34 réponses à ce sujet

[Emrys]

[right]Image IN

[Théo]

j'aime assez ce jeu de cache cache...

qui est-on aux yeux des autres
à nos propres yeux..

qui se cache derrière ce masque moi ? un autre que je ne connais pas forcément
ou peut être moi, cet autre que je suis et ne connais pas vraiment...

sauf que malgré moi, un autre passe parfois sa tête
pour voir et sans rien voir
devine qui vous êtes..

simplement par ces mots
laissés là en regard d'une fenêtre..
sur "l'écran blanc du silence"...

Amitiés Emrys

Théo

[Emrys]

j'aime assez ce jeu de cache cache...

qui est-on aux yeux des autres
à nos propres yeux..

qui se cache derrière ce masque moi ? un autre que je ne connais pas forcément
ou peut être moi, cet autre que je suis et ne connais pas vraiment...

sauf que malgré moi, un autre passe parfois sa tête
pour voir et sans rien voir
devine qui vous êtes..

simplement par ces mots
laissés là en regard d'une fenêtre..
sur "l'écran blanc du silence"...

Amitiés Emrys

Théo

Ah chère Théo

J'ai ce texte dont je cherche depuis longtemps l'auteur sans succès (si longtemps que je le connais maintenant par cœur)

"J'ai la passion des visages: je resterais des heures dans un musée devant un portrait ancien sans même regarder le nom sur l'étiquette, sans me soucier du peintre, génie ou barbouilleur. Parmi ces visages qui m'obséderont jusqu'à la mort, le paysan si bon, si digne, si grave qui coupe du pain sur une toile de Le Nain. Du jour où je l'ai vu, il ne m'a plus quitté. Au fond c'est pour lui que j'écris, pour ce paysan inconnu qui vivait sous Louis XIV essayant d'être assez clair pour qu'il me lise, assez sérieux pour qu'il me prenne au sérieux.
Parfois devant ces visages inlassablement contemplés, un vertige me saisit: mon meilleur ami n'a-t-il vécu loin de moi dans le temps, un siècle ou deux trop tôt pour que je le rencontre ? de quel droit n'a-t-on fait cette énorme plaisanterie ? Pourquoi l'être qui m'eût été si fraternel porte-t-il cette grotesque redingote louisphilipparde, cette jeune fille dont la beauté me hante une crinoline d'arrière grand-mère ?
Mais dans ce temps et cet espace même si dérisoirement étriqués où le sort m'a logé comme dans une auberge de fortune, que de paroles tues, de gestes inachevés !
L'autre passe, le temps de vous crier: "Regarde, je te ressemble !" Vous avancez la main il est déjà parti. Tous ces regards qu'on n'a pas rendus, ces mains qu'on n'a pas osé prendre...
On aurait mille vies on n'y suffirait pas..
Celui que vous voulez convaincre et que vous ne convaincrez plus, celui qui se croit votre ennemi, celui qui se trompe vous imagine meilleur ou pire.
Je crois que le premier homme qui inventa l'immortalité avait tout simplement besoin de dire; "Je t'aime" à quelqu'un qui n'était plus."

Amitiés

[Théo]

je suis une vieille âme Emrys..
à ce titre là j'ai un peu d'avance sur vous
donnez moi un peu de temps
je vous dirais de qui est-ce.....

merci de m'avoir mis le texte complet..il fallait
il est superbe..très émouvant..si plein d'une infinie vérité
si exquisement fin ...je suis heureuse de m 'endormir la main sur ce texte..

[Emrys]

je suis une vieille âme Emrys..
à ce titre là j'ai un peu d'avance sur vous
donnez moi un peu de temps
je vous dirais de qui est-ce.....

