L’acrobate lunaire est fatigué
  Lui et son romantisme à deux balles,
  Sa poésie qui vaut que dalle
  Misère de misère je ne suis rien.
  Réfugié derrière mes mots
  Bien au chaud
  Sachant bien que cela ne sert à rien de se cacher toujours,
  Ou peut-être simplement à regarder passer le temps,
  Et attendre son tour.
  Mélancolie immanente qui peu à peu s’échappe,
  Comme une envie de crever ce soir
  Oh oui pour que tout ça finisse
  Car la tristesse n’a de cesse
  De me taquiner
  Stridence subliminale
  Chagrin récurrent qui voile mes propres fins.
					
					
					
				
				
				
				
	
Stridence Subliminale
		 Débuté par Therendel, mars 08 2007 04:16 
	
	
	
	
		3 réponses à ce sujet
	
	
			
				
					
						
					
					#1
					
					
				
				
				
					
				
			
				
			
			
			Posté 08 mars 2007 - 04:16
			
				
					
						
					
					#2
					
					
				
				
				
					
				
			
				
			
			
			Posté 16 mars 2007 - 07:43
					Or, n'est-ce pas joyeux de voir, au mois de juin Dans les granges entrer des voitures de foin Énormes ? De sentir l'odeur de ce qui pousse, Des vergers quand il pleut un peu, de l'herbe rousse ? De voir des blés, des blés, des épis pleins de grain, De penser que cela prépare bien du pain ?.
					
					
					
				
				
				
				
			
				
					
						
					
					#3
					
					
				
				
				
					
				
			
				
			
			
			Posté 16 mars 2007 - 07:44
					Tu me fouettes, donc tu laisses ta marque… Mais, tenez, on arrive !
					
					
					
				
				
				
				
			
				
					
						
					
					#4
					
					
				
				
				
					
				
			
				
			
			
			Posté 17 mars 2007 - 12:55
					- Mon coeur, c'est sûr, ils sont des frères : Noirs inconnus, si nous allions !
					
					
					
				
				
				
				




				
				
				