Je ne peux que chier sur vos sales vies de chiens
Et chiennes qui n'arrêtaient pas d'aboyer de loin
Sur l'épouvantail que j'avais oublié en mon jardin,
Une nouvelle fois, pour empester vos grands riens.
Il obéit, certes, au vent lui caressant son absence,
Sans cesse quand il vous voit agités dans l'errance
Familière de vos similaires qui revenaient souvent
Au même lieu, nourrir leurs faims d'os très puants.
Rangé, aussi il reste sous .....les rais perçants du soleil
Irrésistible, mais vous n'avez jamais tiré ce pareil
Déraisonnement des animaux de l'autre race
Kleptomane lors de son passage devant sa carcasse.
Haïssez « les chiens de sa chienne » avec rigueur !
Eternisez la haine sur vos lèvres avec plus d'honneur !
Notre existence est menacée de partout par ces bêtes
Affamées et je ne fais que répéter ça sans faire la tête.
Tout individu s'échappant de la raison, nu, s'égare
Malheureusement sur le long chemin où les ignares
Ouvertement exposent leurs derrières et ça rend
Ivre mon badaud qui n'aimait pas les vils et les cons.
farid khenat.