Prenons le temps Théo

Il est saisissable quand on tend la main à un[e] âmi[e]

Bonne soirée à vous

Emrys

[Mamadou Gueye]

Je suis peut-etre toi
Tu es moi c'est sur
nous sommes tout ce que nous redoutons d'etre
des etres pleins de questions avec peu de réponses, pas de réponses du tout
des anges sans ailes, des néants gorgés de certitudes

[Théo]

Je suis peut-etre toi
Tu es moi c'est sur
nous sommes tout ce que nous redoutons d'etre
des etres pleins de questions avec peu de réponses, pas de réponses du tout
des anges sans ailes, des néants gorgés de certitudes

amitiés d'un ange Mamadou...
vrai!

quant à Emrys c'est mon ombre..
chutt il ne faut pas le réveiller...il dort..en boule...
il attend...quelquechose..qui brille


Th.

[Théo]

Emerys je suis sur une piste pour le texte ( années 80)
il serait intéressait de vous souvenir ou est-ce
que vous l'avez lu pour la première fois.;

en espérant que vous ayez récupéré vos bagages laissés à Vaacum city

amités à vous

Théo

[Emrys]

Emrys je suis sur une piste pour le texte ( années 80)
il serait intéressant de vous souvenir ou est-ce
que vous l'avez lu pour la première fois.

en espérant que vous ayez récupéré vos bagages laissés à Vaacum city

amitiés à vous

Théo

chère Théo
je n'ai jamais ni laissé ni perdu ce bagage
j'ai lu ce texte pour la première fois en 1967...
je crois qu'il s'agit d'un extrait de la correspondance d'un écrivain dont je n'ai jamais su le nom (sinon je ne l'aurais pas oublié)

amitiés

[Emrys]

"que ferais-je sans ce monde sans visage
sans questions
où être ne dure qu'un instant où chaque instant
verse dans le vide dans l'oubli d'avoir été
sans cette onde où à la fin
corps et ombre ensemble s'engloutissent
que ferais-je sans ce silence
gouffre des murmures
haletant furieux vers le secours vers l'amour
sans ce ciel qui s'élève
sur la poussière de ses lests
que ferais-je
je ferais comme hier comme aujourd'hui
regardant par mon hublot si je ne suis pas seul
à errer et à virer loin de toute vie
dans un espace pantin
sans voix parmi les voix
enfermées avec moi."

S. Beckett

[Théo]

"que ferais-je sans ce monde sans visage
sans questions
où être ne dure qu'un instant où chaque instant
verse dans le vide dans l'oubli d'avoir été
sans cette onde où à la fin
corps et ombre ensemble s'engloutissent
que ferais-je sans ce silence
gouffre des murmures
haletant furieux vers le secours vers l'amour
sans ce ciel qui s'élève
sur la poussière de ses lests
que ferais-je
je ferais comme hier comme aujourd'hui
regardant par mon hublot si je ne suis pas seul
à errer et à virer loin de toute vie
dans un espace pantin
sans voix parmi les voix
enfermées avec moi."

S. Beckett

merci Emrys infiniment ..
pour ces mots déposés là sur la page..


Th.

[balila]

Qui sommes-nous vraiment, derrière le masque comme derrière l'écran... Quelle part de nous est offerte, quelle est celle que l'on cache, et pour quelle raison... Chacun gardera son mystère tant que la réalité et la connaissance de l'autre (et encore...) ne viendra pas mettre en lumière ce qui passe déjà par la fenêtre ou dans le regard...

Quel texte, Emys ! Je l'ai lu plusieurs fois, il me remue à chaque fois. Il y a comme un désir d'effacement, de renoncement, en même temps qu'un désir de se livrer... en pâture... aux loups ?

Et puis il y a ces trois vers qui me procurent une émotion toute particulière...

Je suis tout ce que vous voulez;
Sauf un homme, ce n'est pas assez
Sauf une femme, c'est à côté

On dirait que quelqu'un a éteint la lumière...
On dirait qu'une partie de vie s'est échappée, ou n'a jamais pris corps...

