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l'unité 731


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41 réponses à ce sujet

#1 Vivien

Vivien

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Posté 29 mars 2009 - 02:54

Unité 731

La découverte d'un charnier enfoui sous les rues de Tokyo a forcé le gouvernement japonais à reconnaître que des expériences biologiques avaient été menées sur des êtres humains pendant la Seconde Guerre Mondiale. Pourquoi les puissances occidentales, au courant de ces atrocités, ont-elles cherché à dissimuler les faits ?



Tokyo, 1989. Les ouvriers du chantier de construction travaillant sur le nouveau et prestigieux quartier d’affaires de Shinjuku reculent d’effroi devant leur découverte. Une fosse pleine de restes humains vient d’être mise au jour par leurs excavatrices !

La nouvelle se propage tel un tsunami et force le gouvernement japonais à dévoiler l’un des plus terribles secrets de la Seconde Guerre mondiale. En pleine capitale, à quelques mètres du chantier de construction, se trouvaient les laboratoires où le lieutenant-général Shirô Ishii, père du programme japonais ultra-secret de guerre biologique, opérait durant la guerre : l’Unité 731.

Les autorités nippones durent expliquer comment les cobayes humains utilisés par l’Unité 731 étaient acheminés pour « études » d’une base japonaise de Mandchourie vers Tokyo. A la fin des hostilités, leurs cadavres furent dissimulés en toute hâte dans une fosse commune sommaire, et y restèrent jusqu’à leur exhumation en 1989. L’origine de ce charnier et les activités de l’Unité 731 auraient en fait pu rester mystérieuses sans la découverte, chez un bouquiniste, d’un livre de notes rédigé par l’un des militaires de cette unité.

Ce journal faisait une description détaillée des recherches mises en œuvre par l’Unité 731 et fournissait la preuve irréfutable que des êtres humains figuraient parmi les sujets utilisés par Shirô Ishii et son équipe. Pendant quarante ans, les macabres activités de ce programme d’expérimentations biologiques avaient constitué l’un des secrets les mieux gardés du Japon.

Les usines de la mort

Lorsque la guerre est déclarée, la personnalité flamboyante d’Ishii, jeune et brillant microbiologiste militaire, attire rapidement l’attention de ses supérieurs. S’alignant adroitement sur la ligne ultra-nationaliste en vogue au ministère de la Guerre japonais, Ishii use de son influence pour faire accepter son projet de mise au point d’armes biologiques. Lors de l’invasion de la Mandchourie par le Japon, en 1931, Ishii se rend compte de l’opportunité qui lui est offerte : des prisonniers vont pouvoir constituer son vivier d’études.

C’est donc dans la bourgade mandchoue de Beiyinhe, à 70 km de Harbin, qu’il débute ses expériences sur des sujets humains. Doté d’un important budget annuel et de 300 hommes, il accède à son premier commandement. Nom de code : Unité Togo. Connu localement sous le nom de « camp de prisonniers de Zhong Ma », les installations de l’Unité 731 sont construites par des prisonniers chinois. Au centre de l’ensemble, un grand bâtiment – le château Zhong Ma – abrite des prisonniers dont les quartiers jouxtent le laboratoire. Les cobayes humains choisis pour les expériences sont appelés des marutas, ce qui signifie « bûches ». Ils sont en tout plus de cinq cents, recrutés parmi les bandits, criminels et « personnes suspectes ». A la grande surprise des prisonniers, ils sont plutôt bien nourris et sont régulièrement autorisés à faire de l’exercice. Mais ils ne savent pas que ce traitement n’a rien d’humanitaire : pour obtenir de bons résultats, il convient que les spécimens soient en « bon état ».

