cher brad
non la lune n'est pas sale au sens que nous l'entendons et le soleil serait le seul belâtre ; la beauté est en nous et c'est en apprenant, en partageant que nous la voyons mieux
peut on se protéger si facilement des faux prophètes afin de continuer à éxister , il s'agit aussi d'éxister et non seulement de vivre.
allez observer les astres à la jumelle et ovus découvrirez d'autres attraits
pourquoi Lucifer ne serait que soleil et non l'ombre de lui même ; d'abord il serait en cendres s'il était le soleil ; alors comment peut on l'associer à moins qu'il soit le sphinx mais alors il atout à nous dire
et nos vies peuvent paraitre brèves en dehors de la contemplation et du silence nécessaire parfois pour écrire ; ce chemin n'est pas le même pour chacun de nous et c'est ce qui rend cette vie attrayante car tout survient.
l'envie de connaitre l'autre est le principe même d'une société qui se nomme ainsi ; et nous sommes en société et cette envie c'est une nécessité car c'est aussi la vie.
amicalement Nicolas Chevalier Bahuaud
C'est régal partagé. Les jumelles dans la lune, tout un programme... Effectivement, mais pour y découvrir monts et merveilles, de part son manque d'atmosphère je pourrai attraper un extraordinaire coup de soleil sur cet astre ? ou mourir du désastre de la solitude. Un observateur ou voyeur, en prise optique vu de la terre pour mieux rêver.
Alors je retournerai plus dans le désert du Tahar ou bien du Sinaï :
Souffle du Sinaï Sous la dune un miroir d’or mouvant
Comme le vent souffle chaud aux rives rouges
Le regard rieur enfant de mohamed et du couchant
Des barques colorées sur le cap bougent
Et mon âme coule un pavot de sueur
Si le plomb solaire vole sous les airs du bonheur
L’ombre est morte sous l’enclume de la lumière
Les caravanes chargées de silence et de prières
A l’horizon se fondent en mirages éternels
Rythmant ces bédouins de nuits fraternelles
J’ose une pensée de pleine solitude sous la soie
Transporté des chants lunaires en émois
Fils du désert fuyant le monde trépidant
A l’œuvre du chemin sans cesse évitant
L’horloge lointaine d’une complainte
Du temps qui passe sur les grains usés
Quand viendras-tu danser une plainte
Cajoler le tapis de tes pieds nus et lustrés
M’étourdir d’un sang de millier d’épices
Assaillir mes songes de liberté en artifices
Frères voyageurs aux confins des terres
Ici je m’assoie implorant les mystères
Embrassant tout l’orient d’un regard
Ici je voudrai errer et mourir du hasard