3 réponses à ce sujet

[eric]

La braguette de la morts'ouvre s'use et de suite dévore
les ennuis les envies les remords
la fantastique échappée
la santé espiègle et trompée
la vermine calomniée
le bidon, presse-purée
pue jacte et sent le sang le sens les sans...contraires
les sans....frères,les sans...connard!tu m'as pourris ma vie!
Ô toi mon ennemi que j'aime!
Ô toi ma douce ma sûre ma suprême!
Argent aux gens aux temps aux carême des singes
qui firent du trop ce que le rien ne fît
Ô ,figures-toi!pantois des noces de belles santés
de ces féroces clans âprement dessinés
et décidés à tout faire somnoler.
Ô!,n'en tiens pas rigueur mon frère!
De cette haine qui s'exprime.
Car je me hais je me hais de tous ces détritus étalés là
sous mes pieds dans ma haine de ma gueule
prends toi la vie et fais lui des fleurs!
Troupeaux,troupeaux de bonheurs.
Le 19/12/2008

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[Castillon]

le style fermeture-éclair : zip !
(la photo est tellement que c'est sans doute du nième degré, mais attention : en hiver les degrés sont en dessous de zéro)

[eric]

bonjour
c'est bizarre mais je persiste à croire que j'ai du talent pour pas un rond
c'est la pemière fois que j'entend qu'il existe un degrés "moins zéro" dans ce qui est la manière de "prendre" un texte..ou....de l'écrire.

en tout cas je ne vous dis pas merci

[Comtoise]

Ce texte est excellent sauf un léger manque de décalage vers la suite du reste de l'inconnu de la mort