Les atrabilaires du vieux camp
Ont campé hier sous leurs nez
De peur de s’exposer aux vents
Qui leur ébouriffaient leurs grés.
Les poux, sur les pattes du loup…
Creusaient sans cesse de profonds
Sillons pour oublier le long cou…
Qu’ils ont abandonné, il y a longtemps.
Vous en avez déjà vu des hommes
Qui, dessous les froissées feuilles
Des choux verts, cachaient leurs formes
Tels des gastéropodes, sans fermer l’œil ?
Vous en avez déjà vu des biches
Grandir où les lions chassaient
Mêmes vieux, les singes que les riches
Se payaient pour les faire danser ?
Oui ! Vous avez bien vu…, mais
Des gommes qui, sous les douces pluies…
Cherchaient à effacer sur mes pages, à jamais
Ce que ces hommes faisaient la nuit.
Oui ! Vous avez vu..., mais… ces riches qui dansaient
Aux côtés des biches qu’ils ne se payaient que pour
Effacer la nuit qui revenait exhumer leurs passés
Des tombes que celait le jour.
Je ne sais pas si vous êtes des êtres humains ou des idiots ;
Et je ne vois pas en vous ce qu’ont les hommes
Et par derrière ces constats je baisse les rideaux
De la nuit pour qu’elle revienne recouvrir ses sommes.
moi farid khenat.
" je suis très dur mais aussi très humain "
ne tentez pas de faire glisser vos grains de café entre l'orge et le blé.
" je n'ai plus de respects pour les noirs. ils ont détruit de leurs propres mains les pilastres de ma magnanimité "
erreur ! je n'écris pas avec les pompiers et les policiers, et je ne dépends de personne. désolé !
ça spécule sur la radio soumame, mais je ne fais pas très attention aux enfants.
moi farid khenat et non rabah akli et complices.

moi farid khenat, je réhabilite la nuit par compassion.
Débuté par
Invité_khenatermite_*
, juin 23 2007 03:46
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