content de savoir que restent quand même des âmes nobles et fragiles!
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Non ce n'est pas sans espoir, le phénix renaît de ses cendres, mais en quel état?