Le chemin des âmes
#1
Posté 19 juin 2007 - 05:47
Vouées au trépas dès le moindre pas
L'unique sens d'un destin de l'infâme
Cul d'un sac que notre chair comblera
Lorsque la colline en devient montagne
Lorsque le corps humain fait sédiment
Quand chaque jour, en l'incessante hargne
Les vies s'effacent sans gagner versant
Qu'est-il en sa tête, pauvre soldat
Piétinant ses compagnons d'infortune
L'odeur de l'horreur le mène au combat
Et il grille là sa dernière brune
Condamné à mort sans aucune faute
A corps perdu, un couloir de la peur
Le chemin s'arrête en haut de la côte
Il ne reste à vivre que quelques heures
Ses amis occis traînent à ses guêtres
Formant l'empreinte d'un incertain glas
Mourir en héros, fusillé en traitre
Si jeune, il n'a que l'embarras du choix
En mémoire d'un soldat inconnu
Je lève mon vers, salue son courage
Mais je me battrai pour que jamais plus
Il n'y ait raison d'honorer carnage
#2
Posté 19 juin 2007 - 05:49
#3
Posté 19 juin 2007 - 05:58
Dans les clichés que j'ai à propos des poètes, c'est qu'ils se battent avant tout pour l'amour, et contre la guerre. Mais ça reste une vision personnelle...
#4
Posté 19 juin 2007 - 05:58
On me retire,enfin,de cette grasse terre,
Pour savoir si de mes sentiments j'ai eu grand tort,
De penser qu'Ã rien d'utile n'a servi ma mort.
Un bon rappel de souvenirs aux conneries de l'humanité.Ecrit en toute simplicité.C'est du "bon".Bien à toi
#5
Posté 19 juin 2007 - 06:03
#6
Posté 19 juin 2007 - 06:07
Cordialement
#7
Posté 19 juin 2007 - 06:12
Quant à la guerre, c'est un sujet qui "touche" bien trop de monde !
#8
Posté 19 juin 2007 - 06:18
J'ai eu un peu le même genre de soubresaut, je t'en fais part:
Et pourtant nous allons,
A même fontaine quand la langue est blanche
Et qu'il est supplice de déglutir.
Et pourtant nous avons,
Les mêmes mots plaintifs pour ouvrir l'horizon
De notre tranchée trop sombre ,trop étroite et trop noire.
Et pourtant nous allons
Les mêmes pieds embourbés, gelés, figés,
Courir par dessus les cadavres oublier nos femmes, nos minots et nos misères.
Et pourtant nous avons,
Dans le même brouillard asphyxiant,
L'espoir vain de n'être que Survivant.
Et pourtant nous allons
Tous croire que la guerre se regarde en ennemis.
Moi, simple témoin inconnu, je vous le dis,
La guerre, elle se fait, oui, mais de regards appauvris,
De visages déchirés, de jambes amputées et d'espoirs abolis...
Mais nous n'avons
Tous ici plus la plume ni le temps de l'écrire,
Car la mort nous a donné rendez-vous, là -bas, sur la colline...
#9
Posté 19 juin 2007 - 06:22
Tu donnes dans le style libre, mais tu n'es pas libre de talent, loin de là !
#10
Posté 19 juin 2007 - 06:29
Il est vrai que nos pensées se rejoignent fortement !
Tu donnes dans le style libre, mais tu n'es pas libre de talent, loin de là !
Joustement j'allais ben l'dire
Jalousement j'irais fureter un p'tit coup avant d'm'enfuir ....
#11
Posté 19 juin 2007 - 06:30
Il est vrai que nos pensées se rejoignent fortement !
Tu donnes dans le style libre, mais tu n'es pas libre de talent, loin de là !
Attention Mesdames vous êtes en train de me surpasser......Mais c'est tant mieux....Pour la poésie et tant pis pour moi.Ils faut que vous grandissiez et que je diminue(ce n'est pas de moi mais ça aurait pu)Bien à vous.
#12
Posté 19 juin 2007 - 07:01
Vive les pets !
Bande de trous du cul !!!
#13
Posté 19 juin 2007 - 07:15
#14
Posté 19 juin 2007 - 07:25
A bas la guerre !
Vive les pets !
Bande de trous du cul !!!
Allez sors nous un beau poême que nous puissions reconnaître nos erreurs sur ta personne.Mais travailler dans le positif le sais-tu?
#15
Posté 19 juin 2007 - 07:39
La cyprine qui file
de mes doigts, liqueur où je m'enivre
goutte-lÃ
viens y verser ton sel
et battons la mesure
En direct pour toi, vieux con.
#16
Posté 19 juin 2007 - 07:52
Ta mesure est ma démesure,Vieux con, qu'est-ce qu'un beau poème pour toi ?
La cyprine qui file
de mes doigts, liqueur où je m'enivre
goutte-lÃ
viens y verser ton sel
et battons la mesure
En direct pour toi, vieux con.
Liqueur que je ne donne,
A mon Amour qui se mesure,
A sa grandeur d'Âme quand elle se donne.
Tu as beaucoup à apprendre.Tu m'envies donc je t'énerve.Fais gaffes je deviens sans t'en rendre compte ton égérie.
#17
Posté 19 juin 2007 - 08:53
Ta mesure est ma démesure,
Liqueur que je ne donne,
A mon Amour qui se mesure,
A sa grandeur d'Âme quand elle se donne.
Tu as beaucoup à apprendre.Tu m'envies donc je t'énerve.Fais gaffes je deviens sans t'en rendre (sans que tu ne t'en rendes) compte ton égérie.
Apprendre de ta merde ?
T'es vraiment trop boufon, vieux con.
Amour avec A, t'es trop con.
#18
Posté 20 juin 2007 - 03:20
La nature n'a pas été gentille avec toi ? On n'y est pour rien, nous !
#19
Posté 20 juin 2007 - 12:09
Apprendre de ta merde ?
T'es vraiment trop boufon, vieux con.
Amour avec A, t'es trop con.
Tu es pathétique,je vais finir par t'aimer.Mais pas comme tu crois faut pas prendre ta vessie pour une lanterne.A force de dire con....c'est au tient que tu pense....Il te gratouille tant que ça?Misére désirs inasouvis esprit sans répit.