Les derniers moments d'un condamné à mort
La troublante agonie d'une victime sanguinaire
Il est assit dans cette cellule depuis l'aurore
Et fixe l'œil humide le sol délétère
Des pas lourd et rythmé se rapprochent
Résonant sur les murs de cet étroit couloir
Il sent bien que sa fin est proche
Tels une bête envoyée à l'abattoir
Mais c'est là , si près de son trépas
Que l'homme affaibli prend conscience de sa vie
Sa vision est tachée de sang
La peur le transporte dans un roman
Où chaque page est marquée de ses méfaits
Sa destinée est désormais arrêter
Il entre dans la pièce qui sera son dernier souvenir
Ferme les yeux pour ne plus jamais les ré ouvrir...
Sa peine
Débuté par Tsaro, févr. 21 2009 06:03
4 réponses à ce sujet
#2
Mlle.Teste
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Tlpsien ++
Posté 21 février 2009 - 06:10
Salut,
Tu as lu : "Le dernier jour d'un condamné"?
En général, je ne suis pas très Hugo, mais ce livre là , qui nous montre un auteur construisant une architecture syntaxique moins lourde qu'à son habitude, est aussi un bijou d'humanisme. A ne pas rater pour qui apprécie l'ironie et le cynisme (cf : les dix dernières pages)
La fin est ...comme ton poème
efficace
Mlle.Teste
Tu as lu : "Le dernier jour d'un condamné"?
En général, je ne suis pas très Hugo, mais ce livre là , qui nous montre un auteur construisant une architecture syntaxique moins lourde qu'à son habitude, est aussi un bijou d'humanisme. A ne pas rater pour qui apprécie l'ironie et le cynisme (cf : les dix dernières pages)
La fin est ...comme ton poème
efficace
Mlle.Teste
#3
aliéné
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Tlpsien +++
Posté 21 février 2009 - 08:32
Le condamné qui a tué son gardien de prison ?Les derniers moments d'un condamné à mort
La troublante agonie d'une victime sanguinaire
Il est assit dans cette cellule depuis l'aurore
Et fixe l'œil humide le sol délétère
Des pas lourd et rythmé se rapprochent
Résonant sur les murs de cet étroit couloir
Il sent bien que sa fin est proche
Tels une bête envoyée à l'abattoir
Mais c'est là , si près de son trépas
Que l'homme affaibli prend conscience de sa vie
Sa vision est tachée de sang
La peur le transporte dans un roman
Où chaque page est marquée de ses méfaits
Sa destinée est désormais arrêter
Il entre dans la pièce qui sera son dernier souvenir
Ferme les yeux pour ne plus jamais les ré ouvrir...
je veux bien en rire !
Sincèrement moi farid khenat.
#4
cassiopée
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Tlpsien ++
Posté 21 février 2009 - 09:54
Le pire ce n' est pas de savoir qu' on va mourir mais c' est bien de savoir quand.
Et de décompter les jours les heures les minutes.
Et quand c' est la loi qui a décidé l' heure il n' y a plus guère d' espoir.
Et de décompter les jours les heures les minutes.
Et quand c' est la loi qui a décidé l' heure il n' y a plus guère d' espoir.
#5
Aksel
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Tlpsien +++
Posté 21 février 2009 - 10:04
Un sujet peu banal en poésie; sobre et froid, comme un jour d'exécution.
