Les lumières là -bas,
Des points et des pastilles,
Sur le fond noir de la mantille
D'un jour veuf et passe,
Un autre se meurt, là ...
Par une fenêtre là -bas,
Un naevus, une audace
Sur l'écrin or de lune,
Deux ombres, n'en font qu'une,
L'envie sous le falbala...
Une lueur vacille, et fut,
Au desarroi, ma terrasse.
Et l'instant qui s'agace,
S'offusquant d'être nu.
Ou presque...

Et l'instant qui s'agace,
#1
Posté 01 juillet 2007 - 05:35
#2
Posté 01 juillet 2007 - 05:42
#3
Posté 02 juillet 2007 - 01:46
très beau, ces ombres fuyantes...
Je viens de le réécrire.
Il me va mieux ainsi.
Et merci à toi d'avoir apprécier le 1er jet d'écriture.
#4
Posté 02 juillet 2007 - 02:22
Les lumières là -bas,
Des points et des pastilles,
Sur le fond noir de la mantille
D'un jour veuf et passe,
Un autre se meurt, là ...
Par une fenêtre là -bas,
Un naevus, une audace
Sur l'écrin or de lune,
Deux ombres, elles n'ent font qu'une,
L'envie sous le falbala...
Une lueur vacille, et fut,
Au desarroi, ma terrasse.
Et l'instant qui s'agace,
S'offusquant d'être nu.
Ou presque...
Vu,
Ou presque...
#5
Posté 02 juillet 2007 - 02:28
Instant enchanteur, celui de te lire.
#6
Posté 02 juillet 2007 - 06:18
Erotisme en pointillé... dans un écrin or de lune...
Instant enchanteur, celui de te lire.
Imaginaire,
et voisinage...