L’horreur des expériences conduites dépasse l’entendement. Quand Ishii a par exemple besoin d’un cerveau humain pour ses travaux, il lui suffit d’envoyer ses gardes en chercher un. Ceux-ci vont alors choisir un prisonnier et l’immobiliser tandis qu’un des leurs ouvre le crâne du malheureux, à la hache ou à la scie. L’organe est alors ôté sans grande précaution puis transporté rapidement au laboratoire d’Ishii. Le cadavre du prisonnier part pour le four crématoire du camp…

Expériences macabres

Les premières expériences de guerre biologique menées par Ishii semblent avoir porté sur des maladies contagieuses telles que l’anthrax et la peste bubonique. Lors d’une de ces expériences, des pillards chinois reçurent une injection du bacille de la peste. Douze jours plus tard, les sujets contaminés se tordaient de douleurs et de fièvre. L’une des victimes allait miraculeusement survivre pendant dix-neuf jours : sa résistance lui valut d’être disséquée vivante.

Au cours d’expériences ultérieures, certains prisonniers seront empoisonnés au gaz phosgène, d’autres subiront des injections de cyanure de potassium. D’autres encore seront soumis à un courant électrique de 20 000 volts. De manière générale, les survivants sont, au mieux, l’objet d’injections létales ou, au pire, autopsiés vivants. Chaque mort fait l’objet d’une observation attentive, tous les détails sont méticuleusement notés dans un esprit scientifique.

En 1939, Ishii déménage l’Unité 731 dans d’immenses installations à Pingfan, toujours en Mandchourie. Son nouveau domaine égale en taille le camp de la mort nazi d’Auschwitz-Birkenau. Sur une superficie de 6 km² s’érigent des bâtiments administratifs, des laboratoires, des casernes, une prison pour les cobayes humains et un bâtiment consacré à l’autopsie et à la dissection. Trois énormes fours crématoires servent à l’élimination des carcasses. Dans un autre camp, à Moukden, se trouvent des prisonniers de guerre occidentaux : américains, britanniques, australiens et néo-zélandais. Là aussi, des expériences sont menées dans le plus grand secret. Faisant écho à certains travaux conduits par le tristement célèbre docteur nazi Josef Mengele, une importance particulière est accordée à des expériences portant sur la gelure des membres. En effet, au cours des hivers particulièrement froids en Mandchourie, les problèmes de gelure portent sérieusement préjudice à l’efficacité des armées. Des prisonniers nus sont donc soumis à des températures extrêmes. On tape ensuite sur leurs membres jusqu’à ce qu’un bruit creux se fasse entendre, signifiant que la gelure du membre est complète. Puis, les cobayes sont « décongelés » au moyen de diverses techniques expérimentales.

Loin d’éprouver la moindre culpabilité, Ishii produit régulièrement des articles scientifiques détaillant les résultats de ses ignobles travaux. Ses textes, diffusés parmi les milieux médicaux et scientifiques japonais, allèguent cependant que les expériences sont menées sur des singes. Cet artifice ne leurre personne : tout le monde sait qu’il s’agit d’êtres humains… et se tait. A la fin de la Seconde Guerre mondiale, Ishii, promu lieutenant-général, impose un serment solennel à tous ses subordonnés : cette activité menée pour la juste cause de l’Empire devra rester secrète. Les. installations de Pingfan et les autres sites d’essais sont détruits, et Ishii et ses hommes repartent tranquillement dans leurs foyers. Le public ne sera jamais informé des activités terrifiantes de l’Unité 731.

La vérité dissimulée

Lorsque la guerre du Pacifique touche enfin à son terme, les Etats-Unis pensent être nettement en retard sur les Japonais dans le domaine de la guerre biologique car, malgré les précautions prises par Ishii, les services de renseignements alliés disposent d’épais dossiers relatifs aux principaux chercheurs japonais en microbiologie. Il se trouve que les stratèges militaires américains apprécient énormément les avantages tactiques des armes biologiques. Ils veulent donc à tout prix mettre la main sur les connaissances techniques d’Ishii et les résultats de ses recherches, notamment les comptes rendus détaillés de ses expériences humaines. Aux Etats-Unis, du fait de la répulsion de tous vis-à-vis de semblables activités, de telles données suscitent d’autant plus d’intérêt qu’elles ont été acquises par autrui…

A la fin de la guerre, des scientifiques de Fort Detrick (Maryland), le laboratoire ultra-secret de guerre biologique des Etats-Unis, se rendent en toute hâte au Japon afin d’interviewer ces experts en la matière. Il semble que, face à l’opportunité d’obtenir d’alléchantes données scientifiques, pratiquement aucun des membres de cette mission ne se posera de problèmes d’éthique.

