
La mort de la patience .
#1
Posté 24 février 2009 - 08:40
Son cœur était de fleur avec des bleuets bleus
Et bleus étaient ses yeux avec des reflets d’or,
Des halos de bonheur réchauffant comme un feu
Qui embrasaient mes mains à la vue de son corps.
Brûlait un désir fou, en myriade d’étoiles
A l’ombre de mon âme, tapi dans son silence
Et pour ne pas qu’un jour s’arrondisse sa voile
Mon amour a choisi la mort de la patience.
Jamais de mes envies, le plus petit soupir,
Jamais de ses besoins le moindre sémaphore,
A coucher des regrets au lit des souvenirs !
Et le temps assassin n’a jamais de ses seins,
A la joie de mes mains confronté ses encore,
Me laissant là défait à attendre en vain.
Me faisant oublier jusqu’à mon ignorance !
Moietmoi février 2009
#2
Posté 24 février 2009 - 09:06
La mort de la patience ?La mort de la patience.
Son cœur était de fleur avec des bleuets bleus
Et bleus étaient ses yeux avec des reflets d'or,
Des halos de bonheur réchauffant comme un feu
Qui embrasaient mes mains à la vue de son corps.
Brûlait un désir fou, en myriade d'étoiles
A l'ombre de mon âme, tapi dans son silence
Et pour ne pas qu'un jour s'arrondisse sa voile
Mon amour a choisi la mort de la patience.
Jamais de mes envies, le plus petit soupir,
Jamais de ses besoins le moindre sémaphore,
A coucher des regrets au lit des souvenirs !
Et le temps assassin n'a jamais de ses seins,
A la joie de mes mains confronté ses encore,
Me laissant là défait à attendre en vain.
Me faisant oublier jusqu'Ã mon ignorance !
Moietmoi février 2009
Où ça ?
J'ai raté ce titre.
Il faut l'oublier ce temps voleur et assassin.
Sincèrement moi farid khenat.
#3
Posté 24 février 2009 - 10:03
La mort de la patience.
Son cœur était de fleur avec des bleuets bleus
Et bleus étaient ses yeux avec des reflets d'or,
Des halos de bonheur réchauffant comme un feu
Qui embrasaient mes mains à la vue de son corps.
Brûlait un désir fou, en myriade d'étoiles
A l'ombre de mon âme, tapi dans son silence
Et pour ne pas qu'un jour s'arrondisse sa voile
Mon amour a choisi la mort de la patience.
Jamais de mes envies, le plus petit soupir,
Jamais de ses besoins le moindre sémaphore,
A coucher des regrets au lit des souvenirs !
Et le temps assassin n'a jamais de ses seins,
A la joie de mes mains confronté ses encore,
Me laissant là défait à attendre en vain.
Me faisant oublier jusqu'Ã mon ignorance !
Moietmoi février 2009
j'ai aimé ma lecture moietmoi
merci
bien à toi
Amitiés
Théo
#4
Posté 24 février 2009 - 01:51
Belle poésie...
Merci de ce partage apprécié..
EStelle
#5
Posté 25 février 2009 - 07:57
Bonnour Moietmoi..
Belle poésie...
Merci de ce partage apprécié..
EStelle
Merci à vous tous d'être passés me lire , j'y suis sensible !
#6
Posté 25 février 2009 - 01:23
Amitiés
Hauteur