Le silence
pèse sur la nuit immobile
Aucune ombre ne la traverse
Il fait froid
Dans la maison trop grande
Je traîne des images des rires
me blessant
aux angles du vide
La lumière
retombe dans la poussière
qui s'accumule
Les fenêtres sont devenues des murs
Un goût d'éternité
m'assèche la bouche
Et j'ai toutes les peines du monde
à ne pas te chercher
pour boire à tes yeux
Depuis ton absence.

Depuis....
Débuté par bergel, mars 01 2009 05:17
5 réponses à ce sujet
#1
Posté 01 mars 2009 - 05:17
#2
Posté 01 mars 2009 - 07:08
Une grande émotion
"Les fenêtres sont devenues des murs"
Un très beau vers !
Amitiès
"Les fenêtres sont devenues des murs"
Un très beau vers !
Amitiès
#3
Posté 02 mars 2009 - 05:26
Oui, une grande impression de solitude, d'une nuit déserte.
#4
Posté 02 mars 2009 - 06:22
tu doi demenagee ver leauLe silence
pèse sur la nuit immobile
Aucune ombre ne la traverse
Il fait froid
Dans la maison trop grande
Je traîne des images des rires
me blessant
à chaque angle du vide
La lumière
retombe dans la poussière
qui s'accumule
Les fenêtres sont devenues des murs
Un goût d'éternité
m'assèche la bouche
Et j'ai toutes les peines du monde
à ne pas te chercher
pour boire à tes yeux
Depuis ton absence.
come mon batau mouche a lechele peroqet il rete rare
#5
Posté 02 mars 2009 - 12:06
Touchée, très...
#6
Posté 14 mars 2009 - 08:19
Une absence imprèvue m'a empêché de vous remercier de vos lectures et commentaires plus rapidement.
Trés amicalement
bergel
Trés amicalement
bergel