Le grand secret

L’analyse des faits sur le terrain sera signifiée par un télégramme des services de renseignement, informant froidement le ministère de la Guerre à Washington que « les informations obtenues permettent de conclure que le groupe japonais de guerre biologique dirigé par le lieutenant-général Ishii a effectivement enfreint les règles du code de la guerre ». Le texte ajoute: « Cette opinion ne constitue pas une recommandation pour que ce groupe soit inculpé et jugé en tant que tel. »

Cette étonnante mansuétude, à l’heure où le procès de Nuremberg se prépare, répond à une préoccupation d’ordre stratégique : pour mettre la main sur les travaux d’Ishii avant leurs « alliés » soviétiques, les Américains sont prêts à étouffer l’affaire. Mais il leur faut cependant surmonter un obstacle majeur : de retour au pays, certains prisonniers de guerre alliés colportent d’horribles récits sur des expériences biologiques dont ils ont été victimes ou témoins. Si d’aventure la presse vient à relayer ces informations, l’opinion publique criera vengeance. Il n’y a donc qu’une solution : jeter pudiquement le voile du secret sur toute l’histoire.

En conséquence, au tribunal des crimes de guerre qui va officier à Tokyo, les procureurs reçoivent pour instruction de ne pas poursuivre de façon trop approfondie leurs investigations en la matière. Face aux prisonniers de guerre alliés, l’administration américaine fait la sourde oreille. En 1948, on offre même, à tous les membres de l’unité dirigée par Ishii, l’immunité judiciaire en échange de rapports d’expériences et de leur coopération. L’une des plus grandes opérations de désinformation de la guerre est enclenchée. Après quatre décennies, grâce à la découverte du charnier humain en plein coeur de Tokyo, en 1989, la vérité va finalement émerger et les langues d’anciens militaires alliés vont se délier. « Vous pensez bien que je m’en souviens », raconte Joseph Gozzo, ancien ingénieur de l’armée de l’Air qui vit à San José en Californie. Et pour cause ! Quand il était détenu dans un de ces camps de prisonniers, on lui avait enfoncé des tiges de fer dans le rectum… « Je n’arrive pas à croire que notre gouvernement ait laissé tout cela impuni », ajoute-t-il.

Enquête officielle

En 1986, devant une sous-commission enfin constituée par la Chambre des représentants des Etats-Unis, un ancien prisonnier de guerre du nom de Frank James détaille ses souvenirs « Nous n’étions que des pions », rappelle-t-il. « Nous avons toujours su que la vérité avait été cachée. » Un autre prisonnier de guerre, Max McClain, se rappelle avoir fait la queue pour une séance d’injections, avec son voisin de chambrée, George Hayes. Deux jours plus tard, Hayes se plaignait. « Mac, je ne sais pas ce que ces salauds m’ont donné, mais je me sens vraiment mal. » Le soir même, Hayes était disséqué par « les types de la morgue ». L’audience publique devant la Chambre des représentants ne dure qu’une demi-journée. Un seul témoignage parmi ceux des deux cents survivants américains sera enregistré ! Chose incroyable, le directeur des archives de l’armée américaine indique que les documents remis par Ishii lui-même avaient été renvoyés au Japon au cours des années cinquante. On ne s’était pas donné la peine d’en faire des copies !

