La clepsydre de mon coeur se tarit
Et le temps suspendu
En bouquets de rêves éparpillés
Caresse de sa chevelure
La mémoire diaphane
Des entrelacs de nos mains,
Faufilant entre les secondes qui s'égarent
L'espérance des retrouvailles
Dans la danse intime
D'un vitrail immobile et parfait.