Eruptives
Laves assoupies de l’absence
La poitrine se libère
Espère encore à chaque reflux
Expire ses haillons de soupirs
A leurs présences, stridents silences
L’azur est creusé de rides
Terne est l’horizon de partances
Le vaisseau solitaire épouse la nuit
Au chant de l’étoile apatride
L’infini de l’errance
Floues sont les distances
Entre néant et non dit
Pour seule déchéance
Et pour seule thérapie
La neige apaise la brûlure
Même le courage faiblit
Se drape du pourpre
La mort se fait lointaine
Quand elle se tient à la porte

Désirs pourpres
Débuté par Aksel, mars 22 2009 09:44
2 réponses à ce sujet
#1
Posté 22 mars 2009 - 09:44
#2
Posté 23 mars 2009 - 12:47
Azul`Aksil`Eruptives
Laves assoupies de l’absence
La poitrine se libère
Espère encore à chaque reflux
Expire ses haillons de soupirs
A leurs présences, stridents silences
L’azur est creusé de rides
Terne est l’horizon de partances
Le vaisseau solitaire épouse la nuit
Au chant de l’étoile apatride
L’infini de l’errance
Floues sont les distances
Entre néant et non dit
Pour seule déchéance
Et pour seule thérapie
La neige apaise la brûlure
Même le courage faiblit
Se drape du pourpre
La mort se fait lointaine
Quand elle se tient à la porte
Une porte pourpre lointaine!
Brule a distance le marin solitaire!
Dans les soupirs du silence.
L'errance, epouse la nuit,
Therapie de l'ame a minuit...
Tres joli
Azul BTT.
#3
Posté 24 mars 2009 - 11:03
On ressent beaucoup de choses en se laissant entraîner dans cette lave qui parcourt à toute vitesse ton poème. Bravo