Pour tenter de désamorcer une situation embarrassante, les gouvernements américains et japonais tentèrent dans un premier temps de nier l’existence de ces atrocités, et ce malgré la production d’informations officielles au public. Ainsi, un dossier émanant du Q.G. du général Douglas Mac Arthur, commandant les forces alliées dans le Pacifique, précisait que les investigations portant sur l’Unité 731 relevaient directement des chefs d’état-major interarmées. Ce document poursuivait: « En vue de protéger les intérêts des Etats-Unis et d’éviter toute situation embarrassante, garder le plus absolu secret est essentiel. » Finalement, en 1993, quatre ans après la découverte du charnier de Tokyo, William Perry, secrétaire à la Défense, promettait enfin d’exhumer tous les documents concernant les expériences biologiques ayant eu lieu au cours de la Seconde Guerre mondiale.

L’héritage d’Ishii

Nombreux parmi ceux qui participèrent aux expériences japonaises en matière de guerre biologique connurent la réussite après la guerre. Certains occupèrent des postes universitaires élevés dans le domaine de la médecine, l’un d’eux accéda à la tête d’une des principales firmes nippones de produits pharmaceutiques. D’autres encore terminèrent leur carrière bien en vue, comme ce président de l’Association médicale du Japon, ou ce vice-président de la Croix Verte. Ironie du sort, l’un des expérimentateurs sur les membres gelés joua même un rôle important dans l’industrie alimentaire du surgelé…

Shirô Ishii mourut quant à lui en 1959, mais après avoir laissé une trace indélébile dans la conscience humaine. L’intérêt porté par les Alliés à ses travaux signifiait en effet la levée du tabou sur l’expérimentation humaine, pourtant stipulé par la convention de Genève votée en 1925. Que leurs soldats aient été les victimes de telles ignominies semble en fait avoir plus fasciné, au nom de la science, les gouvernements occidentaux que les avoir révoltés. Cette leçon amère de l’Histoire est un héritage à méditer…



#2 No. 7

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Posté 30 mars 2009 - 04:48

Cette leçon amère de l'Histoire est un héritage à méditer…


Idiot - la phrase

Ce genre de connaissance est extrêmement utile ... Il n'allait pas cracher dessus. Et puis de toute manière, a l'époque, les Etats-Unis usait encore de la chambre à gaz ou de la chaise électrique ... différence ?

Oui, le seul point sur lequel çà pique, c'est les prisonniers de guerre ... mais va savoir ... c'était peut-être pareil de l'autre coté ...

Ça me fait penser aux gens qui veulent un monde juste et une vie moins chère - assez paradoxal ...

#3 LeGénéralAnonyme

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Posté 31 mars 2009 - 10:58

j'ai rêver JE JURE j'ai rêver je crois bien que c'était des fourmis géantes, elles étaient de taille humaine et bleues elles devenaient bipédes et développaient une conscience et y en avait 4 qui étaient interrogés par france 2 et ils disaient "on en assez que l'on ne considére pas notre "moi"" et juste avant je lisais dans le journal que les chasseurs coupaient les couilles des léopards pour décorer les couilles de leurs chiens. J'ai fait au moins 6 rêves hier soir. Un autre j'étais en inde on descendait sur une barque en forme de dragon une rivière avec un guide ultra superticieux y avait des bruits dans la forêt des sortes de guerriers avec des boucliers et puis un extra tersestre ultra méchant s'est crashé sur la rive, y avait tout une histoire d'oeuf et d'énergie. Un autre c'était que je ratais un train je me retrouvais super loin, dans le ghetto, je devais rentrer chez moi y avait plein de gangs du genre le gang des échassiers, des clowns etc ils étaient tous noir-américains ou latinos. Un autre j'étais mario dans mario sunshine. Super nuit.

#4 No. 7

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Posté 31 mars 2009 - 12:13

Je vois, t'es une sorte d'adepte de Castaneda ...

Arrete la mesca mec ;)

#5 LeGénéralAnonyme

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Posté 31 mars 2009 - 01:41

non, rien à voir. Ce sont de vrais rêves. T'as déjà rêver 6 fois en une nuit ?

