
Guerre et poésie
#1
Posté 18 janvier 2009 - 12:05
Concentré sur chaque geste, je le taillais en pieu
Décalé par moment, pièce par pièce j'aiguisais
Dans mes rêves trop souvent, l'arme de mes pensées
Caché derrière les feuilles, mon coeur tapait aux tempes
Frustré par trop d'orgueil, Je n'avais pas la trempe
D'un bosquet elle jaillit, Je devais la saisir
L'ennemi n'est jamais loin, je ne pouvais faillir
Trop las de cet état, j'attrapai l'Idée
Puis m'appliquais à joindre, mes pensées au papier
Accepter la tempête et provoquer la chance
Car c'est en écrivant, que le combat commence
Si les pleures nous creusent et la pluie ravine
Si la joie s'en va et que la nuit prime
Se faire la guerre ou déposer les armes
Dans l'encre des mots, se diluent nos larmes
#2
Posté 19 janvier 2009 - 01:48
Émoussé de tourments, blessé par des adieux
Concentré sur chaque geste, je le taillais en pieu
Décalé par moment, pièce par pièce j'aiguisais
Dans mes rêves trop souvent, l'arme de mes pensées
Caché derrière les feuilles, mon coeur tapait aux tempes
Frustré par trop d'orgueil, Je n'avais pas la trempe
D'un bosquet elle jaillit, Je devais la saisir
L'ennemi n'est jamais loin, je ne pouvais faillir
Trop las de cet état, j'attrapai l'Idée
Puis m'appliquais à joindre, mes pensées au papier
Accepter la tempête et provoquer la chance
Car c'est en écrivant, que le combat commence
Si les pleures nous creusent et la pluie ravine
Si la joie s'en va et que la nuit prime
Se faire la guerre ou déposer les armes
Dans l'encre des mots, se diluent nos larmes
J'aime trop ce vers..(celui que jai mit en gras...)
J'adore ton poème et surtout jaime bien comment tu dit les choses...
Larmes d'or
-xXXx-
#3
Posté 19 janvier 2009 - 05:36
Émoussé de tourments, blessé par des adieux
Concentré sur chaque geste, je le taillais en pieu
Décalé par moment, pièce par pièce j'aiguisais
Dans mes rêves trop souvent, l'arme de mes pensées
Caché derrière les feuilles, mon coeur tapait aux tempes
Frustré par trop d'orgueil, Je n'avais pas la trempe
D'un bosquet elle jaillit, Je devais la saisir
L'ennemi n'est jamais loin, je ne pouvais faillir
Trop las de cet état, j'attrapai l'Idée
Puis m'appliquais à joindre, mes pensées au papier
Accepter la tempête et provoquer la chance
Car c'est en écrivant, que le combat commence
Si les pleures nous creusent et la pluie ravine
Si la joie s'en va et que la nuit prime
Se faire la guerre ou déposer les armes
Dans l'encre des mots, se diluent nos larmes
TRES EMOUVANT,BRAVO