2 réponses à ce sujet

[aliéné]

une veritable cure poétique
de rimes fantastiques
j'ai trouvé ici et j'aime
ce tres joli poème

Le Méloman

va dormir petit ouvert !
je vois que tu n'es pas aussi doué pour faire des remarques.
moi farid khenat l'auteur de ventkhenat et de beaucoup d'autres titres sous d'autres pseudo...

[aliéné]

T’en offrir des fleurs,
Des joies et des lueurs
J’aimerais chaque jour,
Pour ........embellir l’amour,
Mais cet amour gueux
En moi, n’était que feu.

T’emporter où les anges
Rallongeaient les songes
Des amoureux plus sages
Qu’eux, sur leurs pages
Rosâtres, j’aimerais bien
Mais tu n’étais pas des miens.

J’ai brisé, il y a longtemps,
L’unique pot du printemps,
D’une main chatouillante
En allant l’embellir de liantes
Fleurs, comme un horticulteur,
De peur de les revoir ailleurs
Flétrir avec leurs fragrances,
Quand l’été acère les ronces.

J’ai vilipendé l’amour et l’âme
Qui, le laissait sur ses flammes
Jour et nuit pour fuir la fumée
Que mon ire rougeâtre fumait
Souvent, quand toutes les brumes
Qu’elles faisaient, s’écument
Autour des vues que je jetais nues,
Au cœur des braises émues ;
Mais je n’ai pas pu surprendre
Ma fuite qui voulait reprendre
Le chemin de l’errance lyrique
D’une enjambée didactique.


moi farid khenat et non massi.
erreur ! ni med ni mehdi ici j'en suis désolé !
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Egarement VI
Lundi 14 février 2011 19h17
De:
Cet expéditeur a été certifié DomainKeys.
"khenat farid" <khenatfarid@yahoo.fr>
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À:
khenatfarid@yahoo.fr
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Amenez-vous madame, revoir où se mordent
Regards, images, lueurs et félicité
Quand la nuit ingurgite en la cécité
Les belles étoiles, peignant en mer leur rondes.

Amenez-vous madame, jouir en la félicité !
Manoirs ornés et gynécées où se mordent
Les belles images qui attendaient les rondes...
J'hisserai quand luira l'or dans la cécité.

Regards, images et lueurs qui se mordent
Loin des .....scintillations et félicité
brilleront et sortiront de la cécité
Laissant les étoiles mener en mer leurs rondes.

Amenez-vous madame jouir en la félicité !
L'oeil gavant, entre les feux qui se mordent,
L'horizon, d'images, vide tard ses rondes,
Et geint l'âge, sa nova et sa cécité.

farid khenat.
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les fleurs enjouées.
Vendredi 4 février 2011 19h41
De:
"farid khenat" <farid_khenat@yahoo.fr>
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À:
farid_khenat@yahoo.fr
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Les fleurs enjouées
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De toutes les fleurs enjouées
Chaque matin qui revenait
Tel un enfant pur, s'étonnait !

Voici maintenant où, quelques tons murissaient
Tel l'heur qu'oubliait l'hiver loin de son haut toit.
Voici maintenant où heur et douceur parfois
Rassérénaient le ........jour que l'hiver oppressait.

Les lumières dûment en mer
Se titillaient toutes sans revers.

Leur ton émaillait l'eau, de rais
Céruléens quand à l'attrait
Se joignait le soleil orné.

Voici maintenant où, quelques tons murissaient
Tel l'heur qu'oubliait l'hiver loin de son haut toit.
Voici maintenant où heur et douceur parfois
Rassérénaient le jour que l'hiver oppressait.

Il ne voulait que, ivre en l'air
Rester tel un roi se plaire.

Elle ne voulait que boire l'inné
Suc de la vie, la peur dorée
De l'âme me rendant outré.

Voici maintenant où les fleurs se reposaient
Quand les cieux dûment se noircissaient sous leur toit.
Voici maintenant dans la noirceur quelques proies
Qui ne pourraient s'ouvrir loin du roi oppressait.

Et pourtant toutes enjouées
Chaque matin qui revenait
Tel un enfant pur, s'étonnait.


farid khenat.

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Egarement VI
Lundi 14 février 2011 19h17
De:
"khenat farid" <khenatfarid@yahoo.fr>
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À:
khenatfarid@yahoo.fr
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Amenez-vous madame, revoir où se mordent
Regards, images, lueurs et félicité
Quand la nuit ingurgite en la cécité
Les belles étoiles, peignant en mer leur rondes.

Amenez-vous madame, jouir en la félicité !
Manoirs ornés et gynécées où se mordent
Les belles images qui attendaient les rondes...
J'hisserai quand .....luira l'or dans la cécité.

Regards, images et lueurs qui se mordent
Loin des scintillations et félicité
brilleront et sortiront de la cécité
Laissant les étoiles mener en mer leurs rondes.

Amenez-vous madame jouir en la félicité !
L'oeil gavant, entre les feux qui se mordent,
L'horizon, d'images, vide tard ses rondes,
Et geint l'âge, sa nova et sa cécité.