#6 Vivien

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Posté 31 mars 2009 - 02:00

le dernier rêve que j'ai fait j'étais assis à côté d'une sorte de type à lunettes qui était complétement incntrolable, dans un stade ou un champs de course, il jettait plein de choses par terre qui se brisaient, ensuite les flics voulaient l'embarquer. Après je l'ai revu à l'intérieur d'une maison, et une grosse femme avec des seins énormes lui faisait une branlette espagnole.

6 rêves record à battre.

#7 No. 7

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Posté 31 mars 2009 - 02:38

Oui, avant je revais beaucoup. Mais maintenant mon sommeil est plus mécanique ...

Je trouve l'etude de l'onirisme assez initeressante ... en ce sens que le filtre me semble bien trop dur a determiner comme ca ...

Tu comprendras donc ma sensibilité moindre pour une bonne partie de la poésie contemporaine ...

Le moyen est abscon ...

De la recherche litteraire .... - on appelle ca un oxymore je crois ... :lol:

#8 LeGénéralAnonyme

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Posté 31 mars 2009 - 02:43

J'en ai surtout rien a fiche de ta sensibilité
IT DOESNT MATTER
http://www.youtube.c...feature=related

#9 No. 7

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Posté 31 mars 2009 - 02:47

J'en ai surtout rien a fiche de ta sensibilité




Je vais t'avouer que je n'en attendais pas beaucoup plus d'une nature aussi ingenue ...

Mais bon on a le droit de rêver ... ;)

#10 LeGénéralAnonyme

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Posté 31 mars 2009 - 02:48

tête à claque, smiley à claques va.

#11 LeGénéralAnonyme

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Posté 31 mars 2009 - 03:04

Ça me fait penser aux gens qui veulent un monde juste et une vie moins chère - assez paradoxal ...


ouf, heureusement que t'es là pour soulever le paradoxe ?

#12 No. 7

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Posté 31 mars 2009 - 03:40

tête à claque


Avec 130 kg de poussée au devellopé coucher, j'aimerais bien voir ça ...

branleur ;)

#13 Vivien

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Posté 31 mars 2009 - 06:41

on ne sacrifie plus pour la science. on utilise.

#14 LeGénéralAnonyme

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Posté 31 mars 2009 - 06:53

Avec 130 kg de poussée au devellopé coucher, j'aimerais bien voir ça ...

branleur ;)


ça n'empêche aucunement le fait que tu soit un pseudo à claques.

#15 No. 7

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Posté 01 avril 2009 - 11:13

Si tu parles de vision de l'esprit alors ...

#16 LeGénéralAnonyme

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Posté 01 avril 2009 - 01:09

http://www.fangocur....CFQEpGgodCxvTuQ

#17 No. 7

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Posté 01 avril 2009 - 02:09

C'est bien la l'arme des faibles ...

J'ai deja vu ce genre de stalinisme dans les AG, c'est extrement penible.

Fort de vos pulsions juvéniles naissantes - et patentes - vous vous croyez "poëte" ...

Mais, in fine, vous n'êtes que ce que la plupart de ces personnes meprisent ... une absence.

#18 LeGénéralAnonyme

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Posté 01 avril 2009 - 02:42

Mais oui t'inquiètes je suis un faible et tu es un fort, a strong one. Au fait, on parlait de quoi ? Ha, l'unité 731 ! Je connais pas trop la poésie japonaise. Bon, je repars. Faut que j'aille à école militaire, je compte m'engager dans la marine.

