« Si un homme ne cherche pas un appui, tout le monde le laissera, je ne dis pas vivre, mais tomber. Sans accoudoir, inutile de jouer des coudes, sans épaulement, nul ne prête l'épaule : on ne fera rien pour vos beaux yeux, même un fort pilier par ses mérites s'écroule sans contrefort. D'ailleurs, pour être connues, même les annonces ont besoin des médias de solides supports et les affiches, d'un bon mur. »
Baltasar Gracian, Le Criticon, trad. Benito Pelegrin.
Argus à Critile
Débuté par J.G. Mads, déc. 21 2008 02:25
2 réponses à ce sujet
#1
Posté 21 décembre 2008 - 02:25
#2
Posté 21 décembre 2008 - 02:36
"On a besoin d'un père, puis d'un tuteur, puis de travailler donc des patrons mais on n'a pas pas besoin de mentor, la liberté commence en s'affranchissant des regards, on a toujours besoin d'être admiré voire d'être aimé" Victor dans ses œuvres
#3
Posté 21 décembre 2008 - 02:39
Salut
T'as raison Thor
Et j'avais tort
T'as raison Thor
Et j'avais tort