Beauté fatale
Dont se baignent les lumières
Ton œil de tronc, brunette digitale
Bouclée, parsemée des joies dernières
Comme ton âme pourtant est rude
Pareille à un sourire, pareille à un hiver
Que de douceur où ton cœur s’élude
Que de méprise sous les regards austères
Joues pâles, presque câlines
Sous les petits ombrages des douleurs
Qui si facilement chagrinent
Ton esprit d’enfant, ton tendre cœur
Et moi, qui si souvent s’assombri
Devant ton cri, devant ton ire
Je t’aime, sans condition, malgré les nuits
Qui abîment nos doux rires.

Beauté méprisable
Débuté par Amalgame, mars 03 2009 12:34
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