#19 No. 7

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Posté 01 avril 2009 - 03:03

j'ai rêver JE JURE j'ai rêver je crois bien que c'était des fourmis géantes, elles étaient de taille humaine et bleues elles devenaient bipédes et développaient une conscience et y en avait 4 qui étaient interrogés par france 2 et ils disaient "on en assez que l'on ne considére pas notre "moi"" et juste avant je lisais dans le journal que les chasseurs coupaient les couilles des léopards pour décorer les couilles de leurs chiens. J'ai fait au moins 6 rêves hier soir. Un autre j'étais en inde on descendait sur une barque en forme de dragon une rivière avec un guide ultra superticieux y avait des bruits dans la forêt des sortes de guerriers avec des boucliers et puis un extra tersestre ultra méchant s'est crashé sur la rive, y avait tout une histoire d'oeuf et d'énergie. Un autre c'était que je ratais un train je me retrouvais super loin, dans le ghetto, je devais rentrer chez moi y avait plein de gangs du genre le gang des échassiers, des clowns etc ils étaient tous noir-américains ou latinos. Un autre j'étais mario dans mario sunshine. Super nuit.


Et en plus l'hopital se fout de la charité; à se niveau, ce n'est plus une absence, c'est carrément de la negation ...

J'me casse :lol:

#20 LeGénéralAnonyme

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Posté 01 avril 2009 - 03:12

négation de quoi, mon cher ?

#21 No. 7

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Posté 01 avril 2009 - 03:49

Je lisais dernierement quelqu'un qualifiant tes ecrits d'assassinat - je dois t'avouer que le terme était assez bien trouvé d'ailleurs.

Mais, cher, "le desert est la seul chose que ne puisse etre detruite que par construction" ...

Encore faudrait-il pour saisir cela que tu utilises un peu mieux la fosse à lisier située entre tes deux oreilles ... ;)

Tu te souviens du passage de Laborit que je t'avais fais lire ?

Une partie de la réponse y est ;)

Pour le reste la poesie est un art martial dont tu nies toute l'essence.

PS : j'ai deja lu l'art d'avoir toujours raison de Schopenhauer - de la quadruple racine du principe de raison suffisante et le monde comme volonté et comme representation aussi - tu perds ton temps ;)

#22 LeGénéralAnonyme

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Posté 01 avril 2009 - 03:55

Je ne comprends pas où tu veux en venir (ho ma pauvre fosse à lisier). ;)
Mais c'est drôle. ;)

Négation de quoi, donc ?

(PerSo j'ai lut tous les Tintin, tu perds ton temps)

#23 No. 7

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Posté 01 avril 2009 - 03:57

Si tu as le sens de l'humour tu es deja sur la bonne voie - mais entre nous je doute que cela suffise ...

Mais bon mes doutes je sais ou tu les les mets ...

Je parlais pas de me casser moi ?

Bonne nuit general ;)

#24 LeGénéralAnonyme

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Posté 01 avril 2009 - 04:12

Allons allons tu ne parles jamais de tes doutes, tu es toujours certain. Et puis pour dire qu'un à de l'humour il faut être drôle soi-même, CE DONT DANS TON CAS JE DOUTE. Bref je te laisse méditer : Qu'est-ce qui en nous aspire à la vérité ? ;)

Avec 130 kg de poussée au devellopé coucher, j'aimerais bien voir ça ...

branleur ;)


Ha oui quand même. Très fort le mec. Il a des muscles et la poésie est un art martial. Tout ça c'est très logique.

#25 hirondelle

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Posté 04 avril 2009 - 08:49

Ich habe einen Text gelesen der ''gemein'' war.

#26 hirondelle

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Posté 04 avril 2009 - 09:07

Ich glaube dass der Autor von diesem Text egoistisch eingebildet eitel gemein und kleinlich ist.
Aber kommt Zeit, kommt Rat!

#27 hirondelle

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Posté 04 avril 2009 - 09:25

Nein! Das ist genau!

#28 Vivien

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Posté 05 avril 2009 - 02:34

une traduction ?

#29 hirondelle

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Posté 06 avril 2009 - 06:48

Et bien. Ici je ne parlais ni de toi, ni de No 7, ni des autres qui sont présentents sur ce sujet. Donc c'est pas la peine de traduire! Mais de qui je parlais? Je ne sais plus! C'est étrange mais c'est vrai...

#30 No. 7

No. 7

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Posté 06 avril 2009 - 05:36

C'est étrange mais c'est vrai...



Les Femmes quoi ... :lol: