Les chemins ne coulent plus de source
A leurs pieds
Mais le soleil
Glisse ses longues mains douces
Dans leur sérail
Les jardins se répandent
A perte de mémoire
L'amour porte ses fruits
Deux enfants s'éloignent des corps
La voix morose de l'ennui
N'est déjà plus qu'un écho de pluie
Il ne pleut jamais longtemps
Sur leurs visages
elle aime ses mains
Qui cultivent l'enfance
Le verbe et l'océan

Les dicours de l'aube II
Débuté par Manola E., mars 08 2007 03:04
3 réponses à ce sujet
#1
Posté 08 mars 2007 - 03:04
#2
Posté 12 mars 2007 - 01:41
Je n'ai pas lu Les discours de l'aube I. Mais celui-ci se suffit. Tout comme Tyi, une petite préférence pour la dernière strophe.
#3
Posté 16 mars 2007 - 06:59
feu sur moi !
#4
Posté 16 mars 2007 - 07:46
J’aurais pas mis les voiles, il m’aurait tué.