J'ai quelques fois, lorsque l'automne arrive,
Qu'il berçe et veille l'allée endormie,
Quand nuit et jour composent l'alchimie
D'un clair soleil courant à la dérive,
Un désir de courrir sous la lueur
Blafarde des étoiles, de toucher
La voûte célèste et d'y reposer
Mon corps taraudé, éternel rêveur,
Aux notes d'une douce symphonie
Faite de pluie, d'éclairs et de vigueur,
Et tout là -haut d'y exposer mon coeur
Criard pour une éternelle insomnie...
28.01.08

Ma bohême ou mes rêveries
Débuté par Fourest, mars 02 2009 05:26
2 réponses à ce sujet
#1
Posté 02 mars 2009 - 05:26
#2
Posté 02 mars 2009 - 05:35
Une jolie réminiscence de Rimbaud... ... J'aime cette échappée belle
#3
Posté 02 mars 2009 - 06:06
J'ai quelques fois, lorsque l'automne arrive,
Qu'il berçe et veille l'allée endormie,
Quand nuit et jour composent l'alchimie
D'un clair soleil courant à la dérive,
Un désir de courrir sous la lueur
Blafarde des étoiles, de toucher
La voûte célèste et d'y reposer
Mon corps taraudé, éternel rêveur,
Aux notes d'une douce symphonie
Faite de pluie, d'éclairs et de vigueur,
Et tout là -haut d'y exposer mon coeur
Criard pour une éternelle insomnie...
28.01.08
J'ai quelques fois, lorsque l'automne arrive,
Qu'il berçe et veille l'allée endormie, --------------------------------- qu'il berce : la cédille du « c »
Quand nuit et jour composent l'alchimie
D'un clair soleil courant à la dérive,
Un désir de courrir sous la lueur--------------------------------------- courir un seul « r »
Blafarde des étoiles, de toucher
La voûte célèste et d'y reposer--------------------------------------------- céleste le « e » est devant deux consonnes qui le privent de son accent.
Mon corps taraudé, éternel rêveur,
Aux notes d'une douce symphonie
Faite de pluie, d'éclairs et de vigueur,
Et tout là -haut d'y exposer mon coeur
Criard pour une éternelle insomnie.
Sincèrement moi farid khenat