Je joins une image à la vôtre, parce que la photo illustrant votre texte m'a fait penser à ce tableau que j'aime beaucoup :


 magritte_2.jpg   48,78 Ko   36 téléchargement(s)

balila

J'ai bégayé... Et je ne parviens pas à enlever celle en trop...

Fichier(s) joint(s)

•  magritte_2.jpg   48,78 Ko   36 téléchargement(s)

[Théo]

quel bonheur Balila
de te voir entrer dans ce halo d'échanges
où nous errons avec tant de délices...ombres mystérieuses et impalpables...

Bon Dimanche..à toi ..à Emrys aussi
et merci



Théo

[Emrys]

Qui sommes-nous vraiment, derrière le masque comme derrière l'écran... Quelle part de nous est offerte, quelle est celle que l'on cache, et pour quelle raison... Chacun gardera son mystère tant que la réalité et la connaissance de l'autre (et encore...) ne viendra pas mettre en lumière ce qui passe déjà par la fenêtre ou dans le regard...

Quel texte, Emys ! Je l'ai lu plusieurs fois, il me remue à chaque fois. Il y a comme un désir d'effacement, de renoncement, en même temps qu'un désir de se livrer... en pâture... aux loups ?

Et puis il y a ces trois vers qui me procurent une émotion toute particulière...

Je suis tout ce que vous voulez;
Sauf un homme, ce n'est pas assez
Sauf une femme, c'est à côté

On dirait que quelqu'un a éteint la lumière...
On dirait qu'une partie de vie s'est échappée, ou n'a jamais pris corps...

Je joins une image à la vôtre, parce que la photo illustrant votre texte m'a fait penser à ce tableau que j'aime beaucoup :


 magritte_2.jpg   48,78 Ko   36 téléchargement(s)

balila

merci pour cette image tirée d'un tableau de Magritte je crois (mais je ne sais plus lequel)

chaque être est à la fois un mystère et un livre ouvert

il est bien vain de se cacher la face

Emrys

[balila]

merci pour cette image tirée d'un tableau de Magritte je crois (mais je ne sais plus lequel)

chaque être est à la fois un mystère et un livre ouvert

il est bien vain de se cacher la face

Emrys

Il s'agit bien de Magritte, "Les amants".

il est bien vain de se cacher la face

Ou de se voiler le coeur

[Emrys]

Il s'agit bien de Magritte, "Les amants".

il est bien vain de se cacher la face

Ou de se voiler le coeur

*sourire*

La toile n'est-elle pas un voile très répandu ?

[balila]

*sourire*

La toile n'est-elle pas un voile très répandu ?

J'aurais plutôt tendance à dire que la toile dévoile... Elle est offrande puisqu'elle propose à voir et recevoir, comme un fil conducteur entre l'auteur et l'observateur. Alors le fil serait ce voile qu'il faut soulever, avec attention.

Il est des toiles qui se tendent sous l'effet du vent qui s'y répand, il en est d'autres qui se tissent et vibrent à l'approche d'un corps étranger, d'autres encore qui se colorent d'un instant à jamais immortalisé,

Et puis, il est des voiles qui s'affalent, d'autres derrière lesquelles on (se) dissimule, d'autres encore qui nous habillent...

Dans les espaces qui exposent, l'un porte la toile, l'autre le voile...

(J'ai un peu digressé, là, non ? Et encore, je n'ai pas évoqué la toile à matelas !)



balila

[Emrys]

J'aurais plutôt tendance à dire que la toile dévoile... Elle est offrande puisqu'elle propose à voir et recevoir, comme un fil conducteur entre l'auteur et l'observateur. Alors le fil serait ce voile qu'il faut soulever, avec attention.

Il est des toiles qui se tendent sous l'effet du vent qui s'y répand, il en est d'autres qui se tissent et vibrent à l'approche d'un corps étranger, d'autres encore qui se colorent d'un instant à jamais immortalisé,

Et puis, il est des voiles qui s'affalent, d'autres derrière lesquelles on (se) dissimule, d'autres encore qui nous habillent...

