Sous les draps de coton mais à l'aine fertile
Le repli de la veine qui nourrit le filon,
De sa paume calleuse le tranchant du pilon
A frappé au bon coin de la haine tactile...

Le mépris dans les yeux, l'ordinaire abandon...
Débuté par lio..., mars 08 2007 06:54
3 réponses à ce sujet
#1
Posté 08 mars 2007 - 06:54
#2
Posté 16 mars 2007 - 08:03
J’ai connu des savants, des hommes de lettres, des poètes, des hommes politiques qui acquéraient ou qui avaient acquis dans cette science leurs satisfactions et leurs buts les plus hauts, et qui, même, ne devaient leur carrière qu’à elle seule.
#3
Posté 17 mars 2007 - 12:54
J'ai rêvé la nuit verte aux neiges éblouies, Baiser montant aux yeux des mers avec lenteurs, La circulation des sèves inouïes, Et l'éveil jaune et bleu des phosphores chanteurs !
#4
Posté 17 mars 2007 - 12:57
Sur son char d'or brodé de noirs raisins, Lysios, promené dans les champs Phrygiens Par les tigres lascifs et les panthères rousses, Le long des fleuves bleus rougit les sombres mousses.