Dans les espaces qui exposent, l'un porte la toile, l'autre le voile...

(J'ai un peu digressé, là, non ? Et encore, je n'ai pas évoqué la toile à matelas !)



balila

Ce sont là des propos justes et sages, balila

Si la toile suffit à voiler nos faces et nos corps, elle ne peux masquer nos âmes qui argonautes s'en servent comme les voiles d'un navire pour quitter le port de l'égo

Il arrive aussi que l'on reste à quai .. voile déchirée

Emrys

[Théo]

chuttt...je lis seulement...

Théo

[balila]

Ce sont là des propos justes et sages, balila

Si la toile suffit à voiler nos faces et nos corps, elle ne peux masquer nos âmes qui argonautes s'en servent comme les voiles d'un navire pour quitter le port de l'égo

Il arrive aussi que l'on reste à quai .. voile déchirée

Emrys

Et quand l'horizon est à quai, il suffit parfois de lever les yeux sur l'immense toile du ciel, pour un autre voyage... Entre les voiles, la poupe et la carène.

Alors la nuit se dévoile, en hissant les étoiles...

balila

[Théo]

Et quand l'horizon est à quai, il suffit parfois de lever les yeux sur l'immense toile du ciel, pour un autre voyage... Entre les voiles, la poupe et la carène.

Alors la nuit se dévoile, en hissant les étoiles...

balila

...Et les rêves vous emporteront alors
loin de la toile ....derrière le voile qui cache le monde en suspension..

C'est votre cœur qui vous dévoile bien que derrière la toile... se dissimulent votre nom..
Et c'est votre âme qui soulève le voile..une autre question..


Th.

[pierrejames]

Image IN



Me voilà revenu inconnu
De l' écran blanc du silence.
Pas question que je me dévoile, me mette à nu.
J'ai du cran, de l'influence.
Je décrète :
l'abolition des lois, des courants nets.
Je défile
en capitaine ridicule
de port en porte.
Roi affiché raffiné sur ma toile, je porte
l'étoile noire du mystère,
Bouffon de cire sous la canicule,
J'accule
Je pars en guerre.

Je n'ai pas de face,
Quand tout s'efface
Jamais je ne me lasse.

Je nage en requin dans un demi-monde
Parmi les aigrefins de l'iMonde.
Petit sobriquet d'alevin,

Je n'ai pas de face,
J'occupe ma place,
Dans la crasse.

Mon nom est personne,
Je m'étonne.
Je chemine en inconnu,
En hurluberlu
Sur une plage nue sans couronne.

Je n'ai pas de face,
Mais j'ai des lettres,
Des fenêtres
Ouvertes sur des peut-être,
Fermées sur l'être.

Je suis un chat, un rat, un âne, une fleur...
Ou tout ce qui a un cœur.
Je suis tout ce que vous voulez;
Sauf un homme, ce n'est pas assez
Sauf une femme, c'est à côté

Pas de visage
Pas de message
Je n'ai pas de face

Image OUT

Un texte puissant Emrys qui se lit d'un trait et qui nous fait nous remet dans notre condition de pion parmi les pions.

Amicalement

Pierre James

[Emrys]

Et quand l'horizon est à quai, il suffit parfois de lever les yeux sur l'immense toile du ciel, pour un autre voyage... Entre les voiles, la poupe et la carène.

Alors la nuit se dévoile, en hissant les étoiles...

balila

...Et les rêves vous emporteront alors
loin de la toile ....derrière le voile qui cache le monde en suspension..

C'est votre cœur qui vous dévoile bien que derrière la toile... se dissimulent votre nom..
Et c'est votre âme qui soulève le voile..une autre question..


Th.

Théo, balila , vos mots s'enchaînent se mêlent naturellement
vous écrivez ici d'une même plume ...

Avouez que la toile qui couvre les visages prive l'autre de voir les regards..

Moi j'adore les voir, ces regards, ces 'trous' ouverts sur l'âme

[balila]

Et quand l'horizon est à quai, il suffit parfois de lever les yeux sur l'immense toile du ciel, pour un autre voyage... Entre les voiles, la poupe et la carène.

Alors la nuit se dévoile, en hissant les étoiles...

balila

...Et les rêves vous emporteront alors
loin de la toile ....derrière le voile qui cache le monde en suspension..

C'est votre cœur qui vous dévoile bien que derrière la toile... se dissimulent votre nom..
Et c'est votre âme qui soulève le voile..une autre question..

Th.

Théo, balila , vos mots s'enchaînent se mêlent naturellement
vous écrivez ici d'une même plume ...

Avouez que la toile qui couvre les visages prive l'autre de voir les regards..

Moi j'adore les voir, ces regards, ces 'trous' ouverts sur l'âme

Juste un mot que je dessinerai au centre : "Imagine"... Et laissons la toile nous envelopper de ses mystères...

Grand merci à tous les deux, Théo et Emrys, pour ce partage.

balila

[Théo]

Juste un mot que je dessinerai au centre : "Imagine"... Et laissons la toile nous envelopper de ses mystères...

Grand merci à tous les deux, Théo et Emrys, pour ce partage.

balila




j'irai chercher vos regards au plus profonds des océans
là où le mystère se pose au milieu des eaux dormantes
peuplées de nymphes évanescentes
qui soupirent en grelotant de plaisir
en voyant la terre oubliée refleurir sous la tendresse et l'amitié.

Théo

[ange-d'un-jour]

J'admire se jolie poème qui abolie l'ésclavage d'une pensée prisonniére.Ton coeur a découvert a su rendre la pitoyable existence d'une ame tourmentée.proche d'une folie que la face étrange de la photo laisse deviner.
Félicitation,ange-d'un-jour.

[Emrys]

Un texte puissant Emrys qui se lit d'un trait et qui nous fait nous remet dans notre condition de pion parmi les pions.

Amicalement

Pierre James

Une partie d'échec, pierre james ?
Pions ? nous le sommes tous ici comme ailleurs
Tu sais comme moi l'importance de ces pièces en fin de partie... Un roi qui a perdu les regards bienveillants de sa reine n'a guère plus de possibilités que le simple pion

Amitiés sincères
Emrys

[Emrys]

J'admire ce joli poème qui abolit l'esclavage d'une pensée prisonnière.Ton cœur a découvert a su rendre la pitoyable existence d'une âme tourmentée.proche d'une folie que la face étrange de la photo laisse deviner.
Félicitation,ange-d'un-jour.

Merci ange-d'un-jour (sourire). Je m'aurais pas ce jugement sévère pour l'homme ou la femme qui n'a pas de face... Après tout c'est un peu leur problème. Se cacher, fuir le regard de l'autre, se tapir dans l'ombre, sous terre, derrière les ondes, les nombres, les lettres, pourquoi pas ...
Folie que tout cela ?
Folie surtout de croire que le masque des mots est opaque.
"Je n'ai pas de face
mais j'ai des lettres"
....
Personne ne peut tromper l'autre sans la faiblesse de son imagination qui superpose, surajoute, dessine les contours de visages-âmes (visagâmes ??) à l'aune de ses propres fantasmes. Serait-ce cela la pensée prisonnière ?
Serions-nous esclavages de nos fantasmes ?

Le pas de face serait donc une folie ?
Sagesse aussi ?
Je veux bien le croire. Après tout, nous avons tous un côté pile à cacher, lorsque nous regardons le ciel.

Pile ou face ?
On perd toujours à ce jeu quand la pièce est truquée

Aimer, nos sourires, nos larmes, nos visages, nos regards, est un bon commencement pour aimer l'autre et découvrir son côté 'face', alors qu'il n'a montré que le côté 'pile'.

[Emrys]

...au centre : "Imagine"...
Et laissons la toile nous envelopper de ses mystères...

balila

..et nous bercer d'illusions


sourire à toi balila